webart'zine spirituellement dégénéré le 8 06 2007 à 07:23 par des artistes plasticiens contemporains de façon hautement provisoire.

actualités

Louis Dollé expose une peinture et des croquis petit prix, il y a aussi Cosme, Jean-Charles Dusanter, Dominique Jane, Marita Occelli, et c'est le samedi 9 juin à 18 heures à l'atelier Gouveiac 1, rue Valperga à NICE

vernissage champêtre de l'expostion l'Onde'Art samedi 9 juillet à 19 h au Pont des Tamarins, sentier de la Brague à Biot.

vernissage de l'exposition Patrick Moya au Collège Niki de Saint Phalle à Valbonne le vendredi 8 juin à partir de 18h

Sophie Calle et Villa lupus,
le travail de Sophie Calle comme de l’art, faites-vous votre opinion.
Sophie Adam     Wikipédia
ceci dit, Sophie Adam est si proprette qu'elle peut jouer dans no-made.

nouveau sur clansco
les petites annonces
demandes d'emploi
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le 03 06 2007 à 18:21 dolll a écrit : y'a jamais rien d'intéressant sur clansco

Liban : Le FPLP rejoint Fateh el-Islam aujourdhui.ma

Juin 2007 les actualités sont sur territoile (peut mieux faire)

le 01 06 2007 à 14:17 jpjoly a écrit :
bien sûr la position du critique est "facile" ( mais ce n'est pas péjoratif), comme celle du psychanalyste, puisqu'elle se situe dans un ailleur cad hors de l'oeuvre et un après cad postérieure à son installation où que se situe cette installation, nature ou mur de musée, c'est cette distance dans le temps et l'espace qui rend la critique possible et "facile" mais qui ne préjuge ni de sa pertinence ni de son utilité. Pour autant, une critique qui se situerait -a priori- cad avant même la conception de l'oeuvre serait là de l'ordre du stalinisme et autres babioles en isme. et c'est vers cela que tend l' Unique pensée qui nous gouverne...pas seulement localement ni même nationalement. Bien sur nous ne sommes pas là dans les maximes stupides du genre : la critique est aisée mais l'art est difficile...!

le 06 06 2007 à 18:17 fal7i a répondu :
Critique utile ? critique utilitaire alors ?
Alors que la critique est vaine et gaie (en batave Van et Game ?) et ne s'inquiète que du plaisir, toute libre qu'elle est du croquemitaine M. Jugement.
Mais de quelle critique parle-t-on ?
s'agit-il de la critique telle que pratiquée au sein de l'idéologie judéo-chrétienne, cette critique plate à deux dimensions qui prétend séparer le bon grain de l'ivraie, mais dont la pratique n'a d'autre résultat que de donner à cette idéologie une apparence de réalité totalisante ? Une critique enfermée dans le cadre d'une échelle de valeurs, nain impuissant et servile qui ne peut que lécher les bottes de son maître ?
Non, je parle moi de critique ailée, pas de critique léniniste ou psychanalytique qui ne servent que leurs maîtres.
Je parle de critique qui ne se soucie ni d'a priori, a posteriori, a fortiori, a contrario, une critique libre sans raison, sans justification, sans valeurs ni échelle, sans but, qui ne se réclame d'autre maître que la joie.
Une critique sauvage, généreuse et sans utilité, en en mot comme en mille : l'art.

ps : pour qui ne serait pas familier avec la critique psychanalitique, je conseille vivement le spectacle offert par Lacan-le-petit le samedi vers 19h sur la 2 dans l'émission de Christine Bravo.

pps : bien entendu, s'agissant d'art et non de pratiques totalitaires, il ne peut plus être question de parler de position du critique puisque l'art abolit la division du travail, scientifique ou pas. La critique est à faire commune, et non plus champs réservé de spécialistes.

L'art et la vieille critique

   

Si on regarde le travail de Michèle Kleijnen et celui de fal7i, on voit bien que chaque artiste a son propre système de valeurs, c'est valable pour tout artiste, ce que j'appelle leurs tribus.

L'art lui ne possède pas de super système de valeur. Ce qui lui interdit toute capacité à critiquer quelque tribu que ce soit de l'extérieur. Pour critiquer, il lui est nécessaire d'entrer dans la tribu, et en accepter le système de valeurs. Il n'existe donc pas d'art total et il n'est d'art qu'arts singuliers.

Mais supposons à présent que soit organisé une exposition conjointe Kleijnen-fal7i. Ce genre de choses est affaire courante. Que doit faire l'art dans ce cas ? considérer qu'il ne s'agit là que de juxtaposition fortuite de deux tribus, que cela ne fait pas sens, que la juxtaposition de deux systèmes de valeurs ne crée pas un nouveau système de valeurs, et qu'en conséquent il lui convient de passer son chemin, n'étant ici pas matière d'art mais simple matière de commerce ? soit.

no-made n'est pas une exposition, c'est écrit dessus. no-made n'est donc pas une juxtaposition fortuite de tribus, no-made n'est pas vitrine commerçante, no-made est matière d'art, c'est écrit dessus.

L'art, qui est libre, ne possède pas de système de valeurs. Pour connaître de no-made il lui faut donc s'immerger en no-made, en son système de valeurs, en sa tribu. C'est dire critiquer. Et encore une fois, il est utile de préciser à nouveau qu'il s'agit bien ici de critique libre, libre de tout système de valeur, et non de critique esclave qui ne peut regarder les faits qu'au travers des lunettes torves de son maître.

Qui a peur de la critique ?
la bonne question serait plutôt : qui n'a pas peur de la critique ?
qui n'a pas peur de l'inquisition, Torquemada, Lenine, Pol Pot et Freud ?
qui n'a pas peur de Breton, Ubu et Lacan ?
(on pourrait ajouter en guise d'amusement, juste pour le camarade dauvillard, qui par contre pourrait bien avoir peur de Guy Debord et des situs, eux qui n'ont que posé des questions, posé la critique à l'intérieur des phènomes, mais je ne connais pas bien et je veux bien apprendre…)

Pourquoi s'intéresser à no-made ?
no-made n'est pas fait par de nouveaux artistes, la plupart des artistes qui y contribuent sont des artistes modernes. no-made ne possède aucun corps théorique, il se réfère bien à Duchamp, mais cette référence semble n'être que du champs du spectacle, quand pour verbes (alias no-made 2002) Jean-Claude Chiaberge prétend installer sa fontaine à pastis, il se fait proprement jeter. Propre sur soi. Pas de Bataillard ni de Bruno Bazire dans no-made. Et si l'on y croise Sophie Taam, cela ne pose pas de question à no-made, c'est simplement dire que Sophie est bien proprette. sur soi.
exit duchamp'
On y voit bien une sorte de land'art factuel. Rien là qui puisse faire frémir.

Non, ce qui est intéressant dans no-made, c'est le vide. Cette page qui n'en finit pas d'être blanche. L'immaculée non conception.

On voit (peut-être) mieux ce que serait une critique : un simple regard, et on est (peut-être) frustré, on aimerait (sans doute) voir d'autres regards. Car il faut pour critiquer une bonne dose d'humilité.
Qui a de l'humilité ?

Le chef d'œuvre, est-ce encore de l'art ?
C'est en tout cas une marchandise. Mais est-ce bien de l'art ? essayons.
Le matin l'artiste se lève et se dit je vais faire une œuvre parfaite. Le soir il constate que ce n'est pas parfait, le lendemain il se remet donc à l'ouvrage.
Nous avons ici affaire à un artiste qui sait.
Le matin l'artiste se lève et se met au travail. Le soir il regarde ce qu'il a fait, le critique et le range.
Le lendemain, fort de l'expérience de la veille, il attaque une nouvelle pièce. Le soir il compare. Et ainsi va sa vie.
Nous avons ici affaire à un artiste qui cherche.

Ich zögere, diesem unbekannten Gefühl, dessen Sehnsucht und Süße mich völlig beherrschen, den Namen, diesen schönen, ernsten Namen Traurigkeit zu geben.
pour Sarah, et ceux qui n'ont pas Leo sur leur firefox 2.0.0.4

Lettre ouverte aux complices de la MAFIA. Depuis quelques temps je reçois à nouveau des circulaires par courriel envoyées en copie carbone à un grand nombre de personnes. Résultat, mes boîtes aux lettres sont à nouveau polluées par le spam. Comment cela se passe ? Si vous envoyez votre courriel en copie carbone à dix personnes, vous avez de bonnes chances qu'une au moins de ces personnes utilise un ordinateur sous windows pollué par une quantité de virus qui vont transmettre ces adresses couriel à la MAFIA.
Si vous voulez vraiment envoyer une circulaire et que vous ne savez pas utiliser une liste de diffusion, envoyez donc ce courriel à vous-même, et mettez la liste des destinataires en copie carbone cachée (Bcc en anglais).
Merci

Héléna faisait remarquer ce matin que ce n'est pas facile de trouver de l'aide sur , par exemple, comment créer une page d'artiste. Pourtant l'aide existe, même s'il y a encore beaucoup à faire, mais ce qui manque surtout c'est l'accessibilité aux informations. J'ai amélioré la page aide : comment ajouter une nouvelle page d'artiste, et j'ai ajouté des liens vers cette page. Un grand merci Héléna.

C'est l'occasion de faire un premier bilan.
Pour ce qui concerne Hors Champs, il faudrait ajouter des photos des œuvres dans bien des pages.
Pour les pages d'artistes, la majorité sont à l'état d'ébauche, il y en a tout de même 9 dont l'état d'avancement est classé « bon début » : Lucie Bitunjac, Kim Boulukos, Hervé Courtain, Louis Dollé, Héléna Krajewicz, Maurice Maubert, Margaret Michel, Jean-Philippe Roubaud et Franz Stähler

discrimination positive
la femme est l'inférieur de l'homme, mais elle est payée autant.
Roland Garros : deux set gagnants pour les femmes, trois les hommes ; travail inégal, recettes égales.
quel bénéfice pour les libéraux ?
libéraux : plus ça va moins on peut mépriser ces gens-là. couillons, ils auraient voulu investir la pensée, et les voila pris au piège de la pensée. la pensée n'est pas de gauche, qui ne pense pas, la pensée pense.
quel bénéfice pour les libéraux ?
pour l'instant un contre-feux sur l'émancipation et la légitimité.
pour quel temps ?
pour demain.
demain la jet-set soleil sera vénérée par les les masses médiatisées.

le 28 05 2007 à 21:30 minotorero a écrit :
Hé Fal7i, tu te prends pour Ben, avec des intérêts politico-comico-ironico-internationaux et des sujets pseudo-brûlants ?

Merci minotorero pour cette flatterie qui me va droit au coeur, Ben, je le vénère.
Mais avec ClanscoTribues, je ne veux pas faire du Ben, Ben, il n'y en a qu'un, c'est Ben !

Merci minotorero pour cette excellente critique qui me permet de redire ce que se veut ClanscoTribues.

Si je ne me trompes, tu fais allusion aux notes de lecture sur Nahr al-Bared.
Écrire sur un blog, ce n'est pas naturel, tu écris au moment où tu le penses, comme tu parlerais à un ami. C'est le lendemain que ça se gâte, parce que ça reste. Et le lendemain, c'est le plus souvent comme une gueule de bois. « je me demande comment je peux écrire des conneries pareilles tout ce que j'aime pas : inutile, sans intérêt, et gonflant ! putain mais comment j'ai pu en arriver là ? » bienvenue au club.

Au début, Clansco c'était comme ça, j'écrivais mais conneries content, puis j'avais honte, après j'effaçais. Et puis no made m'a demandé de garder des archives de ce qui était écrit, peut-être que parce que tes conneries, c'est des reflexions qui permettent à d'autres de rebondir.
Le blog, c'est une bonne école d'humilité, un miroir sans concessions.

Pour ce qui est des notes de lecture sur Nahr al-Bared, par contre là, je suis assez content de moi. Quel est le propos ? il y a peu, pour s'informer on ne devait compter que sur la lecture des quotidiens, il fallait lire Le Monde, La Croix, Le Figaro, Combat, L'Huma, Le Patriote, le canard, Libé. Aujourd'hui, en faisant très attention, nous avons accès à une foule de témoignages. Le monde change, Hugo Chavez peut interdire Radio Caracas Television, la crapule léniniste est nue.

ClanscoTribues, c'est pourquoi ?
ClanscoTribues veut poser une question : c'est quoi l'art maintenant.
comme je ne sais déjà pas ce que c'est l'art, je sais encore moins ce que c'est l'art maintenant. et ce n'est certainement pas parce que je ne sais pas que je vais fermer ma gueule. bien au contraire. bouteille à la mer.

Ce que je crois.
L'art c'est comme la Tour Eiffel, des énormes piliers en bas, avec une toute petite pointe en haut. pour monter en haut il y a heureusement un ascenseur, qui ne fonctionne pas à l'électricité, mais à l'humanité, pour monter il suffit de lécher adroitement le câble.
Dans la Tour Eiffel principale, au bas de ses pieds, il y a aussi des Tour Eiffel mineures, qui se terminent en cul de sac, pompant toute l'énergie au seul bénéfice des câbles, par exemple la Kultur de JACLANG.
Mais l'art c'est aussi, c'est possible, horizontal. une autre façon de faire l'amour.

Ce que je crois.
l'art c'est un medium, le geste et le regard, et la verticalité est une nuisance qui filtre pour interdire. internet permet d'échanger horizontalement, pour peu qu'on s'en donne les moyens.

Ce que je crois.
l'horizontalité, sur internet ça marche !
et je ne suis pas peu fier de cet exemple, qu'est-ce que j'ai branlé hier ?
busines as usual. le matin j'ai reçu via IceWalkers.com la notification que le dev de Gimp était mis à jour. j'ai téléchargé, compilé, utilisé, et patatras, gros plantage. je vérifie et re, pour être presque certain que ça ne vient pas de moi, histoire de ne pas polluer intempestivement, je sais le boulot que c'est tout là-haut de la Tour Eiffel. je vérifie que le bug n'est pas déjà signalé, et j'envoie le rapport de bug à 18:30 UTC
comme vous pouvez le constater en suivant les liens, le bug a été signalé partout dans le monde au même moment, et corrigé dans l'heure.

de quoi s'agit-il ?
en informatique deux conceptions s'affrontent. la conception libérale, et la conception libertaire. quel est le meilleur ?
comparons.
en liberal il suffit d'aller dans un magasin et acheter de la mauvaise, bonne ou moyenne qualité de machine, elle est livrée avec un moteur libéral déjà installé, windows, mac.
en libertaire, on peut acheter au même endroit, puis il faut un peu de connaissance pour installer un moteur libre, ou alors acheter en pièces détachées, il faut alors ajouter un peu de connaissances pour monter sa machine.
bon ben voila, c'est à peu près tout. conclusion ? libertaire, faut un peu plus se casser le cul que libéral, c'est tout.
post-scriptum : et je vous emmerde.

quel rapport avec l'art ?

Nahr al-Bared, la population en otage ? lematin.ch
Non, la famille Hariri n'a pas financé directement Fath al-Islam info-palestine.net
(à lire avec précautions : la rumeur), et histoire d'équilibre on peut aussi regarder ça
Le nouveau champ de bataille contre al-Qaïda ? Paul Khalifeh - RFI, info-palestine.net
Plan A, plan B : la Syrie n’a de cesse qu’elle ne récupère sa tutelle, Émile KHOURY, L'Orient le Jour

Putains de peintres, tu les jettes par la fenêtre, ils rentrent par la porte.
et c'est du très beau travail, la très belle peinture de Maria Amos, que tu crois dans un premier temps posée là en dehors de l'installation, et quand tu vois les gens assis manger leur plat du jour dans la cafétéria, le génie.
Même chose pour Jacques Saquet, travail magnifique, avec juste un regret, il aurait fallu occuper toute la cage d'escalier, mais on sait que nous faisons tous sans moyens, on donne de notre temps et nos deniers, sans contrepartie et pour personne ou presque, sauf nous-même.

Putains de peintres, peindre le ciel, ils n'y sont pas. Leur travail, ils ne le font pas, et d'excuses ils n'en ont pas, ils avaient tout entre les mains. Ils n'ont rien branlé, ils ont joué les sculpteurs, sûr, ça a dû leur faire du bien à l'ego, ça n'empêche qu'ils ont montré leur parfaite impuissance face à la grosse question no-made. Plus encore, un pur sculpteur comme Stapleton s'est autorisé à peindre, avec brio et talent.

No-made s'institutionnalise, et intimide, et pas en bien. Le Jean-Pierre Joly, qui rêvât de peindre la façade et occuper grandiose l'entrée du gymnase, se retrouve recroquevillé à se faire regarder par un trou de serrure en plastique. Tu me diras, un type qui a fait médecine, c'est évident qu'il a appris à courber l'échine, et que pour le faire rentrer à la niche, pas la peine d'user de l'intimidation, un soupçon d'institutionnel et ces êtres là ça rampe. Et pourtant, Joly, la testostérone il n'en manque pas. C'est bien lui qui à no made cap d'ail en 2006 installait une grande bâche crade rouge à même le sol à l'entrée, traçait sa pistes de photos jusqu'à sa grande toile belle au fond. C'est bien lui qui à no made roure en 2006 installait à l'entrée ses boules, rien moins et grosses et rouges. Et Rosticher, déjà sa très belle installation de cap d'ail 2006, il la jouait un peu à l'écart,cette fois il la joue carrément off.
Tous ne se laissent pas impressionner, et Kô et Courtain. Ça n'empêche qu'on voit bien que no made c'est des pièces qui sont exposées un peu comme ça vient, et que no made, c'est une exposition, assez mal faite, avec d'assez bonnes pièces.

dommage car au départ c'était beau, les mains de mon pote partaient de dehors le gymnase, y entraient, dans l'entrée, au milieu des sacs poubelle à Joly, le Jean-Pierre, le puissant, et auraient fini dans le gymnase. Le gymnase, celui qui n'a pas été peint, dommage.

Le plus calamiteux des peintres c'est falsetti qui nous les rompt menu car dit-il il n'avait pas sa place, il n'avait qu'à se mettre au fond du préau, et c'était joué, et sa plaque la mettre sur la plage, comme lui avait expliqué gib, mais falsetti est un indécrottable petit, en plus il donne des conseils, crapaud.

Le seul défaut de no made, c'est que Gibelin est parfait, et qu'il n'est vraiment pas aidé. Il avait demandé un comité de sélection et de mauvais coucheurs, pour de mauvaises raisons, le lui ont refusé. C'est la faute à Louis Dollé.

Jetons un voile sur la salle de danse, il n'y avait que des femmes et un italien du sud perso, il aurait fallu que Sopie prenne ça en mains, elle ne s'est pas autorisée, elle n'a pas l'habitude de poser les couilles sur la table. au lieu de ça elle s'est faite rouler dans la farine, son exhibition n'a été (dé)(quasi)programmée qu'à la toute fin, et elle croit que no made c'est pas macho, c'est une gentille.

Le gymnase que du bon, n'importe comment.

Le gymnase c'est de la gauche, des discours individuels sans histoire, sans pensée, c'est rien, des mots tout seuls.

Le gymnase on aurait pu entrer par les mains de Louis et les sacs poubelle à Joly, et tomber sur l'histoire du gymnase par Olivier Roche, droit devant. On aurait vu la cabane de Bernard Abril devant, en plein milieu. À droite et à gauche, Gibelin aurait retourné ses sièges.
En tournant la tête à gauche on aurait vu Doo Hwa, la ligne de marrée de Stap aurait pu passer sous la cabane de Bernard, et pas s'entasser sur la courbe de bouteilles de Doo Hwa, la cage de Rob et Héléna à droite il fallait se retourner, on découvrait alors l'installation d'Hervé qui ne doit pas se jeter à la gueule mais se découvrir, et Gabriel Fabre aurait fini en harmonie, les buts déplacés.
Cela aurait permis de mettre en valeur sous la cabane les deux installations pil poil de Lulu et Momo, M'Gaides serait intervenue dans la cabane, qu'elle se démerde, l'art c'est pas simple.

Dans le gymnase, on aurait pu faire autrement, et mieux ou pire ou différent, mais cela aurait été bien de le penser, s'il y avait eu des peintres, des vrais, pas des peintres de merde qui se la jouent perso, ou sculpteur.

MORT AUX PEINTRES, falsetti salaud, le peuple aura ta peau.

Présidentielle: l'analyse politique de Didier Super

Testez votre subconcient
signalé par Odette.

La victoire du bien contre la mal, ou comment sarkosy a vaincu royal.

Ceux qui savent pourraient vous dire que la réalité est double. La réalité triviale des arbres qui poussent, de l'eau qui s'évapore des pluies qui tombent ou ne tombent pas, du feu de la terre, de la dérive des continents, du réchauffement climatique, des saisons, des comètes et des météores, des tremblements de terre des ouragans des tsunami et pluies de sauterelles. Le mal.
Et la réalité de la pensée.

Sarkosy a promis la prospérité. Et beaucoup l'on crû. Il a promis qu'avec lui les riches seraient plus riches, et beaucoup l'on crû ; et à ceux qui doutaient, royal et les léninistes on confirmé que c'était vrai, alors tous ont crû.
Aux pauvres, sarkosy a promis qu'il leur apprendrait le moyen de s'enrichir, et beaucoup doutaient, mais royal a dit que c'était vrai, fini de subventionner les pauvres à perte, il fallait du donnant donnant, si les pauvres faisaient un effort, alors ils mériteraient d'être aidés, et sinon ils seraient rééduqués, par l'armée au besoin ; et les léninistes n'ont rien dit.
À ceux qui doutaient pourtant des capacités de sarkosy à faire ce qu'il disait, ni royal ni les léninistes n'ont dit qu'il n'était qu'un tigre de papier, et pourtant la liste des preuves était longue. Non, au contraire ils ont dit que sarkosy était fort et puissant et capable et dangereux.

Alors sarkosy a vaincu. Il a vaincu par sa pensée unique car ses adversaires n'on pas de pensée. N'ayant pas de pensée, il ne pouvaient parler que de pauvres mots qui aussitôt prononcés allaient se couler dans la seule pensée exprimée, sarkosy n'a rencontré que des adversaires muets.
Dans ce silence tonitruant la pensée faible bayrou a pu se faire entendre. Et celle d'un animateur de d'aventures télévisuelles, tout dans le silence, car les verts et les alter mondialistes sont aussi muets, il ne restait de parole que du spectacle, l'apparence de la pensée.
Et la pensée de sarkosy.

La gauche est vivante, elle n'est pas muette : elle est bâillonnée et prise en otage.
La gauche parle, elle tente de parler, elle essaye, elle teste, elle veut.
à suivre

Éclaircie à gauche ?

La plus calamiteuses des représentants de la sociale démocratie en France depuis Guy Mollet a au moins eu cette vertu : réduire par son discours droitier les factions léninistes à des positions de faiblesse.
Le score de Besancenot ne doit pas faire illusion, il doit plus à sa bonne bouille de jeune facteur sympa, qu'à son léninisme qu'il a su faire méconnaître.
Les léninistes sont à l'agonie, achevons-les !

Il faut reconstruire la gauche, c'est aujourd'hui possible.

Au premier tour, il faut partout où des candidats du marais de la gauche 'alter mondialiste' sont présents, leur porter nos voix ; partout ailleurs faire battre les candidats léninistes en votant social démocrate.
Au deuxième tour, partout voter contre les candidats léninistes, en votant pour leurs concurrents, quels qu'ils soient (sauf fn mais ça ne se présentera pas) ; et partout ailleurs, faire battre les sociaux démocrates, en votant pour leurs adversaires.

Ça avance, législatives : votons !

oao, Louwi, it's Amaizing, no?
Par notre envoyé spécial à Cannes, Louis Dollé

Ce jeudi 10 mai, je suivais Paul Stapleton, Grand Artiste Anglais* lors de ses pérégrinations sur la plage.
Certains se balladent sur la plage afin d'y trouver un contentement visuel d'ordre anatomique, Paul, lui, cherche du matériel pour son installation Une vérité qui dérange (traduction française du film d'Al Gore) qu'il installe actuellement à la M.J.C. Picaud, à Cannes, pour No-Made 2007, dont le non-vernissage aura lieu Samedi 19 mai, à douzes heures, en présence de Jean-jacques Beineix.
Paul Stapleton se promène, osculte le sable, concentré, sombre, il est beau, comme peut être l'Art.
Tout à coup, Paul, le regard fou , dit:"hôa, Louwi, it's incrédibeul, amazing, plutôt no?"
Ça l'était, en effet. Dans le remous d'une légère vague sur le sable, deux incroyables poissons en céramique très kitchs apparaissaient puis disparaissaient, comme vivants, semblant interpeller l'artiste. Paul eu d'abord un regard fou, comme celui d'un chercheur d'or trouvant la pépite, puis entra subitement en contemplation. Il admira longuement sa pêche.
Et comme l'art, c'est la vie, la vie c'est le mouvement, il me dit de faire des photographies afin d'immortaliser ceci car personne ne le croirait (j'avais bien sûr commençé bien avant qu'il me le demande).
Il s'empressa de saisir sa prise. Puis me demanda de le suivre, il ne marchait plus, il courait, jusqu'au gymnase où il incorpora les curieux animaux dans son installation, prenant soin d'y laisser quelque peu de sable, pour ne pas briser le charme...
étonnant, non?
*PS, G.A.G le reportage photo est sur territoile

du 16 au 26 mai 2007, les artistes NO MADE investissent le 60^ème festival du film de Cannes

no made à la croisée des chemins

Le 7 juillet -2007, vers 17h30, sur le mont Bégo, l'artiste L'Boz-Io terminait sous des trombes d'eau sa gravure sur pierre représentant une électrocution par la foudre. Il devait mourir quelques semaines plus tard. La cause de son décès n'est pas formellement établie, deux thèses s'affrontant, l'une basée sur la présence d'un traumatisme occipital, l'autre sur des signes évidents de syphilis avancée. mont Bégo sur le net

le 4 décembre 1866, naissait Василий Васильевич Кандинский,

le 16 avril 1896, naissait Tristan Tzara,

le 28 juillet 1887, naissait Marcel Duchamp.

source

Not I
Vous ne voulez que du bonheur ?

Beckett
chez ubu.com

que du bonheur

écouter Duchamp
chez ubu.com

que du bonheur

source

OBSCÈNE :

SOURCE : IFOP
http://www.ifop2007.fr/photo/File/IntentionDeVote/JDD-PRESI20-28-04-2007-16263A.pdf

les Actualités sont sur le

⇒ Cynthia Lemesle & Jean-Philippe Roubaud du 5 mai au 23 juin 2007 à Nice
⇒ Eizo Sakata du 5 au 31 mai 2007 à Paris
⇒ Cabinet Démocratique : Sophie Taam le 6 mai 2007 à Nice
⇒ Cabinet Démocratique : South Art & Le Labo du 7 au 13 mai 2007 à Nice
⇒ La Station du 12 mai au 27 juin 2007 à Nice
⇒ No-made du 16 au 26 mai 2007 Cannes

⇓↳ ESBAM jusqu'au 5 mai 2007 Marseille
⇓↳ Bernard Abril jusqu'au au 12 mai 2007 à Vallauris
⇓↳ Virginie Teurbane jusqu'au 20 mai 2007 à Nice

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