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avertissement au lecteur : vous ne trouverez rien ici concernant la philosophie, la politique, la critique d'art…
vous ne trouverez que des constructions n'obéissant qu'au gai plaisir.

les belles et bonnes grognes de Lunettes Rouges

Petit manuel de l'anti-libéralisme
à l'intention des candidats anti-libéraux aux élections présidentielles.

Il est assez effarant de constater à l'écoute des candidats se revendiquant de l'anti-libéralisme, l'ignorance dans laquelle ils semblent être de la nature du libéralisme et partant de ce que devrait être un anti-libéralisme conséquent.

du positif quand même ?

• Voir des gens qui se réclamaient du communisme (en réalité du marxisme-léninisme qui a usurpé le terme de communisme), se réclamer à présent de l'anti-libéralisme, est réjouissant. Il ne faut pas être dupe, il ne s'agit là que d'un artifice de propagande, la bête marxisme léniniste n'est pas morte. Mais on sait l'influence qu'a la forme sur le fond, ils mettent ainsi le doigt dans quelque chose bien capable peut-être de les broyer enfin définitivement.

nature du libéralisme

Le monde actuel est divisé en trois entités géographiques majeures : la Chine, l'Inde et le monde occidental. L'ex empire soviétique jouit d'une indépendance relative certaine à l'intérieur du bloc occidental. La domination du bloc occidental sur l'Afrique est depuis peu contestée par la Chine, elle-même engagée dans un partenariat concurrentiel avec le bloc occidental. Enfin, l'intégration du Moyen Orient au bloc occidental n'est pas parfaitement établie, et on note en Amérique du Sud aussi l'existence de forces centrifuges non négligeables.

Pour structurer un empire aussi vaste et disparate que le bloc occidental, on comprend aisément qu'une armée, des lois et une police n'y peuvent suffire. Ainsi il est bien plus aisé de se rendre compte que ce qui structure toute société c'est la culture. Rien de changé, simplement la véritable nature du pouvoir qui pouvait sembler être la trilogie armée-justice-police dans le cas des dictatures dures, ne peut plus dans le cas des dictatures molles faire illusion.
Ce qui structure toute société c'est bien la violence, mais une violence extrême : la violence culturelle.

L'outil culturel coercitif du bloc occidental possède un nom : le libéralisme.
Dans les sociétés occidentales il s'est trouvé des idéologues courus pour professer que les cultures humaines étaient structurées par la sexualité. C'est bien évidement faux, ce qui structure une société humaine c'est l'érotisme. Quelques pistes pour réfléchir à ce sujet : la permissivité sexuelle des dictatures primitives marxistes-léninistes, et la résistance efficace opposée à la culture occidentale par les cultures du cercle arabo-musulman qui possèdent une identité érotique puissante.

pourquoi lutter contre le libéralisme ?

Nous ne citerons pas ici tous les arguments plus futiles les uns que les autres qui, bien que contrits de bons sentiments, sont non seulement dérisoires mais aussi réellement contre-productifs.
Laissons avec mansuétude les faucheurs d'OGM faucher les OGM, les amis de la terre éteindre leur lumière entre 19h55 et 20h, les écologistes de tout poil manifester contre toutes les nuisances, ce sont à l'évidence de bonnes personnes, et s'il ne font que préparer de nouveaux besoins pour que les marchands puissent mettre en vente de nouvelles marchandises, comment leur en vouloir ?
Ils ne savent pas mais ne sont pas méchants, sous-produits culturels du libéralisme, ils œuvrent pour le libéralisme en toute bonne aliénation.

Nous lutterons contre le libéralisme car il est attentatoire au gai plaisir.
Libérons l'érotisme !

comment lutter contre le libéralisme ?

Il n'est qu'une seule et unique méthode pour lutter effectivement contre le libéralisme : l'exposer.
Partout le faire sortir de l'ombre et le forcer à montrer son vrai visage.
Le libéralisme n'est pas une théorie économique, c'est un dispositif d'asservissement culturel parfaitement sournois et d'une extrême violence.

Combattre le libéralisme c'est dénoncer la destruction des identités humaines par le tabou érotique.
Agir contre le libéralisme c'est réfléchir sur ce qu'est l'érotisme, sa légitimité et le tabou imposé par le libéralisme.
Militer contre le libéralisme c'est parler autour de soi de l'érostisme, parler c'est déjà lézarder le tabou.

agir contre le libéralisme : exemples concrets.

Avertissement au lecteur : il est parfaitement illusoire de vouloir lutter contre le libéralisme si l'on n'a pas accompli le travail personnel qui consiste à situer sa propre conscience, son corps physique et le champs des relations entre ces deux identités qui est l'érotisme. ClanscoTribues publiera prochainement un didacticiel à ce sujet.

agir contre le libéralisme, exemples concrets : travaux d'artistes

fal7i propose : pancarte anti-érotisme.
« avant j'adorais tripoter les femmes, si elles n'avaient pas envie que je les tripote, elles le disaient, c'était simple. En arrivant à Nice il m'a fallu m'acoutumer à un monde pétri de l'idéologie libérale dite "femme objet" : on ne tripote pas hors de relations sexuelles. Je me suis adapté à cette sous-culture au point que je ne tripote jamais plus les femmes hors relations sexuelles.
Dernièrement j'ai décidé de réagir : j'ai installé dans l'entrée de mon appartement une affiche qu'on peut se mettre autour du cou "on ne me tripote pas".  »

Ben Vautier propose : .
EXPO AU SEX SHOP BLANC EN FACE DE LA GARE DE NICE
« c'est pas encore sûr mais grâce au projet du bus
je vais sans doute avoir une expo personnelle dans le sex-shop de la gare avec buffet à l'extérieur.
Je vais montrer mes films
Les bourgeois auront ainsi tous l'excuse pour y rentrer en se disant : c'est de l'art contemporain. »

fal7i

le lundi 5 février 2007 à 17:48:38 Éric lesné a écrit :
Le plaisir - de déplaire

Cher ami,
je vous vois jongler avec les ismes et les antismes,
et cela suscite en moi un certain désir d'impertinence ;
ce que vous décrivez là, la théorie du gai plaisir,
n'est-il pas ni plus ni moins que du falsettisme, forme
aiguë de fantaisisme mâtiné d'histrionisme,
autrement dit un irrédentisme.
Vous aimez le plaisir et la gaité ? Et préférez le bonheur
au malheur ? Comme je vous comprends !
Dites-moi seulement qui parle contre le plaisir,
à fortiori s'il est gai ? Faudrait-il parler de gâtisme, tant
qu'on vaque dans les fastueuses terminaisons ?
N'est-il pas un peu tôt encore pour s'abonner
à ces vertiges ?
Un communisme (primitif) sans Marx et sans Lénine, grosse affaire !
(dont un totalitarisme a fait son miel en lui passant
sans façon - et sans résistance - sur le ventre),
la plaisanterie est certes roborative et vous la partagez
quoique vous en ayez avec le trotskysme ( un ysme et non un isme, je
vous l'accorde),
mais enfin :
nous voilà d'abord revenus chez les Pères de l'Eglise, car c'est
à peu de chose près ( détails encore) du bel et bon
christianisme comme on n'en fait plus et non moins
primitif. Une pensée pour l'abbé.
Remarquez comme toute doctrine est pure dans ses commencements
dès lors qu'elle tient tout réel et tout frottement avec lui pour
quantité négligeable sinon carrément vulgaire. Voyez Tocqueville, voyez
Saint Just,
tout commence par une fable, et le plaisir fuit quand elle devient vraie,
ou plutôt ici prendrait place le triste plaisir qui fait antinomie avec
le falsettisme, si l'on a bien compris.
Quant au libéralisme, il semble bien qu'au pays où jamais il n'eût
cours, et où il alimente -donc - la plus forte opposition parmi les
braves individus,
à défaut d'originalité, nul ne le connaisse dans ses oeuvres fondatrices,
et que par conséquent un anti-libéralisme conséquent
n'y est absolument pas de mise, si celui-ci ni un autre ;
il faudrait qu'il fût renseigné, ce que la logique militante le plus
souvent ne
souffre pas : va-t-on se mêler de savoir contre quoi
on lutte ?! Apprendre, et quoi encore ? Connaitre son ennemi, quelle
hérésie,
où va-t-on sur une piste si glissante, qui sait à la traitrise ?
Ne peut-on se suffire d'une grosse théorie de la domination qui, notons
le, fait
plaisir à tout le monde et désennuye énormément.
Et qu'une genèse grosso modo marxisante ne dérange
pas le moins du monde.
Ainsi doté, fabriquer son ennemi de toute pièce ôte
comme on dit d'un doute et permet d'aller franchement
à la bataille sans risque d'imprévu - des stratégies toutes
faites conviennent à cet usage ; voyez Cervantès
et même voyez Descartes. Et même Clément Rosset :
"Le réel et son double", pardon pour les références.
Mais en ce qui nous concerne, nous à qui la perspective d'une
bataille ne déplaît pas, il importe qu'un ennemi
ait de la chair autour des os, qu'il ait un visage et nom, bref
que nous puissions le considérer et même l'estimer comme s'il était
nous même, ni plus ni moins réel. Et le moindre respect
que nous puissions nous adresser est de ne pas l'inventer
à proportion de nos forces, mais d'augmenter nos forces
à sa proportion.
Autrement, reste à modeler des poupées
de cire et à y planter des aiguilles en prononçant de forts
exorcismes - et pour une large part, c'est l'anti-libéralisme.
Autrement dit, un primitivisme, ou comme dit avec
délicatesse, passions des arts premiers.
Ou s'en remettre au falsettisme qui vous a
je ne sais quoi d'italien et dont le programme
est tellement agréable - gloussements
et râles de plaisir gai.
Irrédentisme, ah oui, peut-être...
Onfrysme, un peu, sans doute...
Au fait, car tôt ou tard en ces temps trop humains,
la question cruciale sera posée :
Le falsettisme est-il un humanisme ?
Est-il déposé à l'INPI ?
Est-il échangé contre 2 barrils ou remboursé 2 fois ?
Etc.
Soyez sûr que seul anime ce libelle l'esprit
de la plaisanterie la plus joyeuse.

le lundi 5 février 2007 à 18:15:58 Éric lesné a écrit :
encore du plaisir

J'oubliais, ayant mal lu le dernier paragraphe, la remarque suivante :
je ne sais si combattre ( militer, agir) contre le libéralisme
est bien ce que vous dites, j'aimerais seulement noter que la seconde
partie de ces slogans peut sans peine s'envisager sans la première.
Libre à quiconque de - dénoncer la destruction des identités ( chacun
son sale goût,
disait un moine en urinant dans son potage ; l'identité il y a des
cartes pour celà,
et infalsifiables ( infalsettifiable également ),
et personnellement mes rapports avec l'identité sont on ne peut plus lâches,
et, dirais-je, jamais assez. Il semblerait qu'une trentaine d'années de
fureur
identitaires aient porté leur fruit)
Libre à quiconque de réfléchir sur la nature de l'érotisme, seul ou en
compagnie. Ca ne
peut pas faire de mal en effet, mais à plus d'un, c'est vrai, les
exercices ont plus de charme,
surtout dans la praxis.
Libre à quiconque de faire du prosélytisme, et de causer beaucoup,
paraît que
ça soulage ( je n'y crois pas beaucoup mais enfin), en grimpant les tabous,
dont il faudra bien un jour se demander par quel miracle il en reste
toujours
plus qu'on ( la culture) en détruit - cadence industrielle de ces
productions/destructions.
Libre donc à chacun de pourvoir à ces plaisirs.
Que cela attente au Mal avec un grand M est une autre affaire.
La croyance, c'est la croyance, et les causes sont les causes.
Nihil novi.

le lundi 5 février 2007 à 18:15:58 Éric lesné a écrit :
ter

Le libéralisme, c'est ce qu'on n'aime pas.
Les riches ne prêtent qu'aux riches.

le lundi 5 février 2007 à 18:29:43 Éric lesné a écrit :
et encore

au premier degré, au ras des paquerettes de la dite
société civile ( néanmoins cléricale) :
l'anti-libéralisme est un psittacisme.

pourinfo.org signale cet appel à candidature :

le symposium d'intégration en milieu naturel
se déroulera du 20 au 26 août 2007 à Silly (Belgique).
Les dossiers de candidatures doivent être remis au plus tard le 31 mai 2007
toute l'info sur pourinfo.org et Sites en Ligne.

http://www.greenpeace.org/apple/

gooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooogle dépendant ?

journal officiel

où s'inscrire ?

candidats.fr

À l'occasion de no made au festival du film de Cannes,
Sophie T présentera une performance lors du vernissage le 19 mai. Cette performance sera répétée les jours suivants pour le public faisant la queue à l'entrée du cinéma.

Le thème « dedans dehors » de no made 2007 sera ici envisagé sous l'angle de la femme objet au cinéma.

Le pitch : une femme (nue bien entendu) est utilisée par les gens de cinéma, par un agent de casting, puis un producteur, un réalisateur, une vedette, un photographe, un preneur de son, un mécano, et à chaque fois utilisée, à chaque fois rejetée.
Finalement elle se jettera dans les bras des spectateurs qui eux aussi l'utiliseront puis la rejetteront.

Marie-France Lesné sera la femme nue, à moins qu'il y ait d'autres candidates ? Lorenzo Biagi s'est proposé pour le rôle, c'est très aimable à lui, mais ce rôle doit impérativement être tenu par une femme sinon cela n'a plus de sens.

Nous recherchons deux ou trois hommes pour tenir dans la foule le rôle des premiers spectateurs, en effet quand Marie-France se jettera dans les spectateurs, ceux-ci peuvent être surpris, ne pas savoir quoi faire et rester les bras ballants. Ces rôles sont donc très importants pour donner l'exemple au public.

Merci de bien vouloir présenter rapidement votre candidature auprès de Sophie T, nous comptons sur vous.

le comité de sélection

le samedi 3 février 2007 10:55 fal7i a écrit :

Je ne suis pas d'accord avec le projet de Sophie T et je trouve que no made devrait se méfier grandement de ne pas tomber dans l'art pompier. Le travail d'un artiste est un travail de recherche, l'artiste pompier ne cherche lui qu'à flatter la main qui le nourrit.

On classe, à tort, les sociétés humaines en dictatures et démocraties alors qu'il n'existe que des dictatures primitives et des dictatures molles. On croit que les dictatures primitives sont structurées par la contrainte et les dictatures molles par le consensus. C'est inexact. Molles ou dures les dictatures utilisent la culture pour se structurer. La violence de la contrainte culturelle des dictatures molles n'est pas moindre que celle des dictatures primitives, elle est plus élaborée, plus pernicieuse, plus aliénante.

Le travail de l'artiste ne consiste pas à reproduire les schémas aliénants mais au contraire à les décrypter.

Penchons nous donc, comme nous y invite Sophie T, sur cette fameuse tarte à la crème de la femme objet.

Au cours du XX^ème siècle la dictature culturelle à base religieuse a été remplacée par la dictature culturelle libérale plus adaptée aux subtiles nécessités du commerce de marchandises immatérielles, accompagnant le passage à une économie post-industrielle. Ce glissement s'est opéré en deux temps.

On sait, ou alors je vous l'apprends, que la dictature culturelle est basée sur la dictature sexuelle (c'est ce qui est généralement professé, mais je montrerai plus loin qu'en fait il s'agit de dictature érotique plutôt que de dictature sexuelle).
Le premier glissement a donc consisté en cette trop fameuse libération sexuelle des années 60-70. Il s'agissait pour les marchands de se libérer des contraintes anti-économiques des cultures religieuses, et pour ce faire obtenir l'adhésion des mentalités grâce à la carotte d'une liberté sexuelle illusoire. Illusoire car la domination culturelle s'obtient non en contraignant la sexualité, mais en contraignant l'érotisme. Si libération il y a, elle ne pourrait être que libération érotique.
Quoi qu'il en soit, le but atteint, libérés de la concurence des précepteurs des morales religieuses, il fallait alors aux marchands reprendre la main et ne pas laisser les sociétés sans joug culturel.

C'est ici qu'intervient la subtile opération « femme objet ».

La dictature marchande tire son bénéfice de la circulation de biens, matériels ou immatériels. Son intérêt est donc que le plus de marchandises possible s'échangent dans le plus court laps de temps possible, la dîme prélevée étant proportionnelle à la frénésie d'échange. Pour décrypter l'opération « femme objet », étudions ce qu'est un couple, et ce qu'est un foyer.

Un couple peut-être soudé par l'intérêt : la gestion d'un patrimoine commun, exploitation agricole, domaine forestier, industrie, boutique, entreprise artisanale etc.
À défaut de patrimoine, un couple n'est soudé que par l'érotisme.
Un foyer est une entité qui partage des biens communs, appartement, voiture, chauffage, ustensiles de ménage, etc. Du point de vue marchand, plus il y a de foyers, plus il y a de biens à fournir. Séparons un foyer constitué de deux adultes et deux enfants. Nous obtenons deux foyers à équiper, chacun avec sa chambre d'enfants, ses jouets d'enfants, et des enfants dans la capacité d'obtenir plus et deux fois dans deux endroits différents. Ceci constitue un idéal économique.

Comment briser le plus de foyers possibles ? en utilisant la violence culturelle du libéralisme : haro sur l'érotisme.

On comprend bien à présent que le projet de Sophie T, sans lui faire un procès intentionnel, elle croyait sans doute bien faire, ne sert que la violence culturelle du libéralisme au service de l'échange frénétique de marchandise. Bien loin de libérer la femme, on remplace les anciens tabous sexuels par un tabou érotique bien plus pernicieux.

Ce projet n'est pas libérateur. Il exploite même les déficiences caractérielles des personnes. Marie-France est prête à tout pour se rendre intéressante. Ce n'est pas lui rendre service que de lui en donner l'occasion.

Je vote contre ce projet.

fal7i

le samedi 3 février 2007 14:05 fal7i a écrit :

C'est d'ailleurs très intéressant de comparer les projets des deux sophies, autant le projet de Sophie T nie l'érotisme, autant celui de Sophie Taam le magnifie : à la fin Ginger tue Fred. (voir le projet de Sophie Taam sur le wiki)

petit dictionnaire no made à l'usage des artistes ignares désireux de se cultiver (un peu).
érotisme : nom masculin du grec ἐρωτικός signifiant à peu près : « homme très content, lui roter ! »

voir aussi Dictionnaire International des Termes Littéraires

Éric est superviseur d'art,
dites-moi Monsieur Atelier la Bruyère, c'est quoi un superviseur d'art ?

Hervé Courtain participe à no made MJC Picaud bravo !
sa page n'est pas vide, BRAVO !ce n'est pas le cas de tout le monde !. houuuuu !

n'allez pas chez Hervé Courtain le jeudi 1^er février entre 19h55 et 20h !
il n'y aura pas de lumière.
si vous voulez savoir pourquoi, demandez-le aux amis de la terre

signalé par Hervé Courtain

Anso V. et Vincent Fournier exposition à Tourrette Levens
musée des « arts et traditions »
vernissage le vendredi 2 février 2007 à 18 h
du 3 février et jusqu'au 25 mars 2007
ouverture du mardi au dimanche de 14 h à 18 h -entrée libre
Anne-Sophie Vialon
Vincent Fournier

Pour s'y rendre en voiture :
A8 sortie 55 La Trinité/St André puis D19 direction Levens. À Tourrette, à droite vers le vieux village, parkings.
5 minutes à pieds dans la montée du château.

Pour s'y rendre en bus : le 89 depuis la gare routière de Nice.
Nice -> Tourrette     17h35 17h40 18h30 18h50 19h40
Tourrette -> Nice     Covoiturage (plus de bus)

Covoiturage : j'ai des places disponibles / je cherche une, des places : mailto Vincent Fournier

---

et si on parlait d'autre chose que d'art ?
hein ?
pour une fois, non ?
qu'est-ce-que vous en pensez ?
on parle de quoi alors ?

On pourrait donner des cours de sexualité avancée ?
ah oui, mais non, c'est encore de l'art.

cours de croquis
mardi : 19h - 21h
samedi : 11h -13h
Atelier La Bruyère
4, rue la Bruyère 06000 Nice
06.62.29.26.05
loudolle.free.fr

Beau comme un Symptôme : j'y étais !
et contrairement à ce que prétend votre propagande fielleuse, mensongère et, nous ne sommes pas dupes, uniquement dictée par votre rancoeur de ne pas avoir été invité, il y avait à cette exposition de bien jolies œuvres d'art. L'ambiance était charmante et Malongo a servi un excellent café, car les sponsors privés sont prêts à investir fortement dans les manifestations d'art véritables et non dans les groupes d'artistes qui abritent en leur sein des personnages qui font étalage d'un mépris de l'argent, en réalité méprisable mépris de l'homme et de la sueur nécessaire à le gagner. Je l'ai déjà dit, mais il est bon de le répéter : falsetti vous êtes un vulgaire fumiste. Ignare et prétentieux, vous êtes aussi veule et physiquement lâche, car vous n'y étiez pas à ce vernissage.

Christophe Malingrey

le 27 janvier 2007 à 14:43, fal7i a répondu :
je n'avais pas peur, si je n'y étais pas c'est parce que j'avais piscine.

vous avez jeté un œil sur la suite Eros et Thanatos de Lunettes Rouges ?

Et si
Et si on comparait l'art et la science ?
On pourrait dire alors qu'il n'y a pas de science sans connaissance.
Et on pourrait dire qu'il n'y a pas d'art sans ignorance.

Beau comme un Symptôme

vernissage le 27 janvier 2007 à 11h château de Carros.
tél : 04 63 29 37 97

Les sociétés font commerce de puissance, et dans les puissances il y a les connaissances.
Dialecticiens nous soupçonnerons donc les sociétés de faire commerce d'impuissance, et dans les impuissances il y a l'ignorance.
Et si
Et s'il n'y a pas d'art sans ignorance,
fins dialecticiens, nous nous attacherons à découvrir comment se joue en art connaissance et ignorance. Nous irons à Carros voir s'il y a là effectivement absence d'art.

Enfants du marxisme léninisme et de la psychanalyse,
nous avons appris à haïr ces deux monstres,
nous nous sommes libérés du bébé,
sans vider l'eau du bain : la dialectique.

le 25 janvier 2007 à 20:06, Christophe Malingrey à écrit :
Ignorance, imbécilité et crétisme, cela vous va bien, falsetti. Établir une filliation entre Freud et la dialectique, il fallait le faire. J'en ris encore. J'irai à ce vernissage organisé par des gens savants.

LA VIOLENCE
Dans la présentation de Beau comme un symptôme on peut lire : « L’idée est que la psychanalyse est elle-même un art. »
Le problème avec ces gens-là c'est qu'ils survivent malheureux dans le fleuve criminel sans jamais avoir rien remis en question. On ne peut pas les soupçonner d'imbécilité, et pourtant. Pourtant il suffit de regarder à imbécilité dans un dictionnaire, et regarder quelle main les nourrit.

Ignorance et imbécilité. Art et imbécilité. Art et criminalité. Imbécilité, criminalité et art. Céline et art

Pol Pot, Kieu Samphan, Lénine, Freud, Céline… là ou l'art n'est pas.

art et crime

l'excellente artiste METCUC travaille sur le non-art

elle est directrice d'Ambre International, donne des claques à Vogiel, en a marre de et va bientôt faire pipi sur Cauet

l'art est dérisoire

Droit de réponse
from: AFAAC
to: fal7i at clansco.org
l'Association Freudienne d'Action dans les milieux d'Art Contemporain (AFAAC) a des capacités que vous ne soupçonnez sans doute pas. Continuez à interpeller, c'est très bien ! Nous suivons votre œuvre et avons des dossiers depuis Merlebach, Bordeaux, Lucca et Rheinfelden. À bon entendeur…

précisions :
l'AFAAC (Association Franco Allemande pour l'Animation et la Communication) n'a aucun rapport avec l'Association Freudienne d'Action dans les milieux d'Art Contemporain.
l'AFAAC (Association Française des Amateurs d'Attelages Canins) n'a aucun rapport avec l'Association Freudienne d'Action dans les milieux d'Art Contemporain.
l'AFAAC (Asociación de Fabricantes de Productos de Amianto Cemento) Alcala, 95- 4º Madrid 28009, n'a aucun rapport avec l'Association Freudienne d'Action dans les milieux d'Art Contemporain.

dont acte

samedi 20 janvier 2007, repérages pour No Made à la MJC Picaud de Cannes
des artistes crispés
Gibelin viendra-t-il?
angoisse…

des artistes rayonnants :
Gibelin est là !

le projet no made à la MJC Picaud

Sophie Taam et l'ONANIsme
à lire absolument !

en 2007 vous pourrez visiter toute l’année l’ Arboretum Marcel Krœnlein de Roure

Christophe Donner est écrivain
c'est un peu comme quand vous entendez les femmes discuter entre elles et qu'elles ne sont pas conscientes que vous les écoutez.
sauf que là ce n'est pas du superficiel désespérant, c'est du lourd.
c'est dérangeant, mais on lit quand même, parce-que les mots impudiques ouvrent sur une réalité fantastique palpable. le délire n'est pas superficiel, il est profond et dangereux.

dans L'empire de la morale page 43 (Grasset, mais on le trouve aussi en livre de poche) on peut lire :
« Comme nombre de thérapeutes désemparés, à un certain moment, il s'est tourné vers l'art. Il y croit.
En entrant dans son bureau, on remarque tout de suite un tableau, genre Veira da Silva, assez confus, censé représenter la tour de Babel. Le tableau est éclairé avec un spot halogène, comme pour marquer l'attachement qu'il porte à l'art, à la peinture en particulier. »

Ces jours-ci va s'ouvrir à Carros l'exposition Beau comme un symptôme

qu'est-ce que l'art libre ?
qu'est-ce que la liberté ?

la liberté est un état de conscience.
l'homme libre est la pensée qui se revendique libre et combat pour y parvenir. la pensée n'est pas libre, elle est prisonnière de son enveloppe dont elle est totalement dépendante.

Miodrag Tasic est un artiste libre.

du 12 janvier au 30 mars 2007 Fond de Scène, université Valrose à Nice.

artiste libre, Miodrag Tasic est un artiste généreux, cela va de pair.
Il nous offre à voir le corps tel qu'il est et que partout, hallucinés, nous nions de toutes nos forces. regarder le corps, beaucoup n'y parviendront jamais. Ceux d'entre nous qui peuvent voir les sculptures de Miodrag Tasic découvrent au delà d'une répulsion culturelle, la beauté tendre et attachante du corps réel.

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