webart'zine spirituellement dégénéré le 1 11 2007 à 16:55 par des artistes plasticiens contemporains de façon hautement provisoire.

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Variations sur l'équilibre et les limites de la terre le film
j'ai monté deux séquences de l'animation, (2 minutes, 33Mo). le film complet fera dans les 600Mo et sera disponible sur cd d'ici la fin du mois.
la démo fonctionne correctement sur linux avec un proc à 1,6 GHz, avec un SE de piètre qualité (win, mac) il faudra peut-être un proc plus rapide, à voir, merci de tester.
nécessite firefox et plugin flash (pour le son).

Sophie Taam en a rêvé, ClanscoTribues est bienheureux de lui offrir :
La Marche des phallo-gérontocrates

La marche des meuh, Licence : GNU GPL (GNUArt)

MMARYLINENCHINE ça y est, elle a trouvé le samsung !

la phallo-gérontocratie se porte bien, merci

le 29 10 2007 à 17:44 minotorero a écrit : Ah ! eh bien, je suis enchantée de voir que ça s'agite un peu… enfin…

Pardon pour Louis, pardon pour l’ouïe.
Tout homme considérant objectivement son membre dit viril peine à reconnaître dans cet objet de toutes les obsessions historiques l’instrument par excellence du pouvoir. Le fou rire le prend, effet probable d’antérieures névroses conjointes à son allégresse naturelle. À moins qu’il n’use du miroir pour le contempler à son aise ou ne recoure à la photographie, à moins que ce membre peine à passer entre les portes et oblige à quelque manoeuvre mobilière empruntée, la vision surplombante dont il jouit de cet ineffable organe d’aspect vaguement digital ne l’induit guère qu’à de vaseuses réflexions de nature plutôt philosophiques, du genre : pourquoi quelque chose plutôt que rien. À cet endroit, du reste comme ailleurs. Si la nature avait voulu que ce fameux phallus fût l’arme contondante ou de jet du mâle éternel, que ne l’a-t-elle fiché en plein front s’il en fallait un, de phallus, se dit peut-être le hasardeux propriétaire de cet avantage trop exclusif. Mais il paraît que ceci dépend essentiellement des spécimen particuliers du genre mâle, plus ou moins atteints pat le mal profond qui le ronge, et probablement aussi des proportions de l’engin à l’état de veille comme d’hyperactivité ; il va de soi que le possesseur d’un trombone à coulisse ne saurait réagir à cet endroit comme celui d’une trompette de poche, pour rester dans les embouchures et ne pas changer intempestivement de famille instrumentale. Il se peut aussi, puisque la taille obsède, et, semble-t-il, malgré les vigoureuses dénégations largement au delà des limites du genre, bien que cet appendice béni-maudit ne vaille selon d’autres sources bien informées que par la virtuosité de sa partition, il se peut donc que l’allocataire du tuyau émettant dans les hautes fréquences et donc à droite toute du clavier ne soit voué en définitive qu’à la pure spéculation philosophique, à la pensée des sphères et essences, tandis les régions inférieures du clavier où trônent les sublimes hauteurs de bonne étoffe dans les registres du seize voire du trente deux pieds de pédale ne soient réservées en bonne pratique qu’à faire sonner bêtement la fondamentale des origines du monde selon Courbet, enfin Courbet/Lacan, qui vient ici tout à trac imposer son vertigineux panorama. Mais il se peut aussi autre chose, il se peut tant de choses, notamment que la musique soit l’important, dont chacun sait qu’elle requiert toute fréquence du large spectre, et que la queue finalement, pour enfin parler proprement, fut-elle la queue de Lacan, n’entre en composition dans ces mystères obsidionaux, toujours reconduits, qu’à mesure de la décomposition que le moindre clin d’oeil en plongée que lui lancera le mâle, dans sa situation purement anatomique et sans autre assistance que son matériel optique natal, lui inflige sèchement. Mais laissons la musique et ajoutons à cela, pour les accuser davantage, s’agissant des vieillards cacochymes et phallogérontocrates dont il est ici question, en somme du phallogocentrisme impénitent et récidiviste, cette évidence de l’âge auxquels ne parviennent à se soustraire que les athlètes invétérés et autres champions de la platitude abdominale marathonant quotidiennement toute allée carrossable sous des motifs certes divers mais non encore élucidés : cette queue qui fait paraît-il l’orgueil du mâle essentiel disparaît aussi sûrement à la vue rasante sous une bedaine de premier plan que Mont Blanc sous petit doigt. La mine mâle est piteuse, c’est une affaire désormais entendue. Pas par tout le monde semblerait-il - le film de ces déchéances enchante et la fin vient trop vite pour en goûter le sel, faisons-le donc tourner en boucle et branchons la hantise. À mort ! À mort ! Achevons les moribonds !

Mais ils vont encore protester qu’ils n’y comprennent rien, que la ponctuation pèche, que le sens peine à jouir, que les mots sont châtiés à l’excès, que l’auteur prétendu, ce crétin des Abruzzes, appartient aux castes indigestes et qu’à la trappe conséquemment il doit passer, par les fourches d’Ubu, et que ceci et que cela. Il n’y a décidément rien comme les artistes pour couper le son. Mais ils le font d’une voix si flutée que c’est encore un régal pour les ouïes. Navte le nata.

Éric Lesné

usage urgent de décodeur

hein ? y dit quoi Éric Lesné, moi pas comprendre. Il existe des sites pour traduire, néanmoins, je propose la création d'un décodeur pour les textes d'Éric Lesné. En fait, je pense qu'Éric lesné n'existe pas, c'est encore un pseudo créé par Falsetti, ce sale pervers, qui utilise Marie-France à outrance, jusqu'a lui inventer un frère/ la preuve, éric, c'est la fin de "frédéric", non ?

Falsetti, arrête de nous emmerder avec tes pseudos, tu nous as assez fait chier avec Malingrey…
De plus, tu te moques de mon physique, ce qui n'est pas gentil, voir goujeat, ce qui prouve que c'est bien toi l'auteur de ce texte !
J'ai rencontré le vrai Éric Lesné, c'est quelqu'un de très gentil qui lui, met des virgules quand il parle…

Louis Dollé

Mille pardons, Louis.
Juste deux remarques –simples– au non-comprenant que tu prétends encore être en homme persévérant.
- Tu comprends si peu que tu te blesses en comprenant, ou, pour le dire plus simplement encore, tu ne comprends que ce qui te blesses, et n’était nullement fait pour, sois-en sûr. La référence à ta personne ne visait qu’à taquiner ce non -comprenant que pour part tu feins ou t’efforces d’être.
- À mon tour de ne pas comprendre : comment se fait-il qu’un artiste comme toi, j’entends un artiste dessinateur, rompu aux plans et à leur superposition visuelle, en somme aux sortilèges de la perspective, ne daigne pas comprendre une chose aussi simple que l’étagement des plans. Si Andrea Mantegna, dont je ne doute pas que tu le connaisses (et dont voici l’adresse internet), avait dessiné son Christ mort dans l’autre sens, bille en tête si j’ose dire, même son torse d’athlète, sûrement capable d’une honorable performance au cent mètres olympique, aurait caché le voile qui recouvre ses pudendas. (En conséquence, Courbet, l’origine du monde, et autres fantaisies… )
Ca y est, tu y es ?
signé Alias

sur la toile : Art Point France l'actualité de l'art et plus encore

sur territoile : Martine Pinsolle

découvrir sur la toile : banlieues de l'art dans lesoukrepublicain

Il existe un peu partout en France, hors des réseaux institutionnels, à l'écart de la presse beaux-arts et de la "critique d'art", une véritable "banlieue de l'art". En marge des réseaux institutionnels, ayant peu ou pas de moyens de montrer leur production au delà de leur voisinage immédiat, des artistes dans l'incapacité de diffuser leur production selon les modes de promotion planétaires en cours dans le milieu de l'art contemporain international développent des formes artistiques singulières…

Joly et Fauzy étaient à Venise donc cette visite, 11h en deux jours ! Pas d'ampoules aux pieds mais presque. Dans cette quantité, ce qui ressort est une relative déception, c'est du classique-contemporain sans surprises. Les pavillons des gros pays franco-américano-anglo-italien sont bien polis et bien sages. Les Russes bien trash, les chinois très clean. Rêvons de tels budgets à 5 ou 6 zéro pour no-made !!! Le meilleur venait du plus simple, mais quoi d'étonnant, avec un bout de craie Dan Perjovschi enchante par son humour ravageur. ( ça en manquait beaucoup). De la guerre bien sur, surtout d'Irak, mais sans les irakiens… ni les pays arabes d'ailleur. Une installation-biographie sur un terroriste palestinien montre dans le fond qu'il n'y a rien de plus banal qu'une vie de terroriste.
Les Africains font de la couleur et les coréens du noir et blanc. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Et ici que lit-on !! voila que le phallo-gérontocratisme nous guette ! Je pensais les artistes des enfants posés sur leur pot préparant le caca qu'ils allaient offrir à leur maman-galeriste. Tellement d'exemples du spectateur lamba qui dit que son enfant de 5 ans en fait autant à l'utéro-gérontophile Louise Bourgeois qui dit pouvoir rester dans l'enfance nous renvoient à l'artiste enfant. Et bien non, le voilà vieillard cacochyme.

Alors, que reste-t-il à ce pauvre artiste, entre ses selles et son alzheimer ? Jouer avec sa merde qui en fait heureusement un chieur.

MMARYLINENCHINE ça y est, elle a trouvé le carrouf !

Jean-Pierre Joly au Grand Palais
Joly il dit qu'il part quelques jours dans un haut lieu de l'art contemporain officiel et bourgeois. Il répondra à son retour.
Subject: ce que dit joly Date: Fri, 12 Oct 2007 16:16:23

Revanche d'un mauvais perdant ? le navrant jospin vu dans nonfiction.fr

certaines personnes pensent no mad et tremblent à l'idée d'un épuisement possible des ressources

idée thème et photo Éric Lesné

Le triomphe de la phallo-gérontocratie

Je n'ai pas encore lu le second article de la très grande, très lumineuse et très belle et unique Sophie Taam, paru dans l'hebdo progressiste (sic) le Patriote et sur Territoile (merci Sophie). Juste le titre et la première ligne : Les apparences ne doivent pas tromper : si la femme jeune semble avoir sa place dans le milieu de l’art contemporain officiel…
Holà ! me dis-je in petto. Le monde ne serait plus dirigé par la Phynance ? Ça bouge chez les staliniens ! Exit le Grand Capital, bonjour sociologisme et psychologisme ?
Nous sommes ici dans ma sphère d'incompétance. L'étude marxiste m'est hors de portée, mais le genre situ, ça je peux faire. Et je m'en vais de ce pas ne pas m'en priver.

Le pouvoir est à prendre, encore faut-il se baisser.

que ça s'appellera

Thème Eric Lesné ?
comment cela ???
je revendique le doigt levé, je pense être l'initiateur de ce doigt salvateur, de ce geste d'amour (hé oui) profond mais licencieux.
Comment, toi un être si beau, toi a qui j'ai si souvent tendu ce doigt, comment peux-tu me faire cela, et me nier ainsi ? chou

si je dois t'envoyer des photos, c'est quoi le mieux
sachant que j'ai 500 photos à t'envoyer
Dollé Louis 10 Oct 2007 11:10:16

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Fragonard c'est bien, fal7i est un idiot.
fal7i

Fragonard bien sur , il y a aussi Archimboldo et Courbet, maudit parisien, Courbet: « Il faut encanailler l'art » , qu'en dis-tu Falsetti ?
jeanpierre joly

encanailler l'art
en tout cas il faut interroger l'art.
je croyais que Fragonard était un type chiant et vide, et j'ai lu que j'avais tort et que c'est un artiste qui s'est posé des questions d'art. au péril (?) de sa santé financière, ou tout le moins à côté, ou en tout cas ça y ressemble. ce que j'ai lu dans blabla et lunettes rouges ne suffit pas, c'est une piste. à faire.

l'histoire de l'art, elle s'écrit aujourd'hui, et aujourd'hui en toute accessibilité, par qui veut, et ce ne peut qu'être un travail commun, et plus un territoire féodal conquis par des méthodes mafieuses ou terroristes. mais pour que cesse le mandarinat, il faut que des hommes libres se lèvent, se sentent responsables, et fassent. la liberté c'est faire. critiquer les abus de pouvoir c'est participer du système de mandarinat.

qu'en pense Joly ?

Sous-marin rien
pourtant cela aurait bien fait dans no mad, parmi les coups d'art et à côté du travail laborieux de Louis ou de Denis, pour ne citer qu'eux et en sachant que je ne sais discriminer ainsi. parce que dedans dehors, ça n'a posé question qu'aux artistes, la question de mad (ou no) être dedans ou dehors, et que le labeur est un labeur, ingrat, et que le coup c'est ne pas exposer, s', alors dans ce laboratoire il se passe des choses, ou rien. et entre les choses ou rien ce qui fait sens c'est la parole d'art, c'est dire travail ingrat et persévérant qui ne se connait que de dedans, et pas dehors en un posant collectif.
les spécialistes nous diront ce que fait ce no dans ce lieu mad. il suffit de payer la consultation.

MMARYLINENCHINE bon voyage

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