Scroogle
à faire : ouverture de la page de résultat dans une floatbox
Il faut toujours avoir deux idées l'une pour tuer l'autre (Georges Braque)
????
Sophie Ristelhueber au Jeu de Paume
Puisqu'il y a +/- de bruit ici, le dernier chanteur français depuis samedi soir. jpj
ça craint ff
Biagi, Bosio, la séréna, la sardine, L'atelier La Bruyère
plein de monde, sauf Ko...
Mais où étais-tu Ko?
Doll
L'affairiste Marc Ravalomanana, président élu de Madagascar qui avait à titre gratuit concédé à Daewoo un bail de 99 ans sur 1,3 million d'hectares à Madagascar, soit la moitié des surfaces arables du pays, ou une superficie équivalente à celle de l'Île-de-France, cède les pleins pouvoirs à l'armée. Cela remet-il en cause l'accaparation par la firme Coréenne Daewoo du tiers des surfaces arables d'un pays qui meure de faim ? Rien n'est moins sûr. courrier international
Sir Timothy John Berners-Lee putain 20 ans déjà !
que peut donc le cinéma pour le monde ?
Reconnaissance méritée pour Héléna et Rob !!!
vu aujourd'hui dans le journal Gratuit "nice direct" et ils ne nous l'avaient pas dit ! Dolll
Accord du participe passé des verbes pronominaux réfléchis
Mardi dernier MF et moi étions allés voir Sylviane et dans la conversation elle se met tout à coup à parler de l'accord du participe passé des verbes pronominaux réfléchis. C'est resté en arrière fond tous ces jours et ce matin ça éclate. Ça va faire 50 ans à présent que j'ai décidé que je n'y comprenais rien , et que vogue la galère, si je tombe dessus et bien tant pis. J'ai simplement eu du bol au concours d'entrée à l'école normale d'instituteurs, je suis tombé juste, j'ai gagné au loto. Ce matin j'ai relu les définitions, et si à 8 ans je n'avais pas compris alors que mes neurones étaient frétillants, pas de miracle, mais neurones usés ne font pas mieux. J'ai dans l'idée, puisqu'arrivé à la fin de la définition j'ai déjà perdu le début, et qu'un allemand n'a pas besoin d'un poil de grammaire pour parvenir à décliner, d'utiliser l'usage plutôt que la rêgle. Donc fabriquer une machine à poser des questions d'accord du participe passé des verbes pronominaux réfléchis. Si ça marche, je pourrais me trouver en situation de ressentir le français comme quelque chose de compréhensible, et de là je pourrais alors vaincre les langues étrangères.
quelques liens pour situer le sujet :
http://www.synapse-fr.com/manuels/PP_PRONO.htm
http://www.etudes-litteraires.com/verbes-pronominaux-participe-passe.php
http://home.ican.net/~galandor/grammair/partici3.htm celui qui me semble le plus clair
wikipédia la palme de l'indigeste, mais…
méthode Wilmet
méthode Wilmet et blocage d’accord (à prendre avec des pincettes quand on y lit : Les efforts que cela ma COÛTÉS vs Les cent francs que cela ma COÛTÉ (sic))
historique
Au début était : Le participe passé employé comme adjectif s'accorde avec le nom, employé avec l'auxilliaire être il s'accorde avec le sujet, employé avec l'auxilliaire avoir il est invariable.
* En 1538 Clément Marot introduit cette règle : Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire avoir est invariable sauf si le verbe est accompagné d'un complément d'objet direct qui le précède. [1]
* Constatons que jusqu'au début du XVIIe siècle, l'usage était simple: conjugué avec être, le participe s'accordait avec le sujet. C'est Malherbe qui a voulu que l'attention se portât sur le complément plutôt que sur le sujet. Il a distingué, dans un cas sans complication, Ils se sont élu des rois et Ils se sont blessés. Le branle était donné et notre règle allait progressivement se préciser. Non sans hésitations ni discordances. [2]
* Les règles classiques occupent 4 pages dans Le bon Usage et sont suivies de 12 pages de règles "particulières". Qu'est-ce qu'une règle qui propose trois fois plus d'exceptions que de normes ? [3]
Malherbe remarque que dans Ils se sont élu des rois et Ils se sont blessés
l'auxilliaire être a le sens de l'auxilliaire avoir, on aurait pu dire Ils ont élu des rois pour eux-mêmes et Ils ont blessé eux-mêmes. On utilise donc dans ce cas la règle du participe passé employé avec avoir. La chose semble logique et il nous suffit de nous demander s'il s'agit d'un véritable auxilliaire être ou si on a affaire à un auxilliaire avoir caché.
Essayons de voir si cela fonctionne. Pour cela on va utiliser Le site Web de Luc Gauthier-Boucher
Règle n° 1 : Le participe passé des verbes pronominaux purs s'accorde avec le sujet du verbe, puisqu'il est conjugué avec l'auxiliaire être.
la question que l'on se pose est : est-ce un pur être ou un avoir caché ?
Ils se sont emparés du château.
aurait-on pu dire ils ont emparé le chateau ? non
Les trois femmes se sont échappées juste à temps.
aurait-on pu dire les trois femmes ont échappé à temps ? non
Elles se sont plaintes auprès de leur mère.
aurait-on pu dire elles on plaint leur mère ? non
Ils se sont doutés de la fraude.
aurait-on pu dire ils on douté la fraude ? non
Conclusion : ça marche et on peut donc oublier la règle n° 1, en remarquant qu'il faut être attentif et ne pas confondre : les trois femmes ont échappé à temps et les trois femmes ont échappé à l'ogre.
Passons à la règle n° 2 : Le participe passé des verbes accidentellement pronominaux s'accorde avec le complément d'objet direct placé avant, exactement comme s'il était employé avec l'auxiliare avoir.
Là ça me semble fonctionner parfaitement… est-ce un pur être ou un avoir caché ?
règle n° 3 : Le participe passé des verbes pronominaux employés pour fabriquer une tournure passive s'accorde en tout temps avec le sujet.
Là encore ça me semble fonctionner parfaitement… est-ce un pur être ou un avoir caché ?
règle n° 4 : Lorsque le participe passé d'un verbe pronominal est placé directement devant un infinitif, la règle propre à la relation participe passé / infinitif s'applique. À noter que l'analyse est différente si l'infinitif est remplacé par un participe passé.
Et enfin là aussi ça me semble fonctionner parfaitement… est-ce un pur être ou un avoir caché ?
Il nous reste à voir les cas particuliers, puis construire un QCM.
+/- d' accord
Art, Pinard, Sauciflard + sur fèces de bouc
80510 c'est bien ce que tu as fait à Art, Pinard, Sauciflard
Ivan Illich et la critique radicale de la société industrielle
[…]
Au total, le franchissement d’un seuil de contre-productivité provoque plus de dépendance, alors que les gens cherchaient plus d’autonomie. Les marchandises étouffent ceux qu’elles étaient censées libérer. Tout d’abord, la société tout entière est peu à peu façonnée en fonction des outils hétéronomes. Ceux qui tentent de sauvegarder leur autonomie doivent progressivement choisir entre exclusion et règle commune : dans une ville où l’automobile est reine, se déplacer à pied ou en vélo devient dangereux. Certains moyens techniques éliminent ainsi toutes les autres formes de production de valeur d’usage : Illich parle alors de « monopole radical ». Et ceux qui n’y ont pas accès sont alors appauvris, puisqu’ils ne peuvent plus utiliser les méthodes autonomes.
La seule façon d’échapper à cet appauvrissement est d’utiliser des marchandises-prothèses suppléant à la perte d’autonomie. Les médicaments suppléent au mal-être, la télé à la solitude, le Viagra à l’impuissance. D’où un cercle vicieux : chaque diminution d’autonomie personnelle donne naissance à une demande supplémentaire de marchandises qui diminue un peu plus l’autonomie, etc. Congestion et encombrement font alors leur apparition, dans les transports, les hôpitaux, les grandes institutions. Enfin, se multiplient les « professionnels » (au sens américain du terme : spécialistes, experts), seuls capables de trouver des solutions au fonctionnement de plus en plus complexe d’une société hétéronome. La voiture appelle le garagiste, l’école le professeur, la complexité sociale l’expert en tous genres : sexologues, psychologues, profileurs, communicateurs… Toutes ces professions deviennent des intermédiaires obligés, qui accroissent d’autant la perte d’autonomie de chacun.
[…]
Ivan Illich et la critique radicale de la société industrielle
artiste petit-bourgeois tu es esclave, recouvrer l'autonomie est possible
+/- de marchandise, objet d’aliénation
Contrairement au sculpteur,qui installe Un ³objet forme² qu¹il va décliner.
le peintre doit les exploser explorer Tous.
on peut considérer qu¹une peinture ³s¹installe², lorsqu¹on peut tourner
autour de ³l¹objet forme²
qui devient Une Présence,
Donc une relation possible
et le décliner
Mais qu¹en est-il lorsque la forme disparaît?
à force d¹exploration
Et qu¹il s'agit alors de représenter non plus l¹objet forme mais la Relation
entre lui et la peintre?
mon cher Watson?
c'est la teuf ce soir chez dolll
Albanel : Internet "n'est pas un droit fondamental"
Vincent Peillon, philosophe d'appareil
Quand Luc Besson s’en prend à Kassandre !
Philippe vous a envoyé un message.
Frédéric, franchement ,tu commences à me gaver sérieusement !!!!
J'essaie de créer un mouvement , et tu parles de tout sauf du sujet en question .........!
Tes états d'âme ..... je gère les miens sans gaver les autres.
Que se soit clair !
Ciao
Pour répondre à ce message, cliquez sur le lien suivant :
http://www.facebook.com/n/?inbox/readmessage.php&...
Mais à moins de s'abaisser, d'où pourrait-on tirer le mandat de vivre ?
Voudrait-on tuer le logiciel libre que l’on ne s’y prendrait pas mieux
Un autre monde est possible selon André Gorz (et le logiciel libre)
Photographier les paysages sociaux urbains. Itinéraires visuels dans la ville
Shakespeare a bien existé, la preuve : il est en photo dans Le Figaro
Yvan Colonna est innocent
déclaration de Pierre Alessandri le 09.03.2009
"Ta reddition dans les jours suivants aurait suffi à te disculper comme d'autres", a-t-il lancé à l'accusé "parti aux chèvres" alors que ses amis étaient en garde à vue en mai 1999 et arrêté par le RAID en juillet 2003. "La plus grosse culpabilité est pour moi, mais ton entêtement dans ta cavale, ça a conditionné ta culpabilité"
"Ce que je lui reproche, c'est d'avoir laissé Didier Maranelli et Martin Ottaviani, qui n'avaient pas un parcours de militant, aller au charbon, alors qu'il aurait dû y aller lui-même", dira-t-il un peu plus tard. "Pour être en cohérence avec son discours, il aurait dû franchir le pas".
champagne
Dans un paysage idyllique et qu’on voudrait habité par le silence, paysage qui évoque les photographies[…]
fuori profiteurs !
ça fait un moment que cette engeance nous pourrit la vie, lui son ex et son collomb. qu'ils se trouvent un emploi dans leur famille naturelle, chez sarko enfin. ff
tags : "François Hollande", "Gérard Collomb", profiteur, nuisible, sarko, ump
Courage Martine, nous sommes avec toi !
Bajaloo en vérité est un buveur de Leffe, et pas de champagne contrairement à ce que de récents propos de Didier auraient pu laisser à penser. Je n'ai rien compris à cette polémique nous déclare Bajaloo, moi ce que j'ai aimé dans cette vidéo c'est que cette (très belle) femme fasse un procès à Oncle Bens pour usage de l'image des noirs.
ANTIDOTE si vous avez malencontreusement cliqué sur le lien fourni par JPJ et que votre journée semble irrémédiablement assombrie, voici trois vidéos aptes à vous redonner le goût à la vie :
[1], [2] et [3]. quelqu'un sait où on peut écouter bella ciao par nux vomica ?
les quatre libertés
tentative de réponse à Éric au sujet de la discussion de l'autre soir.
augmentée de la réponse d'Éric.
+ de liberté
Si on n’en parle pas, ça n’existe pas Éric me disait que ça l'énerve au plus haut point ce besoin de reconnaissance. En premier lieu il ne s'agit que d'un lien vers une campagne de RSF. Mais si on applique cette assertion à l'art ? L'art est obligatoirement dialogue. Si l'artiste fait son truc dans son coin et ne montre à personne, il dialogue quand même, mais avec ses références seules. Et si tout le monde avait fait comme lui, il n'aurait pas de références. Montrer son art ce n'est donc que rendre ce que l'on reçoit. D'autre part l'art ce n'est pas un truc qui existerait quelque part en dehors de la lutte des classes. Pour faire exister autre chose que l'art bourgeois, il faut bien faire exister l'art.
Au même titre que la connaissance, l'art est un bien commun qui peut être organisé en tant que marchandises sur un marché, l'art devient alors un spectacle comme un autre, et dépendant comme un autre de l'industrie du spectacle, comme le sport, l'habillement, l'éducation ou la santé, la nourriture ou le logement, la politique, la religion et la philosophie.
La question n'est pas celle de la reconnaissance, mais bien celle de l'existence. ff
Fred, je pourrais de te faire un grand discours très convaincant pour t’expliquer ma réticence-répugnance à l’égard de la reconnaissance, et depuis des années j’ai rassemblé pour ma propre gouverne un grand nombre d’éléments épars à cet effet. Vaste problème. Certains valent le détour, je crois. Aucun, cependant, ne sera plus honnête que celui-ci : je suis un homme timide, pudique, discret, à tel point que le dire me coûte toujours un peu – c’est déjà le fameux bling-bling, qu’il plaît hypocritement de (feindre de) découvrir soudain dans un seul homme quand toute la société en est tellement confite qu’elle a porté logiquement cet homme qui lui ressemble et la symbolise à son faîte ; il la représente à merveille. Je n’ai rien de ces virtuoses de l’extraversion, de l’esbrouffe, du scandale et de l’ostentation immédiats– qui sont censés peupler la société libéralissime et la faire résonner de leurs éclats comme une grosse caisse claire parsemée de clous et clochettes, sans compter les lumières. Non seulement je ne le suis pas, mais les multiples « encouragements » à le devenir n’ont fait qu’accentuer cette anomalie ; plus il a fallu devenir quelqu’un pour obéir à je-ne-sais-quoi, plus j’ai désiré devenir personne, car aussi le sens de la contradiction m’a été largement partagé et j’en use à discrétion, comme on dit (tu dois comprendre cela, étant toi-même généreusement doté de ce coté-là). Je n’aime pas ça, donc ; je crois pouvoir nommer mépris le sentiment que ça m'inspire. Et rien ni personne ne pourra jamais me le faire aimer, car j’ai aussi la tête dure (toi-même...). Les noms d’oiseaux et les imputations personnelles désagréables que cela m’attire me font sourire, une liberté ne se mesure pas à ces pardonnables misères.
Cela n’existe pas si on n’en parle pas – au delà de la plate évidence, on a rarement trouvé slogan plus stupide et caractéristique de cette période star-académiste où chacun doit s’aligner sur des prétendues libertés qui l’enchaînent de façon désastreuse, car sans issue, comme dans la boîte à mouches, à la poursuite de la grossière chimère dite visibilité, dans le jargon technique de l’époque, en gros et en raccourci : reconnaissance. Tu sais ma situation, je l’invoque à titre d’exemple ou de cas (pour ne pas encourir de trop prévisibles et subalternes reproches)– jamais ne m’a effleuré, durant tout ce temps, le sentiment de ne pas exister, du moins, parce que les suggestions sont fortes au ressentiment, lorsque j’étais à pied d’œuvre, si j’ose dire. C’est la part de plate évidence qu’il s’agit de travailler, de compliquer, de déployer, de rendre incompréhensible et vivante, pour une fois. Que des artistes a fortiori critiques-de-la-société, cette respectable lune, donnent dans ce piège m’est à la fois tristement compréhensible et sidérant. On ne brille soi-même que par le truchement et qu’à raison de sa réalisation, de sa fabrication, de sa « création » (ce mot dont l’inflation grotesque colle à l’esprit du temps), quelque nom qu’on lui donne, et jusqu’alors on parlait d’œuvres, peu importe. Il paraît à présent que l’homme est plus intéressant que l’œuvre, je n’en crois décidément rien, et que l’œuvre est prétexte à promotion perso, j’en ris et promets d’en rire encore si j’ai le temps.
Reconnaissance a deux versants, dont on exploite à outrance l’un, et laisse l’autre en jachère – gratitude. Quelle gratitude, diras-tu. Quelle gratitude, en effet, peut éprouver, artiste ou non, celui qui geint et se tortille lamentablement pour qu’on le voit ? Une dimension de l’art passe ici à la trappe, Ubu hyperactif – la célébration, l’hommage, la gloire. Quoi ? La vie, la mort, le monde, l’existant, le devenir, ce n’est pas la matière qui manque. Rien qui soit ici quelqu’un. Tout ça. Sans doute est-ce trop banal et bienheureux pour des êtres angoissés, las et impatients de voir des rayons frapper et faire reluire leur apparence avant l’échéance, comme une pancarte publicitaire n’indiquant rien d’autre qu’elle-même, rien d’ailleurs qu’elle-même. Eh bien, si vous n’avez rien d’autres à montrer, montrez le, mais n’attendez pas qu’on s’y intéresse au delà du premier coup d’œil qui l’aura distrait et fait différer une seconde de la pacotille (et cela n’ignore pas l’esthétique de la pacotille, mais justement c’est une esthétique, dont on ne voit pas le bout, ni la performance).
Voilà, en gros, à suivre encore, inépuisable sujet. D’autres aspects de la re-connaissance. Et j’ajoute ceci qui n’est pas sans rapport avec cela, outre qu’un heureux hasard me l’a fait lire hier : Dimanche, 6 avril 34. Jeune fille assassinée à coté de moi. J’y cours, elle est au milieu de la rue et auprès de sa tête un petit lac de sang d’un pied de diamètre. C’est ce que M. V. Hugo appelle être baigné dans son sang.
Stendhal donc.
Éric Lesné
cacher ces quatre libertés
Sophie Taam
vient de faire sa première présentation télé de Sexuel transfert
et l'homme, orchestre.
Ça vous fera penser peut-être à notre Louis (?!).
Bises. Fouzi.
Profil et face ou plutôt face et profil cela ne vous rappelle rien ?
Exclusif ! Hervé Courtain refuse de s'inscrire sur face de bouc
+ de refus de face de bouc
From: Hervé Courtain
Salut Mau Mau
Désolé je refuse d'entrer dans ces grosses machines à fabriquer de faux amis. Le but de ces sites est le recoupement des infos pour mieux exploiter le consommateur qu'il y a en chacun de nous, à donner accès à la vie personnelle des uns et des autres au profit de gens qui n'ont que faire de ton amitié mais qui s'interessent à des stratégies que je qualifie de nocives.
Si ton serveur qui est ton maître, ne m'avait pas dit que c'était ta photo je ne t'aurais pas reconnu. J'apprécie aussi ses phrases toutes faites....Quand à ton ptofil je n'y aurais accès que si....je m'inscris...peuvent attendre
Un artiste doit penser par lui même, pas par la machine à standardiser et formater les cerveaux.
J'espère que " ton message sur le mur " est une insulte à ce sytème.
J'envoie ça à Falsetti je suis certain que ça va lui plaire et aussi lui faire baisser sa tension ( Salut les montagnard descendrez vous de vos cimes eneigées pour allez chez Dollé )
La bise Hervé
----- Original Message -----
From: Maurice Maubert
To: Hervé Courtain
Sent: Wednesday, March 04, 2009 2:38 PM
Subject: Découvrez mon profil Facebook
facebook
Maurice Maubert a :
5 amis
0 photos
0 articles
1 message sur le mur
0 groupes
Découvrez mon profil Facebook
Bonjour Hervé,
J'ai créé mon profil Facebook sur lequel je peux publier mes photos, mes vidéos et des événements. Je souhaite vous ajouter à mes amis pour que vous puissiez y accéder. Pour cela, vous devez d'abord vous inscrire à Facebook ! Vous pourrez ensuite créer votre propre profil.
Merci,
Maurice
Pour vous inscrire à Facebook, suivez le lien ci-dessous :
http://www.facebook.com/p.php?i=1206679750&k=34BX2YU2P3WM51BATK4UVP
From: Hervé Courtain
ET JE VIENS DE TROUVER ÇA :
C'est quoi cette revendication à la soumission à la grosse machine. Mille
sa&bord de m... c'est a pleurer
Sophie vous invite à rejoindre le groupe Facebook « Nice - Les artistes revendiquent.......... ».
GANG-BELLA CIAO-BANDIERA ROSSA _ HAOS-Bandiera rossa 2
se voiler la face (de bouc)
La face cachée du virtuel
comme remarquait Héléna hier soir, et Mau aussi, le virtuel c'est une page de Nicemâtin quel journal (et une expo chez aral dites ? ajouterais-je) virgule, alors que construire des réseaux via la toile, ça c'est du concret, doudou dis donc (doudou passait par là, ce n'aurait pas été civil de ne pas la citer, mais ça n'a rien à voir avec le sujet, fait chier doudou qui interfère dans l'idée mais c'est comme ça on n'y peut rien) fin de parenthèse.
deux nouveaux fils d'infos dans les news, Le Chasse-clou et les Actualités de la Recherche en histoire visuelle
dans le chasse-clou un autre aléateur que notre jpj ?
Vous ne saviez pas que Gala, VSD, Paris Match and co c'est bien et que Voici ou purepeople c'est mal ? alors cultivez-vous !
Kahn & Selesnick
Le ministère de la culture prend feu
L'origine de cet incendie reste à déterminer nous dit Libération
…voilà ce que c'est que d'avoir une ministre de la culture flamboyante.
http://www.kassandre.org/
et aussi wikipédia et witkacy.org, wikipédia:related
plus de 80 ans plus tard, je me fais cette réflexion que l'art officiel, ce que d'aucuns lui reprochent, souvent avec virulence, dirais-je avec aigreur, c'est sa vulgarité et sa quotidienneté.
il semble aussi que Witkacy méconnaissait la lutte des classes et n'avait pour guide que la notion du bien et du mal, et en cela encore, en cette limitation même, en cette impuissance, il est tragiquement actuel. ff
La véritable nature de tous les sentiments se retrouve seulement dans le mensonge et l'inassouvissement.
plaidoyer pour une dématérialisation assumée de no-made
+ de dématérialisation
Est-ce qu'un plasticien est un fabricant d'objets d'art ? On peut répondre oui, mais dans ce cas cela sera sans moi. Est-ce que pour no-made un plasticien est un fabricant d'objets d'art ? Il semble que non, puisque no-made nous propose d'intervenir de façon temporaire dans des lieux qui ne sont pas des lieux d'exposition d'objets d'art, pour ces lieux et avec un thème imposé. La première année où Denis a invité MF à exposer dans un jardin j'avoue que je suis parti sur l'idée d'un stand d'art comme on peut en faire dans les Les Arts dans la rue. Il a fallu que je constate le malaise, que je voie les peintres sur chevalet expulsés du jardin d'Eden pour que je m'interroge sur ce qu'est no-made. Moi on ne m'avait rien dit.
Ça c'était au début du siècle, cela a-t-il changé ? Il ne me semble pas, no-made est toujours aussi taiseux.
Ce qui a peut-être changé c'est qu'on sait maintenant plus de choses sur ce que no-made n'est pas. Encore que relativement. On n'est jamais tout à fait certain de ce que no-made n'est pas. Et c'est sans doute la seule chose que l'on sache de façon certaine de no-made : no-made n'est pas.. Oh bien sûr no-made se matérialise ici où là à tel ou tel moment, et il est alors no-made de ce temps en ce lieu. Mais en général no-made n'est pas..
no-made n'existant pas, demandons-nous à présent si no-made ne serait pas une danseuse.
Ça peut étonner, no-made en bourgeoise toute de noir vétue qui promène sa vacuité et ses caprices le long des flots bleus. Ça n'est pas non plus impossible. L'artiste petit-bourgeois, qu'est-ce qui l'empêche de se payer sa danseuse à vil prix, une sorte d'auto-production en somme. no-made on s'en fout mais ça fait chic dans une mornevie. paraître un peu. un +. genre. de l'auto-érotisme. masturbation hygiénique.
Et tout irait ainsi, s'il n'y avait la lutte des classes. Le bien et le mal pourraient folâtrement se chamailler sur un champ d'esthétique mâtinée de bon sentiments écologiques et tiers-mondistes, avec un poil de populo et de charité chrétienne. On se ferait chier, mais discrètement et avec distraction.
Alors qu'avec la lutte des classes…
N'entendez-vous pas dans nos campagnes mugir ces féroces troufions de l'art ? garantis 100% pioupiou, sentant le ripolin sous le bras ?
Ils sont à Beausoleil Roure Cannes, leur rayon est dépertemental, soit moins d'une journée de cheval, actualisé cela fait dans les deux heures de ouature, mais il en est d'autres en d'autres dépertements. Et c'est là que je plaide pour la dématérialisation.
plasticiens de tous dépertements unissez-vous et devenez plasticiens régioneux, visibilité augmentée, promotion assurée.
je vis la cage dans la pénombre, elle était peu profonde… Félicie, aussi. ff
cacher cette dématérialisation
un poème dit = un verre offert
+ sur le verre offert
Calendrier incomplet Slam et poésie dans les jours qui viennent
Mercredi 4 mars à 20h01
Café-Poésie/Slam
Cave Romagnan
22, rue d'Angleterre à NIce
Vendredi 6 mars à 19h00
Scène Slam
Bibliothèque de Sospel
Mercredi 11 mars à 20h31
dans le cadre des Journées Poët-Poët et le Printemps des Poètes
(tous les renseignements sur unepetitevoixmadit.com)
Scène Slam
Cave Romagnan à Nice
Il y aura d'autres événements dont à lesquels je vous ferai part
Résolument en poésie
Pascal Giovannetti
et n'oubliez pas :
un poème dit = un verre offert
finir ce verre