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webart'zine spirituellement dégénéré le 12 04 2008 à 12:01 par des artistes plasticiens contemporains de façon hautement provisoire.

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Paris: fin du relais de l'Harmonie

Grâce à CT, gagnez 50€ ! CLOS DE LA ROCHE Grand Cru - Leroy 1970
1 650,00€ au lieu de 1 700,00€

Il faut aller loin pour voir les choses de près. En filmant une mafia japonaise, je filme peut-être un peu la mafia du milieu cinématographique, tout aussi malfaisante.
Jean-Pierre Limosin, réalisateur du documentaire Young Yakuza,
festival de Cannes 2007 (Arte)
Interview Le Monde

michelle.siboun at free.fr souhaite partager des photos avec vous !
Les photos seront disponibles jusqu'à cette date : jeudi 8 mai 2008

San Francisco : 6e étape du relais de la torche olympique de Beijing
À 22h le 7 avril, heure locale, la flamme olympique de Beijing a quitté Paris pour se rendre à San Francisco aux Etats-Unis, la 6ème étape du parcours international de la torche olympique. Le prochain relais de la torche débutera le 9 avril à 13h , heure de San Francisco, soit le 10 avril à 4h , heure de Beijing, pour une durée d'une heure et demie. La torche partira du célèbre McCovey Cave pour terminer sur la place Justin Herman. 80 porteurs de la torche se relaieront sur une distance de 10 kilomètres le long de la mer, en passant par plusieurs sites symboles de la ville dont le Fisherman's Wharf, l'embarcadère des Pêcheurs ainsi que le Pont du Golden Gate. San Francisco, une des plus importantes villes côtières dans l'ouest des Etats-Unis,a établi depuis longtemps des liens tant commerciaux que culturels avec la Chine. Dans l'histoire des Jeux Olympiques, la torche est déjà passée à quatre reprises dans la région de la baie de San Francisco.
Rédacteur: Liu Xinyan

Le 8 août 2008, nous ferons tout, sauf regarder les JO à la télé !
toutes les propositions sont les bienvenues, genre méga expo à SPADA (d'après une discussion ce matin avec Olivier)

Pour le farmaton, hélas, bien sûr la cause freudienne est l'entreprise psychanalytique de rabotage et de conformisme la plus redoutable du moment. Qu'ils s'occupent de dénoncer la normalisation de la pensée fait sourire ou fâche surtout.
jpj

quizz qui a dit :
« Ce que j'aime bien dans tes pièces c'est qu'elles n'ont pas un bâton dans le cul. On dirait des êtres humains qu'on a laissé grandir sans les contrarier. »

	Bonjour,

	Il se trame quelque chose entre Paris et Troyes aujourd'hui.
	Dans l'inconscient des papiers entassés, dans le geste manuscrit
	de l'archiviste, dans les parcours poétiques de celui qui ne
	veut pas lire, mais capter les traces.

	La photographie a été inventée pour cela. Quand il s'agit de
	photographier l'écrit, les livres, les cahiers, les notes,
	les événements calligraphiés de la main malhabile du scribe,
	on se trouve à ce carrefour de ce qui signifie et de ce qui
	signe fit.

	Nicolas Taffin prépare une exposition à Troyes. Une mission
	en basse archive : photographier et donner à voir les 17
	kilomètres d'archives de l'Aube. Cartons, papiers, rubans,
	encre et plumes. L'administration de l'histoire et l'histoire
	des administrés comme matériaux d'une quête photographique.

	Nicolas avait commencé ce travail de numérisation de l'émotion
	de l'écrit, ce qu'aucun logiciel OCR ne pourra jamais approcher,
	avec les illustrations du livre "Livre," de Michel Melot.
	Il continue à arpenter les mots écrits et les supports.

	Numériser, ce n'est pas seulement changer de support, c'est
	redonner à lire, à voir et à émotionner. La "photographie
	numérique" ne fait pas de photocopies, elle invente le regard
	pixélisé.

	Mais bon, faut déjà avoir le regard....

	L'exposition ouvre du 24 avril au 24 juin aux Archives
	de l'Aube à Troyes (de 9h à 17h... sauf week-end)

	En attendant, le travail laisse lui aussi des traces numériques.
	Sur le web de Nicolas :
	http://www.polylogue.org/commentaires.php?id=124_0_1_0_C

	Un avant goût.

	En en attendant d'autres...

Hervé Le Crosnier

PS: Disclaimer : Nicolas est mon ami, vous auriez deviné.

ne pas oublier que la photo numérique est un argument de markéting, il convient mieux de parler de numérigraphie. La photographie REVELE, la numérigraphie CAPTURE. C'est pas la même chose.
jpj

MALADE ? Une angine ?
Clansco a ce qu'il vous faut !

en exclusivité Louis Dollé, malade d'une angine a testé pour vous Le miel des Stapleton

Ce miel délicat d'une saveur unique est fabriqué par un couple d'artistes en Provence.
Ce produit testé scientifiquement dans ma gorge a héradiqué toute forme de miasme, voir mieux encore est délicieux.
Ce miel est sans nul doute l'aliment des dieux

cet article change de toutes les conneries que l'on peut lire sur clansco

Stapleton sur territoile géo

et peut être bientôt sur territoile boutique quand ce sera en ligne ?

J'adore ça !
opérette en trois actes
Trichet, Juncker, et Almunia se réunissent et il serait absurde de demander combien de fifrelins ça a coûté. La culture du résultat, cheval de bataille de l'obscurantisme (voir ci-dessous), ne s'applique pas à ce beau monde. Si les prix augmentent, disent-ils, c'est la faute aux salaires. Même si cette orgie n'avait coûté qu'un seul fifrelin, ce serait encore trop. Pour obtenir ce résultat il suffit d'interroger le premier abruti réactionnaire fin saoûl venu à un comptoir de bar.
On se demande donc pourquoi ces gens-là touchent les gros salaires juste pour dire de telles conneries. Et bien justement, parce que c'est pas facile à dire, essayez de le dire sans rire ou sans être bouffé par la honte. Vous ne le pouvez pas. Eux si. Mais en plus ils ont d'autres qualités, un carnet d'adresse, et ils travaillent en réseau. Ce n'est pas de l'artisanat de comptoir, c'est du travail scientifiquement planifié. L'autre drôle, le Strauss-Kahn, renvoie la baballe en disant oui-oui, l'heure est grave.
Vous me direz, la ficelle est trop grosse, on sait bien que si les prix augmentent c'est que tous les gros sont en situation de monopole et s'entendent pour s'en mettre plein les fouilles. Qui croit ce baratin ?

Et pourtant cela fonctionne, car personne n'est là pour dire le contraire, et en particulier pas ces deux là. Regardez-les, le jeune rigole parce qu'il passe devant la vieille qui du coup fait la gueule. Ma petite entreprise ne connaît pas la crise se réjouit-il. Pourtant je refile la même camelotte s'interroge la hasbeen, augmentation des salaires et baisse des prix, alors pourquoi lui. Parce que tant qu'à se laisser bercer par des illusions qu'on sait bien que ça ne marchera pas, autant se donner un petit coup de frisson érotique. Il n'y a pas de mal à se faire du bien.

Pourtant un autre monde est possible. Et si ces deux là n'en parlent pas, c'est qu'ils n'en sont pas.

pas de jour sans conneries, (sauf peut-être la journée sans conneries ?) dans la livraison du jour signalons :
FPCBOL beta 4 [ Not Rated ] [ Stable ]
Fpcbol is a desktop user interface written for children and people who want simplicity and speed. It is designed to be as beautiful and simple as possible. It has no menus, just icons to click.
NUT 13.5 [ Not Rated ] [ Stable ]
NUT records what you eat and analyzes your meals for nutrient levels in terms of the "Daily Value" or DV which is the standard for food labeling in the US. The program uses the free food composition database from the USDA. This free nutritional analysis software was written for Unix systems (I use […]

Hacker Space Fest appel à propositions
Le premier Hacker Space Fest (HSF) se déroulera au /tmp/lab près de Paris en juin 2008. L'objectif du festival est de rassembler des intervenants d'origines culturelles et technologiques diverses, en provenance des différents Hacker Spaces et Zones Autonomes de France et d'Europe (et d'ailleurs, s'ils peuvent nous rejoindre) pour partager leurs expériences et témoigner de leur actualité. Le terme générique de "hacking" signifie dans ce contexte "l'usage créatif de la technologie" et non pas "la pénétration illégale de systèmes informatiques" (la propagande politico-médiatico-terroriste nous importe peu).
Ce festival est autonome, bénévole et collaboratif. Nous vous encourageons à y contribuer de quelque façon que ce soit en rejoignant notre équipe pour cet événement, ou soumettant une conférence, en proposant un atelier ou en organisant un concert, une performance, une exposition ou un événement associé à côté de chez vous.
pourinfos.org

pharmacie attaque !

MEETING À NICE
Association Cause freudienne * Collège lacanien de recherche psychanalytique * Section clinique de Nice
Les psychanalystes dans la cité, avec artistes, chercheurs, créateurs, écrivains, intellectuels, magistrats, universitaires
CONTRE la mise aux normes et le formatage le chiffrage et l’évaluation généralisée le cognitivisme et le comportementalisme POUR la clinique du sujet et la création
10 MAI 2008 14H-19H PARC PHŒNIX SALLE LINNÉ
RENSEIGNEMENTS 04 93 88 85 16
Nicole Caligaris écrivain * Robert Charvin Professeur émérite, Faculté de Droit, Nice * Maryline Desbiolles écrivain * Côme Jacqmin Juge des enfants à Nice, Syndicat de la Magistrature * Anne Juranville Professeur de Psychologie clinique, Nice * Pierre Le Pillouer écrivain * Bernard Pagès sculpteur * Franck Renucci maître de conférence en sciences de l’information, Toulon * Isabelle This Professeur d’économie à Paris, responsable de « Sauvons la recherche » * André Tosel philosophe, Professeur émérite * Jean-Michel Vives Professeur de Psychologie clinique, Nice * Jean-Pierre Zirotti Professeur de Sociologie, Nice * débattent avec Rémy Baup, Chantal Bonneau, Christine De Georges, Philippe De Georges, David Halfon, Gilbert Jannot, Franck Rollier psychanalystes, membres de l’École de la Cause freudienne
L’évaluation est devenue le maître-mot de notre quotidien. La méthode, pour n’être pas nouvelle, s’étend maintenant aux domaines qui échappaient jusqu’alors à l’arbitraire du chiffre. Elle est par ici et la voilà par là, elle envahit insidieusement les secteurs où la subjectivité s’exprime : l’éducation, la justice, la santé physique et mentale, l’art… Apparue d’abord dans le champ industriel, l’évaluation a fait les preuves de son efficacité et de son utilité dans le domaine des sciences et des techniques. L’usage des statistiques dans les domaines qui les nécessitent est une juste initiative. En revanche, pour le sujet humain qui se spécifie d’être particulier, singulier et unique, l’évaluation devient la machine infernale qui ne sert plus alors qu’à broyer et écraser toute différence afin d’extraire du chiffrage ce produit immonde et désincarné qu’est l’évalué. Le médecin, l’enseignant, le juge, le chercheur et l’artiste ne peuvent s’inscrire dans cette logique de la méconnaissance de la spécificité de leur travail. Ils recueillent, observent et traduisent cette énigme renouvelée qu’est l’être humain, juste humain. Aujourd’hui la psychanalyse d’orientation lacanienne dit NON à l’idéologie ravageante de l’évaluation, NON à la standardisation et à l’uniformisation, NON à la réduction au chiffre pour pouvoir dire demain : OUI au maintien de la qualité de l’accueil et de l’écoute du sujet, OUI à la création et à l’invention, OUI aux idées nouvelles quand elles servent les progrès de la civilisation et ne visent pas à l’écrasement du particulier au profit d’intérêts obscurs. Le meeting du 10 mai 2008 réunira des chercheurs, des magistrats, des universitaires, des écrivains, des artistes, des intellectuels et des psychanalystes qui s’opposent en raison aux ravages que l’idéologie de l’évaluation représente pour le XXIème siècle.
ENTRÉE PARC PHŒNIX 2 € INCLUANT 2H DE PARKING
Participation aux frais : 10 € (5 € pour étudiants et demandeurs d’emploi)

La pharmacie attaque l'art, soyons vigilants !
défendons l'art contre la pharmacie !fal7i

territoile-vidéo

le but du jeu est, entre autres, de faire connaître No-Made.

Si elle revient j'annule tout… ! reçu via l'expresso de Telerama… Rob

La critique s'intéresse beaucoup aux œuvres de Sophie Taam et de Sophie Calle en ce début de printemps.
La première a les honneurs de l'édito d'André Rouillé sur paris-art : Sophie Calle. Petits arrangements avec les événements
Pour la seconde, moins prestigieux, la dernière pièce de son Mur des lamentions (qui avait été exposé à l'occasion de No-made 2007 à la Villa Roc-Fleury) fait l'objet d'abondants commentaires dans ces colonnes.

On regrettera que ces commentaires, particulièrement futiles et gratuitement désobligeants, ne portent que sur l'anecdotique, les péripéties factuelles qui ont déclenché l'acte de création, et non sur l'œuvre elle-même. Interrogé, l'auteur principal de ces commentaires, qui nous avait habitué à plus d'à-propos, se justifie en disant que le cerisier s'est mis en fleurs et lui bouche à nouveau la vue. « J'aime pas le printemps ! » dit-il. C'est un peu court.

fal 4 avril 2008 10:48
Effectivement j'étais à côté de la plaque, merci de me le faire remarquer. C'est d'autant plus navrant que cette œuvre de Sophie Taam est particulièrement intéressante. Sophie se réfère à l'œuvre de Sophie Calle en opérant un décalage riche de sens. Alors que Sophie Calle met en scène les petits déboires bourgeois, Taam témoigne de la réalité de l'existence des masses laborieuses. Guy Debord mettait au crédit du surréalisme quelques essais d'intervention dans la vie quotidienne. C'est là une des caractéristiques majeures du bouleversement artistique auquel nous assistons. L'art n'est plus confiné dans les étroites trivialités élitistes mais s'opère désormais dans l'intégralité de la réalité. L'art ne s'adresse plus à quelques snobismes mondains et spéculations pécuniaires mais concerne l'humanité toute entière.

Merci donc à Sophie Taam. Rappelons que cette artiste protéiforme se produira en demi-mondaine au théâtre de la Licorne samedi 5 à 20h30 et dimanche 6 à 15h30 à Cannes, à l'occasion des deux premières représentations de J'adore ça ! l'unique comédie musicale dont l'intrigue se déroule à Cannes.

Hélène Jourdan Gassin fête ses 30 ans d'activité culturelle à Nice.
Regard sur une collection
Hélène Jourdan-Gassin du 9 avril au 8 juin 2008
Galerie des Ponchettes et Galerie de la Marine, Nice
inauguration mardi 9 avril à 18h

À afficher sur clansco, qu'on rigole.
Il faut encourager et remercier l'excellent éditeur d'art Marguerite Waknine : c'est rare, de nos jours, les éditeurs qui prennent encore le temps de répondre, et encore, à la main, aux auteurs !
C'était pour publier Les Chroniques de la face cachée de l'art. Ça n'a pas fonctionné, mais j'ai une pierre de plus à mon mur des lamentations. Je vous l'avais dit que c'était un "work in progress".
Sophie Taam 2 avril 2008 20:42

fal 2 avril 2008 22:23
Ça ne m'a pas fait rire, mais mis en rogne. Je trouve ça nauséabond. Il se croit protégé derrière son petit bureau, là je pense qu'il mériterait qu'il lui arrive un coup de poing dans la gueule. Genre le truc divin. Mais j'ai tort, je le sais, ce n'est que quelqu'un de petit qui se la joue, il faudrait le plaindre, et surtout l'ignorer.
Bon, mais d'un autre côté, comme vous vous êtes parlé au tel, il a pu estimer que tu étais assez grande fille pour entendre ce qu'il pensait, et donc au lieu d'un défoulement malsain, il faut voir là un geste amical.
OK. Mais ce qui ne cadre pas avec la deuxième hypothèse, c'est le coup de l'hystérie. Là on n'est plus du tout dans l'appréciation de l'écriture, mais dans le jugement de valeur, et quel référentiel ! la pharmacie.
Donc ce serait une misérable vermine.
La nuit porte conseil.

Les esclaves sont des esclaves dans leur cœur autant que dans leur corps.
Il faut du temps, pour courir loin du fouet de Pharaon,
il leur faudra du temps pour qu'ils s'éloignent des cordes qu'il a nouées dans leur esprit.
Marek Halter Tsippora

fal 3 avril 2008 13h
La nuit porte conseil. Toute critique est bonne à prendre. En général une critique éclaire plus sur celui qui la porte que sur l'objet de la critique.
Remarquons que là où Franck Guyon dit « les petites hystéries nombrilistes dont nous avons tous été victimes, quand nous étions enfants » , BEN dit « Je rigole On dirait la réaction d'une bande d'artistes pleurnichards qui n'ont pas eu leur goûter à la récré Et qui crient qui crient Et moi et moi et moi ». C'est plus élégant et ça ne sent pas les pieds dans la boue de la vieille culture.
Ce qui importe dans la critique, c'est d'où elle parle.
Comment donc critiquer la série d'articles de Sophie du point de vue de l'art libre ?
Peut-on critiquer ce travail de Sophie d'un point de vue littéraire ? certainement non, ou alors il faudrait me dire où la culture libre aurait créé ne serait-ce qu'un embryon de littérature. C'est bien entendu trop tôt, mais remarquons que justement l'expression de type journalistique est au cœur de la réalité du mouvement de la culture libre. De même, la démarche éditoriale, publier sur le web, dans un espace ouvert aux commentaires, relève bien de la culture libre.
Peut-on critiquer ce travail de Sophie du point de vue de l'art libre ? mais alors il faudrait m'expliquer ce qu'est l'art libre. Si quelqu'un sait, il est bienvenu dans ces colonnes. On a une petite idée de ce qu'il n'est pas. Sophie se réfère au travail de Sophie Calle. Les pieds dans l'art contemporain donc. Est-ce une tare ? ou autrement dit y aurait-il possibilité d'un art libre naissant ex nihilo ?
Nous en sommes tous là, les pieds bien profonds dans la boue de la vieille culture du siècle passé, vieux, très vieux et obsolètes, mais avec une petite flamme qui émerge, vacillant au souffle nouveau dont nous ne connaissons rien.
Le contenu est-il « d'une niaiserie sans borne » ? Il me semble au contraire qu'il s'agit d'un rabâchage éculé de considérations qui s'adressent à un monde mort et n'ont plus aucune réalité, sinon leur persistante pestilence. Mais là encore, faut-il en faire grief à Sophie ? L'art naissant se signale justement des frémissements désordonnés que l'on peut découvrir au sein de la gangue morte. Sophie n'est pas une théoricienne de l'art libre, elle en est une praticienne émérite.
En conclusion, on portera au bénéfice de Sophie ses très beaux yeux, son sourire très doux et tout à la fois moqueur, la magnificence de sa chevelure, toutes choses qui sont une bénédiction dans le No-made que nous concocte Denis, relativement aride côté satisfactions esthétiques et émotionnelles immédiates.

lapsus et repentir jpj 3 avril 2008 17:55
Alors merci à Sophie de nous offrir ce cas d'école. Au milieu de ce texte si bien léché, la tache : ce pâte !
Qu'en dire… voila un -n- (haine ?) qui vient recouvrir un -m- (aime ?) et transforme dans une inversion signifiante un "mon" en "nom".
S'agirait-il là du nombril hystérique du monsieur ? Qui sait… mais déjà le ver était dans le lit/té/*rature*. Le reste va avec l'époque moins "hystérique" peut-être, mais tellement plus vulgaire.

J'adore ça

Bonjour à tous,
Saviez-vous que techniquement, ce sont les Français et non les Américains qui ont inventé la comédie musicale dans les années 20 ? Venez nombreux assister aux deux premières représentations de J'adore ça par la nouvelle troupe d'opérette de Cannes dont je fais partie, samedi 5 avril et dimanche 6 au théâtre de la Licorne à Cannes. Hilarant et plein d'énergie.
Profits du spectacle reversés aux artistes nécessiteux.
Amicalement,

Sophie Taam 15, rue Fontaine de la Ville 06300 Nice France mob: + 33 (0)6  11 45 34 39

www.sophietaam.com
et Sophie Calle est à la BnF jusqu'au 8 juin, mise en scène par Buren.

Exposition Gérard Eli
du 12 avril au 10 mai 2008
Atelier Piano / 04 93 64 21 02
37, av. de Cannes 06220 Vallauris
Vernissage Samedi 12 Avril 2008 à 11h

Il y exposera ses POC (céramiques) et ses MOC (tableaux, mobilier).
Il y aura, entre autres, une pièce exceptionnelle monumentale et muséale.