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Ouxxpo, art et tempon.
Je ne suis pas un scientifique, je ne comprends rien à la science, ce qui ne m'empêchera pas d'écrire ce qui suit, et qui peut se résumer en peu de mots : fal7i parle aux extra-terrestres.

En effet, ce n'est pas parce-qu'on est ignorant qu'on n'a rien à dire, sinon il n'y aurait pas d'art. L'art c'est l'espace de l'ignorance parfaitement assumée.

Dès que je trouverai un peu de temps, je vous expliquerai donc l'art et la manière de communiquer avec les extra-terrestres.

En attendant chacun peu déjà se régaler à la lecture d'un petit article qui ouvre des perspectives pour un art post-contemporain


l'été 2007 sur CT :

Tartuffe
en fait la réflexion avait commencé l'année dernière avec SegoBush, elle a mûri.

à suivre donc.

remarques préliminaires.

  • l'imposture est une notion très présente en art
  • la niaiserie. à ne surtout pas confondre avec l'imposture. la niaiserie est la difficulté pour la raison de distinguer les différences ou les ressemblances dans l'intuition. (wikipédia, Schopenhauer)
    Face aux niaiseries, d'un Bush ou d'une Ségolène Royal, on a souvent tendance à penser imposture, on pense manoeuvre là ou il n'y a qu'imbécilité.
    Schopenhauer encore, Nul ne peut voir par dessus soi, l'impossibilité d'un échange d'idées entre deux individus d'un niveau intellectuel trop important doit se concevoir dans les deux sens. Ce qui ne signifie pas nul ne peut voir au dessous de soi, mais simplement qu'il faut un effort de compréhension important pour se rendre compte que ce qui est énoncé n'est pas une imposture, mais tout bonnement une niaiserie, on a affaire à un imbécile.
  • l'imposture c'est un mensonge utilisé pour obtenir un avantage, en art c'est un décalage qui vise à créér une situation d'art.
  • imposture et tartufferie, là je n'ai pas trouvé de référence, je ne peux que dire ma propre définition. Tartuffe s'emploie pour une posture de morale, alors que l'imposture est un décalage intellectuel. Essayons avec un exemple :
    • le thème no-made est une imposture, et, c'est une imposture d'art, c'et à dire qu'elle vise à créer une situation d'art productive.
    • par contre, quand je présente à Cap d'Ail un objet malhabile de béton dégoulinant et de plastique, et que j'essaye de faire passer la pillule en arguant de l'écologie, c'est bel et bien de tartufferie qu'il s'agit.

cours de dessin, Louis Dollé

dessein et impérialisme
Le dessin est un art en soi. Avant d'être un art, c'est une technique, mais une technique forte, structurante de la personnalité.
Comme parler, rouler à bicyclette, conduire, se bien tenir dans la bonne société, écrire, compter ou chanter, ou nager.
C'est dire qu'avant et après vous n'êtes plus la même personnalité.

Mais le dessin n'est pas dans notre société reconnu comme art en soi, mais comme base de toute activité artistique. Ce sont des raisons historiques qui perdurent, alors même que Kandinsky peignait de vraies peintures il y a de cela une éternité.
Artiste tes papiers !
JE MERDE LE DESSIN
je n'ai rien contre, je m'en fous, qu'il crève, ou arrête de faire chier, ou trouve sa case à lui, personnel, comme l'ont fait la photo, le cinéma, la vidéo etc.
Et si cette salope ne trouve pas sa place, qu'on me permette de pas pleurer : c'est du à sa volonté hégémonique.
crève salope.

le 15 07 2007 à 18:13, louis chou a écrit :
ta bd est superbe, c'est de l'art surtout le scénario, qui est une vrai critique sur l'art, par contre les dessins sont à ch...très bien

le 16 07 2007 à 16:13 fal7i a répondu, (et ce n'est pas ce qu'il a fait de mieux) :
pour le scénario, perso je le trouve un peu bas, simple vengeance, pour le dessin, il n'y en a pas. La bd merde le dessin, la bd est un art en soi. Comme tu n'es pas la moitié d'un con, (ça se saurait, il te faut encore quelques années d'études pour en arriver là) tu as voulu dire qu'esthétiquement ça manquait d'unité.
tu as raison, je ne maîtrise pas un poil.
ceci dit, et qui n'est pas une excuse pour moi, l'unité esthétique n'est pas une valeur d'art en soi.
et je t'mmerde,
chou


news

l'oulidi, ouvroir de listes de diffusion (et donc sans potentialités, cela n'a pas échappé à votre sagacité)
est ouvert sur oulidi.

mesure actuelle du potentiel à l'instant t : 3µV
(sans différence connue ni étalon (de confiture), c'est dire le chat de Schrödinger, ou autre chose, ou rien).


Fred,

J'envoyais ceci à Stéphanie il y a un instant, manière de rendre publique une distrayante infortune.
Et puis, pensant à Nomade, à ses actuels jeux amoureux dont les échos me parviennent haut et clair, m'est venue l'idée de t'en faire parvenir l'épreuve :
un pugilat d'artistes au coin cochon des rues, serait-ce une si mauvaise idée ???
Foin de concepts, des coups, comme disait Johnny, qui devait s'y connaître en art comme en coup.
Il faut dire que j'avais ces jours à ce propos ruminé quelques pensées actives assez frappées, puis renoncé à m'en mêler - les artistes s'aiment d'amour, ça crève les yeux, et la critique n'est pas leur fort.
Et quand ils se cassent la gueule, à coups de mots, c'est pour dé-figurer comme il se doit, pour dé-re-présenter, c'est donc esthétique de part en part. Le Beau le Laid. Et la conjonction des contraires, coïncidence, dit Nicolas de Cues.
Merci pour le spectacle. Alors cette anecdote, si elle ne sert de rien dans les débats en cours, vous amusera, j'espère, Marie France et toi, sans parler de public.
N'empêche, les coups c'est franc du collier, et ça dit bien ce que ça veut dire, bien que cela soit enfreindre la loi, je m'arrête là, frisant l'apologie et le coup de la loi. D'ailleurs j'ai conçu un temps le duel comme plus civilisé que nombre de ces homériques débats qui ne mènent jamais nulle part.
Ne faut-il pas qu'il y ait un but ? En art peut-être ?

Des coups, encore des coups.

Ce message tôt matin pour te narrer une mésaventure qui m’est arrivée hier soir, faisant tâche sur ma vie lisse ; d’habitude il n’arrive rien, hier il est arrivé quelque chose ! Je me suis battu, oui tu as bien lu, et voilà comment c’est arrivé.

Il faisait bon et ça sentait l’été, et sur le coup d’onze heures j’ai dit, une petite promenade, mais oui, pourquoi pas ? Pour respirer l’air doux de la ville et « draguer » un peu si tu entends par là apercevoir du monde. Mes pas m’ont porté dans la direction du boulevard, pas loin du cinéma, pensant à mille choses, ce qui fait au moins cent de trop.
Boulevard désert à cet endroit là. Et tout d’un coup j’avise un gars plutôt très éméché, accompagné d’une dulcinée qui l’était à peine moins, le couple trace de larges sinusoïdes – tiens donc, des géomètres à cette heure tardive ! – d’un assez bel effet qui finissent par les faire échouer au beau milieu de la voie, il s’étale par terre, la géométrie dans l’espace c’est bien beau, mais faut compter avec la gravité et l’oreille interne, sinon c’est trop facile ; elle le relève et les voilà louvoyant sur le trottoir face à moi, je pense naturellement tactique d’évitement de l’obstacle mobile, imprévisible comme la suite le montra. Ma manœuvre déviante je l’effectue vers la vitrine, erreur profonde erreur, l’eût fallu dégager plutôt vers la chaussée et y tailler au large. La brute au vin mauvais n’a pas de peine à me coincer contre la paroi, visiblement animé d’intentions belliqueuses, avec cet air mi-crétin mi-béat du type qui cherche noise et que démange la noueuse musculature héritée de ses pères. Et nous voilà face à face, il commence à m’entreprendre, et cherche la prise, l’empaffé de sa mère, aucune échappatoire, nous voilà à pied d’oeuvre. S’ensuit alors une petite chorégraphie d’enlacés, on s’envoie valdinguer de ci de là, moi fidèle tâchant de rompre, lui m’aimant à la folie, je veux dire tâchant de renouer, un vrai pot de colle, pas moyen de s’en défaire, ça finira mal.
Les histoires d’amour ! Et puis tout va très vite, mais je finis tout de même par trouver sinon l’avantage la présence d’esprit d’une prise qui maintient l’équilibre des forces, vieux souvenir de judo peut-être, et pendant qu’il déchire allègrement mon joli tee-shirt vert fleuron de ma garde-robe et broie mes lunettes d’une pogne puissante, ce qui d’un point de vue strictement pugilistique ne vaut pas tripette, je le tiens bras tendu par la gorge de ma main gauche, et je serre tant je peux - et je peux, ça tombe bien. Il s’étrangle et émet des bruits du genre siphon dans la région laryngienne. C’est pas mal pour un occasionnel. Je suis assez content, au vu des circonstances. Mais c’est compter sans la dame – au bas mot 100 kilos de chair à saucisse, profil ubuesque -, la dame beugle à n’en plus pouvoir, elle n’est pas mathématicienne, comme j’avais cru, elle fait l’article et clame : il est bourré, il est bourré !, manière j’imagine de signifier à mon intention devoir d’indulgence et de modération, d’en appeler à ma bonté en plein pandémonium. Trop tard, la mort est à l’ouvrage. Elle fait l’arbitre, j’entends la mouche du coche, montent alors en moi quelques insultes, je le confesse – j’étais en promenade, tranquille autant qu’il est possible et tout à mes pensées boulevardières, et voilà qu’on me fait chier sur un bout de trottoir assez large pour fournir passage à une voiture à cheval. Ensuite, on tombe par terre, l’autre plus mauvais que jamais sous le coup de mes injures, faut pas toucher à sa douce, figure classique du mâle appris, fût-ce pour la flétrir d’un mot. Que sont le mots, le savent-ils seulement ? Elle aussi alors se jette dans la mêlée, avec en tête le projet suicidaire incongru de m’immobiliser les jambes. Erreur profonde erreur, on ne touche pas à mes jambes, c’est outil de ballade, et puis la jambe dans ma personne, sans vouloir me vanter, est un membre puissant. D’autant que la nature m’en a fourni deux d’égale vigueur. Je me débats, je latte la dame au jugé, sans aucun égard pour son improbable féminité. Ça couine, un de mes pieds a atteint la poitrine je crois, sans le moindre remords, pas mécontent non plus. Il faut dire que la cible est large, que son mérite en est diminué d’autant. A deux ils finiront par m’avoir, ils auraient fini par m’avoir, 180 kilos ça fait beaucoup pour un gars pas trop entraîné, novice dans l’art de foutre sur la gueule, si deux anges motorisés qui passaient par là n’écoutant que leur courage n’avaient stoppé leurs véhicules pour séparer les belligérants, le gars se relève, encore menaçant mais retenu, il brandit son poing fermé en ma direction, je gis en tas un peu sonné, retenu aussi, ce qui fait que la brute épaisse pour mettre un terme à l’algarade en profite, au moment où je me dresse, pour me balancer un coup de savate expert à la pointe du menton, là évidemment je suis un peu énervé, essoufflé, ruiné, ça saigne un peu, sans savoir d'où.
D’autant que les sauveteurs me paraissent légèrement prendre le parti de mes agresseurs, et ça, ça énerve quand on connaît l’histoire de source sûre, ils y voient une bagarre d’ivrognes et me traitent comme tel en m’enjoignant de me tirer sans demander mon reste – la police pourrait arriver ! Tu parles. C’est le bouquet, le pompon, la cerise. Voilà, voilà comment je me suis battu sur le boulevard. On n’a pas idée non plus d’aller promener dans la douceur d’été et de draguer les artères vides de la cité, ça m’apprendra à sortir de la chambre pour voir un peu le monde à l’heure où Sol le lèche ailleurs. Ce matin, je suis moulu, j’ai mal dormi et la mâchoire me lance, parler fait souffrir, et la tête affreusement, mais j’ai réussi à remettre en forme à peu près mes précieuses lunettes, et si une jointure me titille d’avoir un peu frotté, je puis encore écrire, l’essentiel est sauf, comme toujours. Et quand il ne le sera plus, ce ne sera plus temps d’écrire.

L’Humanité, qu’il disent…la Fraternité qu’ils ajoutent, le Vivre-Ensemble, la Rencontre et l'Aller Vers les Autres, pour faire bonne mesure, au cas où l’on n’aurait pas compris, bref : Amour, Tendresse, Délicatesse, Suavité. Volupté. Merci pour le service. Enfin, des études sociologiques nourries par le terrain. Il n'y a rien de tel que parler d'expérience : violence en milieu urbain, ou comment l’intellectuel de la patte de mouche, ordinaire philosophe de ses pensées courantes, autant dire de ses catins, se fait casser la gueule par pure distraction. L’a qu’à penser pratique, l’englandé, pas bayer en ce monde où les corneilles ne sont pas persona grata, dommage pour elles, vraiment dommage.

Il fallait que je te raconte, quand même, la vie est une si drôle de chose... D'ailleurs ce soir y a bal aux pompiers, lampions, décibels et langues de belle-mère, j'y retourne...

et j'en tue un, de toute ma meurtrière lucidité. Vivre c’est patience et longueur de temps.

Éric Lesné, le 13 juillet 2007 à 12:30:55 +0200

Micro-poème complémentaire ou version poli-poétique d'un incident mineur :
POUR UNE ÉROTIQUE MINEURE

Je me suis fait casser la gueule
Devant une poupée. Ivre.
Je débobinais le boulevard
De la localité. Nue.
Pardon je remettrai ça
L’avais pas déroulé à fond.
Le boulevard de l’ivresse
Où draguer à jeun.

Éric Lesné, le 13 juillet 2007 à 13:01:09 +0200

Scolie prosée (pour un non-événement).

...le jour où j’écrirai de grands poèmes, j’en préviendrai la terre entière, elle s’en foutra tout entière. Avec de petits poèmes, j’emmerde un quartier, il s’en fout tout autant. Tout entier. Et comment se fait-il que la toute terre s’en foute autant qu’un quartier qui n’est qu’un morceau minuscule, un timbre postal ? Et comment se fait-il que l'indifférence ne se mesure pas ? Et la riposte proportionnée alors, qu'est-ce qu'on en fait ?

Éric Lesné, le 13 juillet 2007 à 13:13:05 +0200


du Bartas,
mais aussi Giono et Hegel,
c'est le matin, moment propice à beurrer les tartines,
et Éric Lesné.

J'étais à la bibliothèque de Clans à chercher ce que je pourrais prendre à lire, j'ai vu Regain de Giono, pourquoi pas, ça faisait vraiment bien longtemps. Ça se lit d'une traite, et le lendemain puisque c'est déjà fini, on recommence. Comme on s'est bien remémoré toute l'histoire, sans doute moins distrait par l'envie de connaître la suite, on entre plus encore et dans les gens et les paysages et les situations, et dans la musique du verbe.
C'est sans doute pour cela qu'on dit que Giono est un conteur.

Dans Guillaume Salluste Du Bartas 1590-1990 : Actes du colloque international d'Auch-Le Bartas-Pau 6-8 avril 1990 par James Dauphiné, on est dans une autre configuration, avec à la foi le texte poétique et didactique de du Bartas, et la riche documentation érudite proposée par James Dauphiné, on est porté à ajouter ses propres digressions. Ce qui fait un objet d'une grande complexité.

Dans Hegel, il y avait aussi des commentaires mais qui ne tranchent pas avec le texte. Je n'ai jamais rien compris à ce qu'écrivait Hegel, et des commentaires pas plus.

Dans les textes qu'Éric a (rarement) la grande générosité de me faire lire, il n'est pas souvent facile de comprendre à quoi il fait allusion, et souvent j'abandonne, et c'est peut-être ainsi qu'il y le plus de saveur à lire, juste pour le bonheur de la phrase.
On y revient et on peut alors trouver un sens, sans certitude que c'était là le sens que voulait l'auteur, ou ne pas savoir à quoi l'auteur fait référence.

Il existe une grande variété de textes, et une grande variété de plaisirs qu'il est possible d'en tirer.
Pour moi j'ai un faible pour ceux qui sont complexes et dont la compréhension n'est pas assurée, comme la vie.
Je n'ai jamais rien compris à la vie, et je n'en ai aucune envie.
Pervers, il suffit à mon bonheur de la sentir sur ma peau, et la griffer quand je me trouve quelqu'ardeur.

fal7i, char, défilé du 14 juillet 2007


fal7i

le 12 07 2007 à 12:18 jpjoly a écrit :
hier matin sur france-culture ( france-cul comme on dit, le cul prend de l'intelligence...) vers 9h, regis debray parlait du Chef, pas du Ché, fort interessant pour no-made. C'est toujours écoutable sur :
radiofrance.fr






Laurent Greilsamer


quiz : mieux connaître les artistes no-made

Il grésille, grésillonne, craquète, crisse ou crie.
C'est un artiste no-made, mais lequel ?

Mais oui, mais c'est bien sûr ! c'est …

vous connaissez la réponse ?
vite ! donnez là dans zone libre et gagnez une Invitation VIP à no-made 2007 !


Le texte L'Art d'Après-Garde de Sophie Taam
est publié dans l'hebdomadaire Le Patriote du 29 Juin au 6 Juillet 2007.
Il est en ligne sur territoile, page Sophie Taam.


la maîtresse du président


pendant que les artistes bossent, les charognards planent sur nos têtes.
Malevitch black square
Malevitch, carré noir


Rodtchenko célébré au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris rue89
aux niçois qui mal y pensent.



Malevitch, La Paresse comme Vérité effective de l'homme amazon.fr 5,80€


no-made en a parlé,

plus de look, plus de chic, plus de fun.
Sophie Calle l'a fait :
Sophie Calle en Chanel


le blog de loz

  1. c'est un blog très beau, entièrement cousu main.
  2. on y apprend des choses, comme : La culture dominante c'est la culture de la classe dominée
  3. conclusion : y aller tout de suite illico

appel à participation
territoile une encyclopédie des arts plastiques.

Le mot territoile est une idée de Denis Gibelin, découvreur du groupe no-made. C'est le nom donné au premier site internet no-made, aujourd'hui abandonné.
Un espace de création est défini, un support-espace, un territoile.

Si le premier site internet a été abandonné, l'idée elle a continué à mûrir.

Territoile renaît, son espace délimité est l'espace de la découverte plastique, le support est un wiki, wikimédia, le wiki utilisé par l'encyclopédie libre wikipédia. C'est dire la proximité des deux projets, la connaissance est bien commun. Pour autant, territoile n'est pas wikipédia. Encyclopédie généraliste, wikipédia utilise un critère dit d'importance, et l'applique dans ses pages dédiées aux arts plastiques.

Pour les promoteurs du projet territoile, le critère d'importance est étranger à la création plastique, ce ne pourrait, à la limite, qu'être un critère à posteriori, anecdotique, temporel.

Ce qui importe à qui s'intéresse aux arts plastiques tels qu'ils sont en train de se faire, c'est ce qui se fait, tel qu'il se fait, et non ce qui est jugé important, selon des critères par essence antérieurs à la découverte.


À Venise, les artistes jouent avec les problèmes du monde rue89


sources de news

pourinfo.org :

lunettes rouges :

Qu'est-ce que l'art (aujourd'hui) ?


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forums

zone libre
****
19 07 2007 à 12:39
anso a écrit :
C tout moi ça, 100 potentialités...Coucou à tous...
****
18 07 2007 à 21:52
fal7i a écrit :
Dauvillard tu es un trotskiste.
bien amicalement,
ff
****
18 07 2007 à 21:50
fal7i a écrit :
anso a réussi à s'inscrire sur cet ouvroir sans potentialité !
CT lui souhaite beaucoup de bonheur.
****
16 07 2007 à 18:30
dauvillard a écrit :
c'est exactement ça, par ignorance tu n'as pas accès à l'élite et donc tu rameutes tes bistrots de terrain, si ce n'est pas du poujadisme...
fraternellement,
gd
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16 07 2007 à 17:48
fal7i a écrit :
salut Gilles,
je ne comprends rien,
il manque une case, la case élite.
si tu sais où c'est, dis moi.
pour moi cette case a disparu, ne reste donc que le terrain.
bien amicalement,
ff
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16 07 2007 à 17:12
dauvillard a écrit :
CT et FN ?
my 2 cents
quand tu dis vite sur le dessin,
ça peut sembler un mépris pour le savoir.
fn donc.On ne peut pas être en avance sur les masses, sauf à ne pas les interpeller, ou à révéler la misère, ce qui revient au même.
La méchante problématique de la courroie de transmission.
Entre l'ange et le con, y-a-il un passage ?
bon courage, donc.
fraternellement,
gd
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15 07 2007 à 18:13
louis chou a écrit :
ta bd est superbe, c'est de l'art surtout le scenario, qui est une vrai critique sur l'art, par contre les dessins sont à ch...très bien
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12 07 2007 à 21:03
fal7i a écrit :
GNEUGNEU a gagné une invitation Vip à no-made (ce n'est pas une exposition)
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12 07 2007 à 12:18
jpjoly a écrit :
hier matin sur france-culture ( france-cul comme on dit, le cul prend de l'intelligence...) vers 9h, regis debray parlait du Chef, pas du Ché, fort interessant pour no-made. C'est toujours écoutable sur:
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/matins/fiche.php?diffusion_id=54549
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11 07 2007 à 18:43
gneugneu a écrit :
c'est Bosio!
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04 07 2007 à 17:20
fal7i a écrit :
non ce n'est pas stapelton
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04 07 2007 à 16:03
jpjoly a écrit :
scrapelton
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03 07 2007 à 00:50
fal7i a écrit :
non, ce n'est pas Gib
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02 07 2007 à 21:55
louischou a écrit :
c'est Denis gibellin
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11 06 2007 à 11:29
jpjoly a écrit :
interessant compte-rendu de la bienale de venise sur rue89.com