webart'zine spirituellement dégénéré le 27 11 2007 à 20:52 par des artistes plasticiens contemporains de façon hautement provisoire.
la page précédente est archivée icitoujours sous surveillance : rue89 L'avenir est rare, et chaque jour qui vient n'est pas un jour qui commence.
dans cette page :
des nouvelles des studios territoile _ Éros et Thanatos, la polémique
vous avez demandé à revoir :
gib tout nu
Paul Stapleton considéré comme un des plus importants artistes contemporains de la région paca est sûrement l'artiste le plus populaire du Vaucluse.
35 chambres occupées 35 artistes/galeries à découvrir du vendredi 14 décembre au dimanche 16 décembre 2007
Hôtel Burrhus 1, place Montfort 84110 Vaison-la-Romaine (33) (0)4 90 36 00 11
la rêgle de trois
Étant donné que la baignoire fuit, et qu'il s'en écoule environ un litre par seconde, combien le robinet doit-il fournir d'eau pour que la baignoire puisse se remplir ? Question simple, mais en ces temps de magie, où l'être social est parfaitement abruti devant la nouveauté internet, abruti en soi parce-que jeune et parfaitement ignorant du monde, ou abruti parce-qu' un peu cultivé déjà, mais d'une culture simple, où un bouton ne pouvait qu'être on ou off…
Ceci dit, question godardienne, distribuer un bruit de fond de façon saccadée, peut-il permettre de se rendre compte que c'est là un bruit de fond, et, le nouvel-obs, par son ignorance, ne fait-il pas là acte involontaire d'art ?
merci Éric
Sehen heißt die Augen schließen.
Wols wikipédia
Voir c'est fermer les yeux.
⇦ l'archaïsme plastique d'un mauvais jeu vidéo ?
bientôt décembre, pensez à offrir du webart !
Demaideux : webart ? l'ultime accomplissement de la société du spectacle !
tram de nice Flop à 22:16:14 le 24/11/2007 bof François Barré pas glop
brice de nice : glop
le jour où les navrants auront libéré la direction de la ville de nice ça se verra, il y aura Laurent Bosio (le vrai petit fils Mossa) au carnaval.
Après des études à l'École nationale d'administration, François Barré intègre le ministère des Affaires étrangères où il ne tarde pas à s'ennuyer.
Nice est candidate pour être capitale européenne de la culture. Son inamovible adjoint à la culture vient d'être remercié par l'ancien maire de Nice pour cause de collusion avec le futur maire de Nice. Mauvaise image. La salade niçoise, la vraie, est un met authentique et vigoureux composé de produits frais, sains et goûteux. Elle.
(plus kitsh, moins jouable)
Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes
Je me suis tu, je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes
Je me suis tu, je n'étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les sociaux-démocrates
Je me suis tu, je n'étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs
Je me suis tu, je n'étais pas juif.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne pour protester.
Vous avez-vu que RUE89 ne se laisse pas berner par la campagne Microsoft anti google et qu'ils utilisent le moteur de recherche google
donc quand c'est que revient un bon moteur de recherche dans ct ?
Psychanalyse
art
posthumani nihil a me alienum puto.
réfutation de tout jugement Guy Debord
Debord sur le surréalisme - Arte Radio. la platitude humoristique
Kieu Samphan enfin ! arrêté
Tu ClanscoTribues in mundum ameliorando adiuvare potes!
photo jpj
photo Louis Dollé
Fluo
Jaume Plensa à découvrir la nuit, place Masséna à Nice.
voir aussi : Les ouvriers du TRAM de Nice s'exposent.
q
À si prodigieux carton dans le mille, que ne ferait-on pas d'un image ?, je pourrais apporter mille réponses, ayant pour probité d’aggraver un cas déjà pendable ; un festival des tons, à première vue : vachard, hautain, dérisoire, ciblé, sur mesure, prêt-à-porter, obséquieux, militaire, subtil, minimal, dédaigneux, tonitruant, revanchard, révolté, lâche, misérable, généreux, orgueilleux, anéanti, supérieur, hypérieur, héroïque, enflé, Artiste, comédien, saucisse offensée, amusé, sociologique, snob, politique, juridique, an-thro-po-lo-gic, jazzistique, indulgent, évasif, monophonique, fugué, unilatéral, querelleur, égal c'est-à-dire méchant, cynique, tactique ( La taca taca tac tac tiqu' du gendarme...), sincèèère, mondain, moraliste, spirituel, cyranien, approprié, nul, ataraxique, bilieux, suffisant, nécessaire, aléatoire, masochiste, paranoïaque (et autres au choix), meurtrier, fleur bleue, bimbillant, bébé, jeune fille, serpillière ou wassingue, distrait, léger, pleurard…
Aller jusqu’à mille e tre pourrait avoir valeur symbolique…
Mais. But.
Le tireur est un ami, et c’est assurément un bon sniper à l’œil
pénétrant, qui fait du travail propre en pleine tête ; à double titre,
il y a immunité, et déférence. Sic. Les amis parfois s’égarent, étrange
volatilité, c’est même à cela qu’on les reconnaît, toujours un peu trop
tard, leçon d’une faible – heureusement -expérience. Imagine-t-on
seulement d’en avoir une grosse ? Quelle horreur !
So. And the winner is : none.
À part ça, si quelqu’un connaît un emploi pour hydrocéphale saturé (si c’est de l’eau, si c’est du vent ?), pas foulant, niveau primaire (quatre opérations), smic exigé, sage comme une image à la condition suivante : à l’écart de toute salade pour intellectuels, artistico-cognitives & esthéti-coco-miques, de stricte obédience ou pas, and so on, aviser svp Falsetti qui transmettrait, ça ne fait pas un pli, lui, c’est au moins Hermès.
(le)
Assez de bla bla ! Enfin du vrai sur Clansco,
du vécu, pas du ruminé,
du cru. pdf
jpj
terrorisme : la preuve que lamentableDreamwever c'est de la merde :
il permet d'écrire des choses aussi stupides que :
<!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN"> <html> <head> </head> <body> <!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN"> <html> <head> </head> <body> </body> </html> </body> </html>
le rapport avec le terrorisme me direz-vous ?
c'est si grammaticalement débile qu'on tombe sur le cul en voyant qu'un navigateur est capable d'afficher la page correctement cad comme ça se comprend quand on a compris la bourde. chapeau à ceux qui écrivent ces navigateurs !
oui, bon alors le rapport avec le terrorisme d'état de fait de surpuissance ?
Loin, bien loin des polémiques, et bien loin de Montmartre aussi (extrait)
L’ironie, le plus souvent, est la figure favorite de ceux qui ne savent pas ce qu’ils pensent réellement, et soit le recherchent soit le camouflent par ce moyen si répandu qu’on n’en compte plus les adeptes, car ne rien penser d’un sujet quelconque c’est passer pour un imbécile. Le parler droit, le /rectus/ des polyphonistes, se fait rare, notamment quand il s’agit de dire que l’on ignore le sujet dont on parle. Et l’ironie fait illusion. L’ironie permet de dire le contraire de ce que l’on pense et finalement le contraire de ce qu’en l’occurrence l’on ne pense pas. N’était-il pas fatal qu’un moyen si souverain de faire illusion devînt une véritable coqueluche ? Soit, mais l’authentique ironie, plus rare, suppose que l’on sache ce que l’on pense, seul moyen garanti de dire le contraire. Sinon, en usant d’ironie, pas moyen de savoir si c’est bien le contraire, ce que l’on dit (de ce que l’on pense puisqu’en l’occurrence on en pense pas). Bah, ce peut être un moyen d’aller aux nouvelles pour du son. Mais il n’est pas désagréable d’apprendre que le petit chat est mort, quand c’est exactement et droitement et tout uniment ce qui s’est passé. Dans l’universelle ironie, cela fait figure d’ironie, et pour un peu personne ne vous croirait. Pourtant il est bien mort, c’est triste mais c’est ainsi. On l’enterrait à cinq heures, tout juste à l’heure où sortait la marquise. Normal, c’était le sien et ça l’est encore. La marquise sortait à cinq heures pour enterrer son chat. Mais à son enterrement n’assistaient que huit ou neuf personnes, comme je l’ai appris, et moi-même j’étais à ce moment en Crète en train d’écrire une pièce de théâtre que j’ai déchirée dès qu’elle a été terminée. Jusqu’à maintenant, je ne suis pas encore allé sur sa tombe.
l.e.
Loin, bien loin, si loin de petit chat et de triste marquise (fuite)
Le contraire de savoir n’est pas ignorer, il n’y a pas de savoir inverse
ou de savoir négatif. On ne peut pas ne pas savoir, on ne peut
qu’ignorer, comme zéro par rapport à un, dans la série des entiers
naturels. Et cela même on se le refuse, souhaitant ardemment
d’appartenir à l’ensemble de ceux qui savent, si possible hâtivement
réduit à l’unité, tirant une équivalence rapide et presqu’immédiate
entre ignorance et imbécillité qui semble elle appartenir à la série des
entiers relatifs et plus précisément à celle des entiers négatifs. Trop
de hâte, tant de presse. Et n’est-ce pas un signe d’appartenance à cette
dernière série que faire cette confusion des ordres ? Car en
mathématique, fût-ce d’inclusion récente, le zéro appartient à la série
des entiers naturels. C’est ainsi qu’ignorant, de paraître savoir, on
devient imbécile par la grâce de la mathématique, chutant d’un degré
dans la grâce, tout le contraire du nu quand il descend l’escalier. D’où
le rapport inverse, quand il s’agit de nu, entre l’altitude et la grâce.
Car le nu est sans signe, insigne naturellement. L’ai-je bien descendu,
c’est le mot des gracieux qui vont nus.
e/l
L'ironie, où quand la tendresse ne rapporte que des baffes.
L'ironie peut venir avec l'âge, ou très tôt, voir être quasi constitutionnelle.
Si, à vos premiers vagissements, lorsque vous regardez avec plaisir et tendresse qui vous parle, vos yeux brillent et le coin gauche de vos lèvres se creuse, votre vie sera dure. Elle sera plus dure encore si en plus vous êtes noir, arabe et pauvre, c'est entendu. Ce petit sourire en coin, ce point virgule fermez la parenthèse de l'âme, vous vaudra bien des déboires.
Ce léger sourire en coin qui vous vient bien malgré vous rendra furieux vos interlocuteurs. Ironie. Ils ressentiront mépris, sarcasme, moquerie, irrespect. On vous accusera de perversité.
Les baffes et les punitions vous apprendront à contrôler vos lèvres, les garder bien droites face à votre père, votre mère, l'instituteur, le catéchiste, l'adjudant, le policier, le patron, le juge ou le notaire, face à tous et chacun et les autres. Même, les chats vous grifferont et les chiens vous mordront si vous n'y prenez garde.
Une vie de dissimulation, une vie de négation de soi, une vie de refoulement, une vie à tenter de cacher cette maudite tendresse. En vain, à la moindre inattention le point virgule fermez la parenthèse s'inscrit sur votre face de traître. Salaud, le peuple aura ta peau.
Puis un jour l'espoir renaît : vous apprenez que votre ironie n'est que crétinerie. Mais la crétinerie, ça se soigne ? il y a des médicaments pour ça ? vite, allons consulter.
Fichtre, voilà que j'ai baissé ma garde ! Je plaisante, j'ironise. Jamais je ne consulterai. Car il y a l'art, le grand consolateur. L'art, loin des faux-semblants de l'irréalité du monde, l'art, là ou le réel est vrai.
Ironie qui me vois propulsé premier exposant d'une manifestation mondaine où je n'avais pas goût de me commettre (cherchez avec votre moteur préféré : "beau comme un symptôme"), l'art vous dis-je.
fal7i
André Rouillé Tentatives d’épuisement de la représentation
voilà en primeur
une photo de ma
prochaine série
prise avec
les habits de
gardien de
l'université
en chine
bisous
bonjour à
toute la bande
à bientôt...
mm
clanscoTribues est un joyeux bordel
le 2 novembre, dans la zone libre espace-holbein écrivait :
J'essaie de comprendre le fonctionnement de votre site…
Quelques indices ?
J'essaye depuis de fournir une réponse sensée. Heureusement Laurence P.
(Actualités 34) me donne une piste : je suis allée jeter un oeil sur votre
site : il y a des noms que je retrouve, et des thèmes que j'aime
bien : et un joyeux bordel :-) .
Le cadre étant ainsi solidement établi, je me sens plus à l'aise pour fournir quelques indications anecdotiques.
Il s'agit d'un bloc note.
Les notes sont séparées par une barre horizontale fine. Elles s'empilent les unes sur les autres au fil du temps. Les notes les plus récentes sont donc en haut de page. Normalement. Pas toujours. Parfois les réponses, les développements autour d'une note sont sous la-dite. Ce qui est source de désordre, de confusion.
Les notes ne sont pas datées, et rarement signées, ce qui ajoute encore au désordre et à la confusion, mais ce n'est pas tout.
Il y a aussi à droite la zone libre qui permet d'empiler de brefs messages par dessus d'anciens et qui se lit donc aussi en sens chronologique inverse. Ces notules sont datées et signées, mais les signatures loin d'être certifiées (idem pour celles des notes principales) et font souvent références à des notes de la page sans explicitement les citer ce qui serait difficile puisqu'elles ne sont ni datées ni numérotées.
CT était conçu au départ comme un dazibao, un mur où on inscrivait nouvelles, opinions et humeurs. quand le mur était plein on recouvrait les notes anciennes qui étaient perdues. Sous la pression des lecteurs il y a à présent un système d'archivage : quand la page commence à être trop longue on l'envoie aux archives et on en commence une nouvelle. Il y a un lien en haut à droite vers les archives, et un lien en haut de page vers la page précédente.
Les notes sont souvent très courtes et ne sont là que pour signaler des choses à voir sur la toile grâce à un ou plusieurs liens. Les liens apparaissent vert sombre qui se confond facilement avec le texte non lié. Mais pas seulement. Des titres ou des images peuvent être des liens, des liens peuvent être de couleur bordeaux, le bordeaux n'est pas un vrai bordeaux, trop cher. Ce qui peut aider à ne pas rater un lien c'est qu'en passant la souris dessus le fond devient rose et le pointeur change de nature.
Enfin le tout est souvent difficilement compréhensible, faisant référence à ce que tout le monde ne connaît pas, par exemple que Louis Dollé n'était pas levé tel dimanche à midi, ce que peu de gens savent.
Plus enfin encore les notes ne sont pas toujours sérieuses, disent parfois le contraire de ce qui est, font des références si fines et alambiquées que même son auteur est bien incapable de comprendre de quoi il retournait quelques jours voir quelques heures après.
Mais nul n'est tenu de lire ClanscoTribues.
Tout ce qui se passe dans CT est parfaitement réel : c'est de l'art. Même si c'est malhabile, brouillon, n'en doutez pas, c'est de l'art. Toute ressemblance avec la funeste irréalité du monde ne serait que fortuite. qui entre ici avec ses gros sabots de l'irréalité est bienvenu, mais temps pis pour lui s'il se casse le nez, on est prié de se déchausser avant d'entrer.
De même que Gibelin utilise les artistes no-mad pour créer sa propre œuvre d'art : no-mad, ici on utilise no-mad pour créer ClanscoTribues, une œuvre en 4 dimensions.
fal7i
Stéphane Bérard à la Galerie du Triangle, Bordeaux, 2003
signalé par Agnès Giard
MMARYLINENCHINE L'échec est le fondement de la réussite
Lao tseu
In Girum Imus Nocte Et Consumimur Igni
si vous avez des difficultés avec les virgules,
ubu.com est votre ami qui vous propose
Guy Debord en vidéo
il y a même La Société du spectacle, c'est dire.
Activistes désirants dans la toile, pouvons-nous bouffer la société du spectacle de l'intérieur ?
À vous de le dire, chers rédacteurs de CT.
Un petit quizz ?
Il faut qu'il y ait un chaos en soi pour accoucher d'une étoile qui danse.
Celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir.
Le phénomène passe. Je cherche les lois.
Bon dieu, que les hommes de lettre sont bêtes.
Dans le désordre : Nietzsche, Bob Dylan, Lautréamont, Bonaparte.
EL
De l'art à Marseille (bises à lulu) chez Astérides : vidéo
Prévert Bataille Picasso revue Documents Bataille regrettait que les oeuvres qui l’avaient touché autrefois aient finalement rejoint l’histoire de l’art et soient devenues « l’objet d’une appréciation purement intellectuelle » , appréciation fondée non pas tant sur l’émotion que ces oeuvres avaient pu susciter que sur la reconnaissance institutionnelle et marchande - les deux étaient liées - qu’elles représentaient, et qui masquaient les véritables raisons d’aimer une oeuvre.
Musclez vous le ciboulot afin de pouvoir répondre efficacement à EL !
c'est dans Actualités 34
Atelier Mc Nab : Héléna Krajewicz peinture sereine mais habitée
Un très bel article de Nicolas Massa.
jusqu'au 24 novembre 2007
à l’Atelier McNab 12, rue des Açores
Monaco
Voila un homme qui sait écrire. Écrire la peinture il faut non seulement savoir lire mais aussi savoir regarder et regarder s'apprend. J'aimais bien la peinture d'Héléna mais grâce à Nicolas Massa nul doute que je la verrai mieux la prochaine fois qu'il me sera donné de la regarder instruit par ce regard rapporté.
Pour Louis quelques virgules ,,,,,,,,,,,,,,,,,, qu'il placera où bon lui sied.
fal7i
et pour revenir à Facebook, Hatebook...
Comme la gauche, Facebook ne sert à rien
dans Actualités de la recherche en Histoire visuelle
Facebook ? Wikipédia
Diaspora.
Exposition sensorielle
Bénin. 5 siècles d’art royal
Au Musée du quai Branly
2 octobre 2007 – 6 janvier 2008
l' article sur fluctuat.net
TAP-TAP
Marie-France Lesné
réalisation studios territoile
Le cdrom Variations sur l'équilibre
et les limites de la terre
avance bien et devrait être prêt
à la fin du mois
Toute l'info comment réaliser
avec de tout petits moyens
vos vidéos et les mettre en ligne
sur des serveurs lents
bientôt disponible sur netco dans territoile.
dolll : yapad'virgul?
Devenir média, l'activisme sur Internet entre défection et expérimentation
Par Olivier Blondeau, avec collaboration de Laurence Allard aux Éditions Amsterdam
La politique sortira-t-elle indemne de sa confrontation à Internet ne servant qu'à « outiller » la démocratie ? Au-delà d'une approche étroite pour laquelle un outil technologique ou un média viserait à « ré-enchanter la démocratie », ce livre tente de montrer qu'Internet apparaît surtout comme un espace d'expérimentation politique articulant constamment « la rue et le cyberespace ».
Pour toute une série d'activistes de par le monde, tous orphelins de la politique (altermondialistes, militants de la cause des sans-papiers, mouvements écologistes et anti-consuméristes, activistes de l'anti-copyright ou du logiciel libre, etc.), Internet constitue un véritable laboratoire dans lequel on cherche moins à « faire mal » et à « faire nombre » qu'à « faire sens ». Ce laboratoire d'expérimentation politique - dans lequel chacun cherche à « maîtriser sa parole de bout en bout » - permet de renouveler les causes, de reconfigurer les répertoires d'action de l'action politique, leurs intrigues narratives et leurs dramaturgies esthétiques au point que l'on peut parler d'un véritable « médiascape » dans lequel se construit un nouvel imaginaire politique à l'échelon mondial.
Croisant les apports de la science politique et de la communication, de la sociologie pragmatique et des théories critiques de l'action collective, cette somme s'attache à récapituler les grandes étapes de l'activisme sur Internet au cours des dix dernières années (1995-2005) dans différentes régions du monde et à les situer dans leurs héritages culturels et historiques, du cinéma expérimental aux expériences des radios pirates en passant par les /tactical media /ou les situationnistes.
Le site Internet (avec des centaines de liens et de vidéos regroupant le corpus de recherche de ce travail)
Cordialement, Laurence Allard et Olivier Blondeau
Facebook : my friends ?
qui a dit que derrière chaque critique se cache un artiste raté ?
pas moi. mais le critique est rare, et quand il touche à la création, il y a de fortes chances qu'il soit perdu pour la critique.
ceci dit, pour le cas présent, ne nous plaignons pas, il y a tant de décorateurs et si peu d'artistes sur la toile…
bienvenue Monsieur Holbein.
Sophie Taam dans Le Patriote
Elle va très bien, rassure-toi Gib ! Elle s'interroge, elle patauge, elle godille entre sociologie et pharmacie. Qui ne s'est pas commis à de symptomatiques carrosses lui jette la première pierre. L'art est ardu. Le chercher dans les sciences de la vie est chimère. L'art n'est pas la vie. On ne meurt pas d'art. On ne vit pas d'art, l'art n'a que faire de la vie. L'art c'est lettre.
Le dilemme reste entier : que pense S. T., l’être singulier connu sous
le nom de S. T., qu’est-ce qu’elle pense, elle ? Pourquoi nous
prive-t-elle de sa pensée ? Pourquoi s’obstine-t-elle à nous livrer ce
que nous pensons tous -par facilité : oui l’Art Officiel, oui le «
Système », et puis après, mais encore ?- et dont nous cherchons juste à
nous libérer comme d’une crampe de pensée qui nous retient tout au bord
de nous-même ? Pourquoi nous tient-elle dans les fers ? Pourquoi nous y
ramène-t-elle ?
Pour moi, qui n’appartiens pas à la tribu des artistes no made et puis
m’affranchir des corvées de morale fleurie (de dernier paragraphe),
j’attends que S.T. dise quelque chose, quelque chose qui soit du ST,
émondé de toute forme de novlangue officieuse-officielle, face
visible-face cachée, made-no made, on s’en fout.
Je note cependant que sa nomenclature omet un type /distant/ d’artiste
ou de non-artiste, peu importe l’idée fixe, le mort de rire, celui que
la danse léthale du pouvoir et du contre-pouvoir fait rire à pleine
gorge, Eros et Thanatos tendrement enlacés dans un fox trot endiablé,
pour une victoire à la Phyrrus, chère Sophie, c’est tout le comique de
la chose, un comique très involontaire, le plus drôle de tous les
comiques. Le plus tragique aussi, et tout cela sans un brin de volonté.
À quoi bon poser des questions dont la réponse est connue d’avance et
sussurée par clin d’œil aux complices en réponses qui la connaissent
déjà par cœur, et jusqu'à la nausée ? Question de pure forme. On nage en
plein vaudeville dans la suffocante marée des signes convenus de la
reconnaissance. Qui va gagner ? Mais c’est marqué juste dessous, la
signataire. On n’en sera pas plus avancés. Ou mieux, Personne.
Allez encore un effort, astucieuse Sophie, dis-nous quelque chose, ne
nous fait pas languir.
EL
Sauf que ce n'est pas à nous que parle Sophie, c'est aux lecteurs du Patriote et un peu aussi aux aux décideurs, et elle leur parle bien et leur dit de bonnes choses à entendre qu'eux ne savent pas forcément.
Sinon je suis d'accord : nous sommes déjà impatients de lire la livraison de décembre. Une pétition au Patriote pour que la très excellente tribune de Sophie devienne hebdomadaire ?
fal7i
Allons, allons, Frédéric, ce sont là des propos publics tenus dans un
journal qui ne vise par définition qu'à étendre son lectorat sans distinction, ils s'adressent à qui les entend, et c'est très bien ainsi. Pas besoin de revêtir l'uniforme du Patriote pour lire ce qui est écrit.
Quant aux décideurs comme tu dis, une abondante littérature sur le sujet montre à l'évidence qu'ils savent très bien tout cela et depuis des lustres. Ça leur entre par une oreille et ressort par l'autre. Ils ne seraient pas les décideurs et les arbitres du bon goût s'il en était autrement. Ne pas trop les prendre pour des imbéciles tombés de la dernière pluie, tout de même.
EL
Je ne vois pas Le Patriote en marchand de papier. Je le vois en organe Stalinien, et j'espère que de cette distinction ils me seront grè. Il existe tant de façons plus efficaces de vendre du papier, que supposer que tel serait leur but c'est supposer qu'ils sont fous. Et pour moi ils le sont. Fous de fin d'espoir qui s'inscrit dans l'histoire.
L'art n'a jamais été (ou hiver) parcelle de pouvoir temporel qu'en période où il parvenait à se présenter comme sorcier.
L'art n'est pas dans le temps, et donc encore moins dans le temporel. L'art est ailleurs. Mais l'art regarde, et avec deux yeux, celui de l'art et celui du temps. L'art est deux, Lui et l'artiste, qui est dans l'histoire, et regarde l'art.
comme dirait Anne-So, si ma mère en avait ce serait mon père, sauf en art, c'est plus compliqué.
fal7i
Credo in unum deum
Ok, OK, n'en jetez plus, je me rends à votre raison supérieure (en nombre)
et vous laisse bien volontiers a-non-ner en rond,
attitude stérile, et purement formelle et défensive
à mon humble avis.
Mais, Vae Victis, un dernier mot.
Ce Non ressemble diablement au Oui à quoi il prétend
héroïquement s'opposer au péril de sa vie.
Il en a toute l'impudence. Il s'y croit.
Ce que décrit si bien Louis possède un nom,
un nom latin, je le crains, appartenant au lexique
de ces chiens d'intellectuels prétentieux qui sont si utiles
aux partis quand ils daignent cesser de penser,
enfin de s'imaginer qu'il le font, les fieffés imbéciles.
*/Credo quia absurdum/.*
Formule cardinale de la Foi,
nécessairement aveugle et sourde à toute argument.
Chacun son sale goût, comme disait un moine, etc.
Quant à cette misérable histoire de virgule, et
plus généralement au symptôme galopant d'illisibilité,
qu'il me soit permis pour finir de faire remarquer ceci :
l'écrit possède cette délicate caractéristique, usant du langage commun,
que chacun peut s'en estimer le maitre et renvoyer l'écrivant
à ses chères études. D'où la supérieure difficulté d'écrire.
L'attitude de Louis est typiquement celle de l'éditeur
qui ne chipotte sur la forme que pour exiger qu'on
écrive autre chose qui soit plus plus tendance et
corresponde mieux aux goûts du public.
Merci Louis de me le rappeller.
M'imagine-t-on une seconde débarquant dans l'atelier
d'artiste pour y instruire le génial officiant dans son art,
pointant sur son chef d'oeuvre, toutes les virgules
qui sont en trop, toutes celles qu'il n'a pas mises,
mettant finalement à bas son beau monument.
Non, bien sûr, ne vous en déplaise je suis plus modeste
que ça, et l'artiste l'est bien moins, semble-t-il.
Ce n'était pas la peine assurément de changer de gouvernement.
EL
artiste ou décorateur ? après le village de Roure, c'est au tour de celui de Cantaron de s'offrir une image totem, aux alentours de 80 000€. ce qui m'amuse ce sont les naïfs qui pensent qu'il serait possible d'offrir ce budget à un artiste. Ceci ne s'est jamais vu. ou plus exactement, jamais à des artistes qui n'ont pas atteint le statut de décorateur.
Le Patriote
sondage express : 1) la page commence à être grande 2) j'aime bien les grandes pages 3) Boussard fait mieux.
more than 10 times a day ! yes it is possible. can someone make some relationship with fal7i so I can find un minimum de vacancy ? mf
La Semaine de la Solidarité Internationale à Nice
En effet le héros est de retour en sa patrie, enfin c'est pas Ithaque
Montluçon will ever be Montluçon.
Conclusion : c'est pas Ulysse et pas la Guerre de Troie.
L'a pas rencontré Cyclope, Circé et Calypso, l'est pas tombé de Charybde en Scylla, l'a pris la sncf qu'est devenue minuscule, la grêve sur ses talons, c'est moins drôle, comme prosodie.
L'est passé comme une lettre à la poste, dans le silence fragile qui prélude aux grands charivaris toujours taillés trop justes - mais que font les tailleurs !
Le train siffla trois fois et déposa son las usager tout au bout de "la plus grande avenue de la gare de France", mais oui mais oui, à ce qu'y paraît, nul n'ayant pris le soin de mesurer ces dires.
L'a retrouvé sa connexion qu'a rien de Pénélope.
No Pénélope at home, (un point à l'endroit un point à l'envers).
Pas même aux messageries, et pourtant une chiée de messages.
Au bas mot 193, ça fait du monde, et pas un mot d'amour, enfin presque, qu'on en juge :
Now it is possible to have sex more than 10 times a day !
(Je fais simple pour que tout le monde y comprenne, Louis compris,
mais pour l'englich je réponds de rien) La théorie y a qu'ça de vrai.
A part cette missive gorgée d'espérances diurnes et nocturnes, et censément sportives,
si j'ai bien compris, et deux ou trois bricoles du même genre pas vraiment pinéal, du Google Group à faire bugger le Grand Communicateur.
Et parmi cette vastitude où l'on ne sait jamais trop qui est qui et réciproquement, un post (c'est comme çà qu'on dit ?) raffraichissant d'un certain Paul
Stapelton
qui demande qu'on corrige son french, à propos d'un artiste qui serait
pensant,
ou l'inverse ( la re: polémique en cours).
Et franchement ce serait dommage, it would be irrelevant, dear Paul, I beg your pardon if I call you Paul, absolutely irrelevant, your french is better than any else, No Made could usually speak english, it would be rigolo, properly décent, is'n it ? English about Art.(Please correct my english)
Ainsi verrait-on les artistes se foutre sur la gueule en langue
étrangère, ce serait délicieux, délicious, absolutely. Les artistes manquent gravement de langue étrangère.
Voilà pour la chronique.
Ah encore une chose. Si Jean Pierre se lance dans les éloges d'artistes (Marie France Lesné et maintenant Louis Dollé débusqué en Carpaccio (dégusté?)), un portrait de l'artiste en travailleur s'impose, rapport à l'administrateur de ces pages, ou comme dit merveilleusement Paul Stapelton,
à l'_orginateur_ d'icelles.
Salutations
MMARYLINENCHINE à pekin
photo prise depuis Bairols (AM)
Après un mois passé à Nice Éric Lesné est de retour à Montluçon où il retrouve sa connexion internet. Clansco est triste du départ d'Éric mais content de lui voir retrouver sa connexion. c'est comme ça, non seulement on ne peut avoir le beurre et l'argent du beurre, mais on ne peut jamais manger toute la barre bretonne.
mise au point encore. minotorero a écrit sur le blog espace-holbein :
Bonjour Monsieur Holbein,
et enchantée que vous soyez en collaboration avec Clansco.. vive les cyberpartenariats d'artiste...
CT ne pratique pas le partenariat. Si l'espace-holbein est cité c'est juste que je trouve cela intéressant et que j'invite à lire. ff
plus précisément, CT est un blog d'artistes, espace-holbein est un blog de critique d'art. le critique d'art se doit de protéger son indépendance et refuser tout copinage. CT est très respectueux de l'indépendance de la critique, si rare.
(in)definition des Instants Vidéo numériques et poétiques
Les Instants Vidéo se définissent comme un festival dédié à la poésie électronique. Il ne s’agit pas d’un nouveau genre qui viendrait se rajouter à l’art vidéo et multimédia. Nous désignons par ce terme toutes démarches innovantes en matière d’écriture audiovisuelle et multimédia, ce que Deleuze notait au sujet de la poésie : une langue presqu’étrangère. C’est en cela que nous définissons le multimédia comme un art impur, hybride, favorable à toutes sortes de croisements, d’altérations.
signalé par Lucie Bitunjac
Dollé démasqué par Jean-Pierre Joly.
mise au point. les impulsions saccadées dont Marie-France bénéficie ne sont pas divines mais naturelles. elle n'a pas appelé par hasard mais par le téléphone. il fallait que ce soit dit.
Stupeur 20 ans déjà !
définitivement, les artistes ne sont pas stupides contrairement à ce que prétendent ST (bon anniversaire) et LD (ne pas déranger le dimanche avant 14h), Holbein, Courbet et Giuseppe Penone nous l'expliquent.
Marre des pauvres Y'en a des biens
Éros contre Thanatos
à paraître le 16 novembre dans Le Patriote.
pour pré-commenter dans : zone libre.
parmi tous les articles inintéressants que l'on peut lire ici ou là, en voici un bien édifiant :
Blabla et pour cent et classement ubuesque, pour dire stupidement ce que Coluche avait dit définitivement,
si tu es noir pauvre et malade ce sera beaucoup plus dur
lisez plutôt : TORT D'ÊTRE NOIRE, PAUVRE, FEMME, HANDICAPÉE ET EXPULSABLE BIENTÔT.
bientôt le nouvel article de Sophie Taam dans le Patriote, nous sommes toute attente. quel sera le thème ? je propose : les pauvres sont moins bien payés que les riches.
mais elle fera ce qu'elle voudra.
il y a un état sacré, c'est l'état d'être vivant. à partir de là, tout obscurantisme qui consiste à créer des catégories, évidentes et creuses, est à combattre. dans les êtres vivants on ne peut distinguer qu'une catégorie, l'être humain, c'est dire sa responsabilité.
Flop de l'été
Histoires d'Eaux - Histoire d'Art
Eizo Sakata est allé à Gréoux-les-Bains
Eizo Sakata sera aussi en novembre à :
DEFI EXPO 2007 du 5 au 10 novembre 2007, dans le cadre insolite - Salon de Batiment !
(Sculpture en matériaux de construction)
Exposition au salon international de la construction BATIMAT 2007- Paris Expo, porte de Versailles
Petits Formats : du 15 novembre au 20 décembre à la galerie 2.13 PM Bougival
(Tableaux de pluie et Livre)
Paul Stapleton répond à Eizo Sakata : tu as mal vu, très cher Eizo ! le public, les organisateurs et les artistes ont été très sensibles à ton travail.
Jean-Pierre Joly parle de Marie-France Lesné
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Catherine PONCIN dans espace-holbein
Exposition Catherine Poncin, vis-à-vis, Seine-Saint-Denis
27 septembre-16 décembre 2007, Théâtre Gérard Philipe, Saint-Denis.
Anso.V expose RÉMINISCENCE du 20 novembre au 8 décembre 2007
à la Médiathèque de St André de la Roche (06730)
2, rue du Ghet - la Laupia
vernissage le mardi 20 novembre 2007 à 18 h
Les Échos achetés par le patron de la culture : les journalistes ne sont pas contents !
- CT : pourquoi vous êtes pas contents ?
- journaliste : ah merde ça fait chier, nous on veut parler juste de fric, la culture ça nous rase !
plus d'émotion encore dans rue89
- CT : Arnaud Lagardère, vous êtes content ?
- Arnault : appelez-moi Arnault.
- CT : d'accord, moi c'est Frédéric.
- Arnault : j'aime la culture et partout où j'en ai l'occasion j'aime à la défendre.
- CT : dis-donc Arnaud, maintenant qu'on est potes tu peux m'inviter sur ton yack ?
Juan Carlos solidaire de Sarkozy :
non le ridicule ne tue pas encore, on peut encore se comporter comme des gros cons colonialistes.
qu'ils croient.
quizz
1 Ceuta et Melilla sont en Espagne
2 Ceuta et Melilla sont au Maroc
3 Boussard
question subsidiaire
le Sahara occidental fait-il partie du Maroc ?
exposition du 8 au 24 novembre 2007
Héléna Krajewicz,
une artiste et un art envoûtant à découvrir ou redécouvrir
à l’Atelier McNab 12, rue des Açores
Monaco
Jean loup Bézos sur territoile.
lucilee écrit Il n’est pas de bon ton ces temps-ci dans “le milieu de l’art contemporain” de s’étendre sur la peinture c'est que ça bouge. on aime la peinture et il y a des artistes qui aiment la peinture. tout va bien.
je m'attendais à pire ne pas manquer la vidéo Biaritz bonheur
vous avez dit fred forest ? c'est qui ?
sinon vous pouvez aller au Mudam (voir aussi chez lunettes rouges)
ne ratez surtout pas grosses expos
un art politique - MEJOR VIDA CORP.®
c'est à lire dans espace-holbein
quand je vous disais que ce site est un bijou
wikipédia : Holbein
une bonne façon de comprendre ce qu'est mvc c'est sans doute d'aller voir là
stupéfiant, non ?
j'ai déjà dénoncé Sophie Taam.
Monsieur Holbein demande comment fonctionne CT, je vais tâcher de trouver rapidement une réponse. En attendant ceci nous permet de découvrir son excellent travail espace-holbein.
dès que j'ai un moment je vais intégrer son fil atom sur cette page.
anonyme a écrit :
Toutes mes excuses !
Ah si j'avais su ! et bien je n'aurais pas dit ça.
Je viens de voir sur Arte le film de Kubrick Full metal jacket, et j'ai enfin compris ce que c'était de la vraie couille de mec gonflée à la testostérone. Si j'avais su, je n'aurais pas pondu cet article ridicule dans un hebdo progressiste. C'est évident que gibelin n'est pas un phallocrate vieux. Il faut dire pour ma défense que j'avais lu des choses mais jamais encore rencontré de vrai mâle couillu à donf, la race semble s'être éteinte depuis les années 70. Donc je retire ce que j'ai dit, gibelin est un vieux con, mais pas un phallocrate.
Dans mon article de novembre j'essayerai de dire moins de bêtises.
signé : anonyme
voir aussi Cube-(brique) fal7i
Variations sur l'équilibre et les limites de la terre le film
j'ai monté deux séquences de l'animation, (2 minutes, 33Mo). le film complet fera dans les 600Mo et sera disponible sur cd d'ici la fin du mois.
la démo fonctionne correctement sur linux avec un proc à 1,6 GHz, avec un SE de piètre qualité (win, mac) il faudra peut-être un proc plus rapide, à voir, merci de tester.
nécessite firefox et plugin flash (pour le son).
sources de news
pourinfo.org :
- Rencontres : L’art doit-il faire événement ?, Cipac 2007, 5ème Congrès du Cipac, Jeudi 29 et vendredi 30 novembre à Lyon, France.
- Appel à candidature : dossier artistique, Galerie SAW Gallery, Ontario, Canada.
- Rencontres : Anselm Kiefer, Vendredi 7 décembre 2007, Auditorium du Louvre, Paris, France.
- Résidence : European Media Artists in Residence Exchange 2008, Bulgaria, United Kingdom, Germany, Netherlands.
lunettes rouges :
- Mathieu Mercier
- Vanessa Quang
- Société Réaliste
- Collection Photo de Pompidou
- Damnation mémorielle et aura
- Grande est la faute de celui qui parle beaucoup
- DiVA
- Paris Photo
- Les peintres de la vie moderne
- Les premiers vrais nus anglais
- Tableau pris en otage au Musée Marmottan ?
- Rembrandt à Emmaüs
- Où souffle donc le tiers esprit ?
- Seul face à son oeuvre
- Qu?importe le Liban !
- Inutile exposition, superbe pavillon
- Jeune Création
- Livres brûlés
- Le Théâtre du monde
- Voler la beauté
Qu'est-ce que l'art (aujourd'hui) ?
- What Ever Happened to your Dreams? à la Galerie Les Filles du Calvaire
- Design contre design au Grand Palais
- Prix BMW 2007
- Paris Photo 2007 avec Marion Poussier
- Karl Lagerfeld : l?art, l?époque, la mode, la raison, la passion…
- Dérive à la Fondation d?entreprise Ricard
- Morgane Tschiember à la galerie Loevenbruck
- John Baldessari à la galerie Marian Goodamn
- Mathieu Mercier à l?Arc – musée d?Art moderne de la Ville de Paris
- Michael Hakimi à la Kunsthalle (Bâle 4)
- Hélène Delprat à la galerie Gisèle Linder (Bâle 3)
- Robert Gober au Schaulager (Bâle 2)
- Andreas Gursky au Kunstmuseum (Bâle 1)
- Richard Meier à la fondation Louise T. Blouin (Londres 8)
- Georg Baselitz à la Royal Academy of Art (Londres 7)
- Michael Raedecker à la galerie Hauser & Wirth (Londres 6)
- Doris Salcedo à la Tate Modern (Londres 5)
- Turner Prize: A Retrospective à la Tate Britain (Londres 4)
- Pop art is? à la Gagosian Gallery (Londres 3)
- Matthew Barney à la Serptentine Gallery et chez Sadie Coles (Londres 2)
- Louise Bourgeois à la Tate Modern (Londres 1)
- Fantasy au Centre photographique d?Ile-de-France
- The Third Mind – Carte blanche à Ugo Rondinone au Palais de Tokyo
- Douglas Gordon à la galerie Yvon Lambert
- Rene et Radka à la galerie Philippe Chaume
webart'zine dégénéré le 27 11 2007 à 20:52 par des esprits hautement provisoires.