21 internautes ont signé la contre-pétition de BEN !
1 internautes n'ont pas signé la contre-pétition de BEN !
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La Bataille de San Romano
ce 2 mai Pat and the Slackware team annonçaient la sortie de la 12.1. Oui, vous avez bien lu, and the Slackware team. La première distribution GNU/Linux a donc toujours un bien bel avenir devant nous !
5ème Grand Slam National à Bobigny
les 29, 30, 31 mai 2008 (Renseignements : ffdsp.com)
16 équipes de 4 poètes s'y affronteront pour faire la fête à la poésie.
Tournoi de sélection de La Cave Romagnan
La Cave Romagnan sera représentée. L'équipe sera constituée après un tournoi. Un jury choisi dans le public notera les poètes volontaires. L'orde de passage sera tiré au sort. Les a plus hauts scores seront retenus.
Le tournoi sera précédé d'une Scène Ouverte.
Cave Romagnan 22, rue d'Angleterre à Nice Mercredi 7 mai à 20h31
un poème dit = un verre offert par pascal.giovannetti
"Nous soutenons que l'État doit affirmer le caractère essentiel de la création, le droit inaliénable pour tout être humain d'accéder à l'imaginaire et à la pensée, à l'éveil sensible et à l'esprit critique par l'art et la culture."
Et bien, *ça*, vous fait pas frémir,* ça*, vous rappelle rien ????
*"ça" *est bien connu : voir la photo des rayures… et pas celles de Buren !
L'imaginaire… la pensée… l'esprit critique… garantis par *l'état* !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sont bien malades les petits jeunes, bienvenue à stalinkoland…
jpj 05 mai 2008 11:01
Microsoft-Yahoo! : une pause dans la fusion ? par Hervé Le Crosnier
Stéphane Blanchard à l'Atelier McNab du 6 au 31 mai 2008
Vernissage mardi 13 mai 2008 à partir de 18h30
le mur dans le miroir vidéos pour l'art contemporain
Anna Byskov Villa Arson, est au Dojo jusqu'au 9 mai.
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le 03 05 2008 à 19:56 espace-holbein a écrit :
Soit deux images : une avec des bandes noires et blanches en alternance, l’autre avec des rayures claires et sombres, également en alternance. Peu de personnages dans la première (un seul, assis au fond) ; beaucoup dans la seconde. Un complément métallique dans les deux cas garnit partiellement le décor.
Je connais la 1ère image.
Je connais la seconde.
Le grand Jean-Luc Godard a dit 1 + 1 = 3
Celui qui a fabriqué mentalement la 3ème (pour moi et pour tous ceux qui ont vu les 2 premières sur ce blog) doit s’expliquer.
Question (pas importante du tout, je ne crois pas que ce soit là-dessus que portera le débat) : les bandes de la 1ère image font 8,7 cm de large. Combien font celles de la seconde image ?
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Tu as bien entendu raison. J'ai un peu trop tendance à considérer ce blog comme un espace privé, à procéder par allusion et à déposer au petit bonheur des notes dont il est bien difficile de comprendre à quoi elles se rapportent.
C'était donc hier dans la discussion sur la ml no-made à propos du pdf qui circule sous le manteau. D'aucuns disaient que tout ceci ne leur semblait pas important, je demandais si c'était par hasard qu'on s'était attaqué à Buren.
voici ce que l'on peut lire sur un blog (à noter que la citation est aussi dans un pdf diffusé par artension)
1+1=3 est une base. On peut créer un sens caché ou poser une question.
fal7i
le magicien Philippe Bradshaw était à la galerie Thaddaeus Ropac jusqu'à aujourd'hui 3 mai merci quand même à holbein !
note perso : j'en profite pour te signaler, cher holbein, que Lucie Bitunjac monte à Paris le 6 mai (on ne va pas faire ça tous les jours), je vais donc ce soir t'envoyer un mail perso, ce serait dommage que tu passes à côté.
La Grande Manipulation
L'art syndical part à l'assaut du ministère de la culture. Petits arrangements entre amis. On pourrait se demander pourquoi il ne l'a pas fait avant. On peut aussi annoncer déjà le résultat des courses : l'état se désengage de la création et en compensation offre quelques strapontins au syndicat. Business as usual, me direz-vous, pas de quoi fouetter un chat. Simplement vous avez remarqué que clansco essaye de vous faire sourire, n'est-ce pas drôle de voir ainsi les artistes plasticiens se faire rouler dans la farine ?
Sauvons la culture !
Appel à une mobilisation citoyenne pour l'art et la culture
Il n'est jamais trop tard pour signer ou ne pas signer la contre-pétition de BEN. En plus vous aurez l'impression de faire partie d'une élite, votre signature n'y sera vraisemblablement jamais noyée dans une masse de milliers de signatures.
PEINTURE SUR TISSUS - 1.1
Intervenant : Irène Ruszniewski
Réalisation de foulards ou pièces similaires procédé traditionnel
Réalisation de tableaux selon la technique de l’aquarelle appliquée à la soie mise au point par l’intervenant.
Techniques classiques :
Serti – Batik - Peinture directe – Aquarelle sur soie
Foulards, coussins, vêtements…
Techniques personnelles :
Tableaux sur soie utilisant une technique personnelle permettant le rendu de n’importe qu’elle matière (rochers, écumes, feuillage…)
Cette technique permet d’obtenir une solidité qui manque à l’aquarelle sur soie. Elle offre autant d’intérêt pour les sujets réalistes (paysages, portraits, marines..) hyperréalistes ou abstraits.
Élus Unis pour nos droits
le pdf qui circule sous le manteau _ la discussion sur la liste de diffusion no-made
Fas dé ben à Louis té lou rèn èn cagan.
Je reçois le matin un carton pour un vernissage le soir, sans texte juste deux pdf. Heureusement l'un des deux est du texte que je peux extraire pdftotext. Gentil, Je tente de respecter la présentation du carton. Décidément très gentil, je pense à Louis, et je mets un fond sombre quand on passe la souris sur le texte, afin qu'il puisse bien lire. Louis est un ingrat.
Le Dojo, La Villa Arson et le laboratoire de mémoires
EXPOSITION AU DOJO DU 3 AU 9 MAI 2008
VERNISSAGE LE VENDREDI 2 MAI À 18 H Exposition collective de & avec BENJAMIN BICHARD, ANNA BYSKOV, ZORA CAHUSAC, MARION CHARLET, CAMILLE DEBRAY, ALYS DEMEURE, MAILYS D.PERRET, LOUP GANGLOFF, SOPHIE GRANIOU, LAURIE GERARDO, YASMINA HATEM, CINDY LELAURIN, SANDRA LORENZI, AURELIE MENALDO, MARYLINE M'GAIDES, STEPHANIE RAIMONDI, COLINE VECTEN, sur une proposition de MATHIEU COPELAND, avec NOËL DOLLA & PASCAL PINAUD
Cette réflexion est née d'une collaboration entre les étudiants de la Villa Arson et Mathieu Copeland, curateur d'exposition. "Une exposition de mémoire"... s’ouvre sur un paradoxe et propose de penser d'après cette notion générique, comment poser des termes précis pour entrevoir et exposer l’impossible réalité de cette substance. Penser une exposition comme on écrit une partition, ou la polyphonie des œuvres génère une création homogène et globale... "Une exposition de mémoire" met en place un mouvement auto générateur qui repense la realite d’un centre d’art alternatif niçois, le Dojo. Les œuvres d'artistes, les archives du lieu et les espaces de travail sont utilisés et réactualisés, générant ainsi de nouvelles productions. "Une discothèque silencieuse" est mise en place et le souvenir de ce lieu unique se fond dans l'installation. Les résidus, les déplacements, les citations éclatent le sens et activent le processus de mémoire. L'enjeu dépasse ainsi l'idée de représentation, s’offrant la mémoire d’un lieu et l’accumulation de mémoires fictives. S'insérant dans le cadre d'une exposition, cette environnement met en valeur les modes de productions inhérents à chaque engagement artistique : les contextes spatio-temporels, la médiation effective entre l'œuvre et le spectateur, et finalement les traces produites. Les cartels de toutes les œuvres exposées depuis les débuts du Dojo, enveloppent l’idée de mémoire et invitent les spectateurs à déambuler à travers le lieu. L’espace du Dojo est fractionné en deux axes symétriques, comme un espace bipolaire se réfléchissant. Le rocher, fil conducteur de toutes les expositions, s’offre comme la mémoire d’une idée, idée énoncée, projet évoqué puis abandonné, dont le souvenir est incarné par une plaque. Des interventions au cours du vernissage invitent les spectateurs à questionner leur mémoire immédiate de l’œuvre.
SAUVONS LA CULTURE ! l'appel est dans pourinfos.org
si vous avez d'autres idées pour passer la journée du 7 mai, n'hésitez pas à les proposer.
(on peu considérer cela comme un message perso à Micky Pfau.)
Pousse la porte : une
E
X
P
LO
S
I
T
I
O
N
d'un Gilles Barbier déchaîné t'attend.
holbein aime bien Gilles Barbier
des nouvelles de l'empire du mal :
appel à délation
dénoncé par Sophie Taam
le pdf qui circule sous le manteau
Cutané,e adj. (du lat. cutis, peau). Relatif à la peau. Qu'est-ce ?
pour mémoire le thème no-made 2008 est : toucher.
Jim Dine, Templon / Véronique Champollion, Mimont
[cc-fr] Le CNRS et les services gratuits sur le web Hervé Le Crosnier
Lola Gassin.
Assez ignorant de ce qu'est l'art vous allez votre vie avec vos représentations infantiles et vous êtes heureux comme ça. Malheureusement pour vous, vous lisez clansco, c'est là que ça se gâte. Si vous n'aviez jamais remarqué que la vedette principale des émissions de Michel Druquer, c'est Michel Druker, la vedette des infos, le présentateur, la vedette des émissions politiques l'organisateur etc. c'est le moment de le remarquer. En art c'est pareil, Lola est la vedette, ou Simone. C'est exposé là parfaitement et vous avez vos yeux pour voir : Nice-TéléVision
et une pièce au dossier une.
Tandis qu'il se dessine un dégraissage de mamouth, ça pétitionne dans l'art petit bourgeois.
Soyons vigilants.
Tu ( mi picchierai ) (00:03:29) (Rocco allegretti) Licence : Creative Commons - by 2.0 Album : Faccio tutto comme je peux [Autoproduction] dogmazic
dénoncé par HK
Philippe Mira Beau, très beau, fait à la main avec un HTML des plus basiques. Peut être de quoi faire réfléchir les inconsidérables utilisateurs flash. On peut toujours rêver.
Utopies
Lucie Bitunjac tiendra
le haut du pavé
du 6 au 31 mai 2008
vernissage le 6 mai de 18h à 21h30
Galerie du Haut-Pavé
3, quai de Montebello 75005 Paris
dossier pdf 1,5Mo
Imaginez une fresque du trecento italien, par exemple une de celles qui représentent la ville sainte de Jérusalem telle que se la figuraient les contemporains de Giotto, étrangement semblable aux bourgades entourées de murailles crénelées que l’on découvre encore, de loin, au détour d’une route de Toscane ou d’Ombrie. Éliminez, mentalement, le paysage, les arbres, les personnages, les animaux, les armes, le grouillement de la vie, toute anecdote ou évocation d’un épisode religieux ou historique. Supprimez ensuite tous les détails architecturaux qui subsistent – portes, meurtrières, créneaux, mâchicoulis – et ramenez les murailles à des quadrilatères uniformes. Conservez la couleur dominante de chacun de ces pans et saturez-la en privilégiant les teintes primaires. Découpez le support pour ne conserver que les formes colorées en leur déploiement panoramique. Accrochez le résultat au mur, à une distance de quelques centimètres pour assurer une claire délinéation de l’ombre portée sur la paroi blanche… Reculez de quelques pas et observez… Rapprochez-vous du mur et poursuivez, à la mine de plomb sur le support blanc, les lignes que vous suggère l’architecture tronquée par les limites du support, développant et amplifiant en l’extrapolant, la structure colorée en un espace purement linéaire.
[…]
Louis Doucet
areste ti un pau louis,
as pas besun de parlar,
… sies un pei
Mau
À L'EXPO DE LOUIS,
J'y étais, mais je n'étais pas la seule. HK
le blog espace-holbein : Le réveil !
au Menu : Marcel Duchamp, Jean-Michel Delage, Diane Arbus.
et Une pétition à signer pour Sophie Taam, une.
> Sauvons la culture ! POUR NE PAS COULER LE HUBLOT SE FERME.
>
> Le Hublot, ex-ECM installé dans la Halle Spada à Nice va devoir fermer
> son activité au public (suppression de 100 % de l'aide de la DRAC PACA).
> Appel à une mobilisation citoyenne pour l'art et la culture > ----------------------------------------------------------------------- > ----- > > Face au désengagement sans précédent de l'Etat, nous affirmons le > caractère essentiel de la création, le droit inaliénable pour tout > être humain d'accéder à l'imaginaire et à la pensée, à l'éveil > sensible et à l'esprit critique. > Tous les champs et toutes les disciplines de l'art et de la culture > appellent à une mobilisation pour une politique culturelle ambitieuse, > intelligente et généreuse, à la hauteur de l'enjeu démocratique. > > Emparez-vous de ce texte, signez-le et faites-le signer ici : > http://www.sauvonslaculture.fr > > ET RENDEZ-VOUS LE MERCREDI 7 MAI pour une grande journée de > mobilisation nationale autour du texte, dans tous les lieux d'art et > de culture (théâtres, lieux de spectacles et de danse, cinémas publics > et privés, lieux d'expositions, lieux d'arts contemporains, lieux de > culture multimédia, lieux de musiques, opéras, centres culturels, MJC, > foyers ruraux, conservatoires, bibliothèques, médiathèques, > universités, écoles, collèges, lycées, musées, écoles d'arts...).
signalé par Gilbert
scoop : la bugadière était de l'expo de Louis Dollé, si vous ne l'y avez pas rencontrée, c'est l'occasion d'y retourner.
La critique d'art est un art en soi, et cela n'a rien à voir avec le compte rendu journalistique d'un évènement. La critique d'art n'a rien non plus à voir avec le jugement.
Q'est-ce ici que la critique ? Ce n'est pas pas : (Wiktionnaire)
1. Art de juger les œuvres de l’esprit.
« La critique est aisée, l’art est difficile » (Destouches)
2. Article donnant les appréciations de son auteur sur un livre, un film, etc.
Sa pièce a eu beaucoup de bonnes critiques.
3. Jugement négatif à propos de quelque chose ou quelqu’un.
Le président essuie un flot de critiques.
4. (Philosophie) Détermination des limites d'un concept ou d'une faculté.
la Critique de la raison pure de Kant
Une œuvre d'art est un monde en soi, qui porte sa vérité en soi. Tout jugement extérieur est vain. La critique ne peut donc ici qu'offrir à pénétrer ce monde, proposer un angle d'attaque.
Dans une expo il y a deux choses, les œuvres d'une part, et le choix du lieu, le choix des œuvres et l'organisation de ces œuvres dans ce lieu, ce qui est le travail du commissaire d'expo. Comme ici l'artiste et le commissaire se confondent, ce n'est peut-être pas inintéressant de parler de la bugadière. fin du prologue.
Le vernissage est le pire moment pour voir une expo (ou de l'art de tenir son lecteur en haleine. Et peut-être aussi régler son compte à qui confond critique d'art et course à la nouvelle. Vu le mal que l'artiste, normalement, s'est donné pour proposer son œuvre, c'est bien le moins que le critique prenne le temps de décanter son ressenti.).
La foule qui se presse dans un brouhaha épouvantable, occupant tout l'espace de façon apparemment désordonnée, mais en réalité menée par une stratégie maligne pour vous empêcher, l'air de rien, d'accéder aux œuvres et vous obliger à la regarder elle, caquette et coquette, sans parler des importuns qui se sentent autorisés à profiter de l'occasion pour vous entretenir de tout sauf de l'expo, tout concourt à faire avorter votre naïf désir premier qui était de voir l'expo et vous contraindre à admettre qu'un vernissage ne peut se mépriser, qu'il est incontournable en sa vérité, une réunion demi-mondaine. Il y a bien Annie (pas celle de BEN, la nôtre) avec ses grands yeux émerveillés dans son monde merveilleux, tout là-haut bien au dessus de toutes contingences pour tenter de vous attirer gourmande, et tu as vu ça et cela… Je t'envie, Annie, moi je ne parviens pas à voir quoi que ce soit et ma seule envie est de me casser vite fait.
Il faut dire qu'ici on avait eu la bonne idée de donner à boire loin du lieu d'expo, avec pour conséquence de diviser la foule par deux, ce qui se montra notablement insuffisant. Il eut fallu la diviser par cent, mettre tout le monde dehors, car la puissance mondaine ne se mesure pas au nombre de ses bataillons mais à l'ardeur de ses adeptes.
Et c'est à ce point qu'intervient la bugadière.
S'il est irrémédiablement impossible (pour le commun des mortels, pas pour Annie, cette espiègle gamine intemporelle qui est de l'espèce ange du ciel et non d'espèce terrienne), de s'abstraire du tohu-bohu et entrer en contemplation intime des œuvres, on parvient aisément avec un peu de pratique, à se faire une idée de la scénographie. La technique est simple. Il faut regarder la salle de différents points de vue, selon des angles différents et à plusieurs moments. Il suffit alors de laisser le cerveau faire son travail. Il va recomposer la salle en ne gardant que les éléments permanents, effaçant les parasites anecdotiques, ici le tourbillon fourmiller (notons au passage qu'il existe une sous-espèce particulièrement redoutable de l'engeance de vernissage, l'individu qui se colle à un endroit et n'en bougera plus, souvent devant une toile.).
Le lieu d'exposition est un espace semi-cloisonné, très haut de plafond, un hall d'université qu'on a après-coup, par la magie de l'architecture d'intérieur dans toute son ignominie, transformé en LIEU D'EXPOSITION. Est-ce le règlement, pour des questions de circulation d'air ou autre, qui empêcha de monter les cloisons jusqu'au plafond ? ou mesures d'économie pour gagner quelques dizaines de centimètres, ou déontologie d'architecture d'intérieure, si vous voulez de la salle d'expo, je vous donne de la salle d'expo ? quoi qu'il en soit, le lieu est là, redoutable. Un peu comme dans ces chiottes d'aéroport où on a laissé les cloisons à claire-voie en haut et en bas, histoire de vous mettre la pression de l'œil de Caïn et vous empêcher de trop prendre vos aises, voir vous y faire une petite branlette. (C'est d'ailleurs pour cela que s'il fallait choisir, je pencherais pour une décision purement archi d'intérieur, cette corporation reptilienne toute crispée de sa haine de l'art et sa liberté.) Quoi qu'il en soit, nulle intimité ici, mais aussi nulle grandeur, nulle magie nulle personnalité dans le lieu, comme cela serait si nous étions dans un hall d'architecte (pas d'intérieur celui-là), une grande salle rectangulaire froide, rébarbative, un chiotte d'aéroport très grand.
Le commissaire d'exposition, sa première idée sera de découper cela, afin de permettre au spectateur de trouver des espaces d'intimité et donc trouver un chemin pour pouvoir établir une relation avec chacune des pièces. C'est oublier que le commissaire ici, c'est l'artiste lui-même. On a beau porter deux casquettes, il est difficile de s'abstaire tout à coup comme par magie du processus de création. Et au lieu d'une mise en scène, nous assistons à une continuation du processus de création. Nous ne bouderons pas notre plaisir.
Ici donc intervient la bugadière.
C'est en effet en général peu élégant, parlant d'une exposition, de ne parler que de la mise en scène. Sauf bien entendu s'il s'agit de la Calle mise en scène par Buren (poupées russes, vous me suivez toujours ?), et donc ici entrant en commissariat il n'est pas illégitime de prétendre entrer par ce biais dans l'œuvre. Il est toujours tout aussi difficile de parler d'un artiste qui n'est pas mort de longue date, et qui, malignité ou évolution, pourra demain vous contredire sans appel possible. Avançons donc prudemment.
Pour entrer dans le lieu, à main gauche en guise de carton une toute petite toile format carte postale ou peu s'en faut, la toile qui a servi d'invitation et qu'on peut voir plus bas ici, trois pieds. Face à l'entrée, sur une petite cloison marquant un espace antichambre, un nombril au milieu d'un ventre en généreux empâtement d'huile, si généreux qu'il fait rebondir son support de toile de jute tendue sur châssis. Expressionnisme donc. Et la salle. Là aucune composition avec l'espace, aucune composition de l'espace non plus. Emporté dans sa création, l'artiste fait fi de commissariat et peint les cloisons comme il le faisait de ses toiles, avec rudesse et cruauté, à plat sans distance aucune, la chose telle qu'elle est, sans tendresse mais non sans connivence.
Et la bugadière, me direz-vous ?
Stylistiquement parlant, la brave dame a le choix entre plusieurs stratégies, elle peut étendre les petites culottes d'un côté, robes, chemises et pantalons de l'autre, ou alors alterner petite culotte et grand vêtement. C'est pour la deuxième solution qu'a opté Louis, en respectant une méticuleuse équidistance entre les pièces.
Le regard de Louis Dollé n'est pas un regard complaisant.
pondu par fal7i le 24 avril, pas trop mécontent de son coup, et qui en rit encor.
des images sur ymagier, en attendant d'autres.
une fausse newsletter de ben en forme de réponse à Malingrey
néanmoins
l'horrible Malingrey(car moi je met des majuscules aux noms(connard) a raison,
je ne suis pas un peintre , décidement
pour moi, un peintre c'est Maurice Maubert
Bientôt, Maumau nous fais une expo
mais une vraie
une où la peinture est belle
uneoù l'on se sent bien
une où l'on rêve
une où Malingrey ne viendra pas
du moins pas en face
pour sa critique je met 8/10
il a raison mais ne met pas de majuscules au noms de familles
pour le comportement1/10
1 parcequ'il est venu, -9 car il ne s'est pas présenté
je n'aime pas la lacheté
je met 6/10 aux gens qui sont venus
il y avait des femmes superbes et gentilles,
qui ont aimé mon travail,
m'on sourit et charmé
et quelques mecs
je met 9/10 à etienne Borgo
car il m'a offert une jolie petite Vénus en pierre qu'il a faite
dans un galet de cap d'ail(calcaire de la turbie)
et pour avoir porté un kilt
je me met 9/10 pour mon propre look
j'étais habillé comme un clochard,
comme d'habitude,
mais je portais un tee-shirt des Diables Bleus,
fait par Jean-Claude Boyer
je met 9/10 à J_C Boyer et Hervé Courtain qui n'ont pas annoncés mon expo,
ils ont eu du flair, elle est nulle
ou bien il ne me considère plusde gauche et affamé
puisque sponsorisé par le conseil général
mais hé les gars c'est la fac qui est sponsorisée, pas moi!!!!
du coups j'ai encore fais une fausse newsletter de Ben
alors qu'il est tard
que je suis fatigué
que je viens de passer trois jours à la facs parmis de belles femmes9/10
et que pas une ne m'a invité chez elle
Mon expo, malgrès les bonnes critiques
est nulle
je n'ai pas bien profité de l'espace
je n'ai pas exploité mon thème
je n'ai pas exploité le lieu
mon expo
m'a trop bouffée de temps
je ne suis pas prêt pour l'expo du 26 mai à Labruyère
je ne suis pas prêt pour No-made à Cannes le 31 mai
je fais trop d'expo
mon public va en avoir marre
d'ailleurs sa flatte mon ego
j'ai encore un public
je fais trop d'expo
j'épuise mon génie....
et puis exposer sa sert à quoi?
à me dire que l'on m'aime?
à ce qu'une très belle étudiante est pitié de moi et me ramène un verre de rouge
avant que le buffet soit vide?
Falsetti et Marie France m'ont fait une surprise
il sont venus de Clans6/10
oui mais je suis déçu1/10
Malingrey a fait une critique avant Falsetti...
l'expo de dollé"les monstres", j'y étais
et c'était nul
quelle honte
quelle horreur
tellement d'artistes, de vrais artistes, honnêtes, qui eux cherchent et ont besoins d'espaces pour montrer de l'art, du vrai, pas cette bouillie pour bébé néanderthaliens(et encore là je suis gentil).
Non, dollé, ceci n'était décidement pas une exposition.
l'accrochage: on ne vous a jamais dit qu'une toile devait être accrochée à un mur?
Votre thème, éculé si mal abordé...
Mais savez vous dessiner? et vous donnez des cours? ha ha ha
Je pense que "ha haha " résume votrefac-similé d'exposition!
Vous avez beaucoups de chance que tous les nomadeux et leurs fans ridiculement incultes étaient venus soutenir vos merdes.
Et que ça vous donne du "c'est bien, merveilleux"ha louis que c'est beau"HA HA HA"
et vous croyez qu'on ne le voit pas votre copinage avec la Lesné?
Hein?
Quand cesserez vous avec vos potes nomadeux vos conneries?
ne savez vous pas que de vrais artistes, pertinents et contemporains(je ne parlerais pas de votre facheus manière de mal peindre) cherchent à exposer?vous prenez leurs place!
Je ne vous salue pas
Christophe Malingrey critique à "art et pensée contemporaine"
Quand les députés de gauche font une standing-ovation à Chantal Brunel, députée UMP.
Babasoc
- version en nissart (òc) :Centre Culturau Occitan País Nissart
Dissabta lo 26 d'abriu 10 oras de matin, apontament de la trentena vísita guidada de Nissa en Nissart.
Cristòu Daurore, professor de Nissart (òc), nen guiderà au Babasoc, la Nissa vielha per fin de li descurbir li sieus riquessas au través de la sieu istòria, li sieus anecdòtas e lo mai important lo sieu dialècte Nissart.
Coma limitam aquesta trentena vísita a 30 personas, es indispensable de prevenir de la voastra venguda au 06 71 18 61 21, nissa.fr
Prètz : 5 €, 3 € per lu manco de 25 ans ò a la cauma, a gratis per lu manco de 12 ans.
Ja 498 personas son vengudi ai 29 promieri vísitas.
- version en français (oïl) :
Centre Culturel Occitan País Nissart
Samedi 26 avril 10h, rendez-vous de la trentième visite guidée de Nissa en Nissart.
Cristòu Daurore, professeur de Nissart (òc), nous guidera au Babazouk, la Nissa vielha afin d'y découvrir ses richesses au travers de son histoire, ses anecdotes et le plus important son dialecte Nissart.
Comme nous limitons cette trentième visite à 30 personnes, il est indispensable de prévenir de votre venue au 06 71 18 61 21, nissa.fr
Prix : 5 €, 3 € pour les moins de 25 ans ou chômeurs, gratuit pour les moins de 12 ans.
Déjà 498 personnes sont venues aux 29 premières visites.
Laurenç Revest, president et Cristòu Daurore, directeur
Centre Culturel Occitan País Nissart
30ème visite guidée de Nissa en Nissart 26.04.08
Pour la question de la mémoire (d'un quartier ou autre), n'est elle pas
dans son présent, et la réponse dans son futur ?
jpj
gestion de la mémoire : Mac OS X pire que windows ff
et alors? On tronque l'info ????
Le PDG de Mozilla Europe sur Mac…
Linus Torvald, le créateur originel de Linux, avait déjà annoncé avoir
acheté un Powermac G5… pour y installer une distribution PPC de Linux.
Aujourd'hui, c'est une autre figure du logiciel libre qui déclare
publiquement avoir acquis un Mac : Tristan Nitot, le PDG et fondateur de
Mozilla Europe… À la différence de Torvald, Nitot a goûté à OS X, et
se dit globalement satisfait. Je concède volontiers que cette
information n'est pas indispensable ! Mais les rapides commentaires de
ce respectable sieur sur son blog susciteront des réactions… Mais
alors, pourquoi un Mac ? À cet instant, le lecteur se demande sûrement
pourquoi je n'ai pas racheté un PC Portable avec Linux pré-installé. La
réponse est toute bête : j'avais envie d'essayer autre chose, et cette
fois-ci, c'était un Mac (Comme Linus Torvalds). Paradoxalement,
l'application qui me manquait le plus en quittant Windows, c'était…
iTunes ! Le branchement d'un deuxième écran s'est fait instantanément
(bien plus facilement que sous Windows, qui plantait quand on
débranchait l'écran alors que la machine était en veille). Coté Wifi
aussi, on sent qu'Apple domine tout, du matériel au logiciel, et que
cela permet d'offrir à l'utilisateur une experience (au sens anglais du
terme) très supérieure à la moyenne. Cela dit, tout n'est pas rose non
plus dans le monde du Mac : il m'est impossible de faire reconnaître mon
appareil photo numérique à iPhoto… (alors qu'il est listé comme étant
reconnu) Just plug them in over USB or FireWire. No need to install
drivers, qu'ils disaient ! C'est dit ! Bazaar
et mon appareil zéro problème
jpj
Dans un monde idéal un GNU/Linuxien devrait impérativement se garder de toute moquerie envers ses petits camarades moins bien lotis. Ça lui permettrait déjà d'éviter de passer pour un fât, alors qu'il n'y a assurément aucune gloire à tirer du fait de l'utilisation d'un système qui s'installe par un enfant de huit ans. Et surtout, il devrait au contraire s'émeiller des prouesses que réalisent justement les-dits petits camarades pour parvenir à pouvoir travailler. Par exemple installer un deuxième écran. Oui, vous avez bien compris, il ne s'agit pas d'installer un deuxième poste de travail, mais bien d'un simple écran supplémentaire pour le même poste de travail. À quoi cela peut-il bien servir ? J'ai cherché, j'ai trouvé. Après avoir éliminé toutes les utilisations possibles mais parfaitement inutiles, cela permet à une personne de votre entourage de regarder une vidéo pendant que vous continuez à travailler. Mais aussi cela peut avoir une vertu ergonomique, voir thérapeutique pour quelque maladie rare, en vous obligeant à tourner la tête de gauche à droite, et vice-versa, plutôt que d'un simple clic changer d'écran virtuel.
gouvernance, orgueil, oralité et écrit.
Il faut quelques dixièmes de seconde pour penser, quelques secondes pour dire, et pour le moins quelques dizaines de secondes pour écrire.
D’où l’on pourrait conclure à la supérieure efficience de l’oralité.
Certes.
Mais ne nous leurrons pas. L’oralité n’est que représentation (hors tradition orale) de la pensée immédiate alors que l’écrit ne se conçoit que comme pensée élaborée.
Et c’est en cela que le bât blesse. L’art nouveau, tout comme l’art ancien, est immédiat. (ou n’est pas). Or le nouvel art s’inscrit dans le média, dont l’économie, pour des raisons techniques, privilégie l’écrit, au détriment du son ou du visuel, alors que dans la vie immédiate, parole et mimiques côutent bien moins cher que l’écrit.
Que faire, et comment faire ?
Peut-être tout simplement reconnaître le droit à immédiateté pour l’écrit immédiat.
Et c’est ici qu’intervient l’orgueuil. À parler par écrit on s’expose. On s’expose à quoi ? À quoi l’art s’expose-t-il quand il intervient dans l’écrit ? À quel sens ? L’art n’est que d’image. Image négative d’art ou art d’image négative, qu’est-ce que cela dit, sinon ménages. Ménages d’art.
L’art écrit, l’art verbeux, l’art des bons sentiments bien proprement offusqués sur soi face au mal désigné par le médiatiquement correct, l’art très pauvre, à quelle aune doit-il se mesurer ?
arte very povera. Il n’est pas de jour sans qu’un mauvais prophète n’annonce la fin de l’art contemporain, la fin de la descente aux enfers. Il semble bien que la misère de l’art soit sans fond.
si tu n'aimes pas l'image que te renvoie le miroir, casse le miroir. sarkozy
vous aimez les billets de dolll ? ne manquez pas le prochain billet sur clansco
tu n’imposeras point
Vous ne connaissez sans doute pas ce commandement et ce n’est guère étonnant. En effet, redescendant du mont Bégo avec sa célèbre tablette, Moïse, poussé par la curiosité, il faut dire qu’à cette époque il n’y avait pas encore de quotidiens, ni même d’hebdos, ni presse féminine, ni presse masculine, s’assit à l’ombre d’un olivier pour prendre connaissance des fameux commandements de dieu. Quand il tombe sur tu n’imposeras point, son sang ne fait qu’un tour :
- Quoi ? pas déjà de ces conneries soixante-huitardes s’exclama-t-il. Et il balança le commandement aux orties sans remords, ça fera un chiffre rond plus facile à retenir argua-t-il in petto. Moïse était un fieffé réactionnaire.
Ce que voyant, belzebuth glissa à l’oreille de dieu : Il se fout de ta gueule, j’espère que ton Courroux va faire un grand massacre !
-Lâche-moi avec tes conseils à la con, belzebuth, répondit dieu, je suis omniscient, je sais ce que je fais. Moïse a lu ce commandement, au fond de lui il ne pourra l’oublier et il le diffusera en creux à ses enfants et aux enfants de ses enfants. Ainsi de tout temps quand les esclaves se révolteront contre leurs maîtres ce commandement ressurgira. Et si les esclaves gagnent, ils deviendront les maîtres et s’empresseront d’oublier ce commandement, dans les siècles des siècles, amen.
Retourne de suite en ton enfer à faire griller les âmes damnées, que je ne te revoie plus de la journée.
Quand St Pierre est monté au paradis, il a été épaté, ça ne ressemblait à rien de ce qu’il avait connu, et il se mit donc à bombarder dieu de questions.
Pourquoi, demanda-t-il un jour, as-tu laissé Moïse cacher le 11ème commandement, toi seul peut imposer, et si l’homme se targue d'imposer, il se prétend te substituer, et c’est là grand crime ?
- Bonne question, répondit dieu pour se laisser le temps de réfléchir (il avait vu faire ça à la télé par les hommes politiques). Il faut que tu saches que quand il a fallu faire l’homme et que j’ai vu tout cet embrouillamini de nerfs, vaisseaux, neurones et tout le saint-frusquin, le courage m’a manqué, je me suis contenté de faire une amibe avec un peu de glaise et j’ai chargé la Nature de faire le reste. Mais la Nature est aveugle et ne procède que par essais et erreurs, comme elle l’a appris de l’enseignement du Hasard, son père, et de la Nécessité, sa mère.
En conséquence de quoi, le boulot est largement approximatif, les hommes sont des veaux qui ne s’intéressent qu’à leurs mesquins avantages du moment et sont bien incapables d’œuvrer pour le bien de l’humanité, à la gloire de
dieu, dans les siècles des siècles, amen.
Or donc s’il n’y avait pas des hommes pour dire je veux, tout irait à vau-l’eau, selon les règles de Nature, au hasard à hue et à dia, dans un mic-mac pas possible. Tu comprends alors que, les maîtres ne voyant que leur propre intérêt, servent malgré eux mes desseins.
dans les siècles des siècles, amen.
falsetto, j’ai demandé à Dieu ce qu’il pensait de ton billet de ce matin. « bof, pas mal pour un couillon comme falsetto » m’a-t-Il répondu. « Oui, mais il ne répond pas à Denis sur la question de savoir s’il faut un comité de sélection ? » ai-je demandé.
Foutaise ! a dit Dieu, que crois-tu qu’il peut sortir d’un comité ? Ils vont faire un compromis de leurs aspirations disparates et ça donnera un truc médiocre, bien dans la moyenne de l’air du temps. Pour faire du neuf il faut trancher, aller de l’avant, se montrer visionnaire.
- Merci Dieu, puis-je rapporter tes propos sur clansco ?
- Tu fais comme tu le sens, si tu savais comme je m’en bats l’œil de no-made !
St Pierre 21 avril 2008 11:41
Denis n’a pas parlé de comité de sélection, mais de commissaire d’exposition. J’en ai marre de me faire engueuler à cause de vos approximations.
fal 21 avril 2008 12:42
à vau-l’eau, à vau-le-vent, à vau-le-pays, à vau-le-feu, mais : à vau l’ombre. projetbabel.org/forum
exposent actuellement sur artchannel :
vous avez remarqué qu'Aléatoire est bien plus tendance, plus arty que falsetto ? la cause que falsetto est bien trop vieux siècle et s'attache trop à dire qu'à montrer, ce qui le met à côté de la plaque. Donc vivement tout Aléatoire dans territoile-vidéo. un ami qui vous veut du bien
Mai 68 à l’envers. Nouvelle censure à Bordeaux André Rouillé, ParisArt
Palindrome
du grec ancien παλίνδρομος
« qui court en sens inverse »
Wiktionnaire
signalé par Pascal Giovannetti
On est prié de ne pas renvoyer une image négative du quartier Mimont
DG, 18 04 2008
Léon Noël (1917-1943)
entre dans la Résistance à l’AS 24, puis aux MUR dès la fin 1941. Son magasin de cycles lui sert également de PC et de cache d’armes. Dénoncé, il est arrêté et torturé par la Gestapo pendant deux jours à l’Hôtel Montfleury. Il refuse de parler. Il est fusillé le 21 septembre 1943.
On est prié de ne pas renvoyer une image négative du quartier Mimont
DG, 18 04 2008
Je réagis à cette phrase trouvée dans clansco pour enlever toute ambiguïté. D’abord le "on", c’est moi, et je ne prie aucun dieu, je ne vais donc prier personne d’autre de faire ou de ne pas faire, je ne suis jamais intervenu dans le choix des œuvres que ce soit à Cap d’Ail, à Roure ou à Cannes (an 2007). Il n’y a pas de commissaire d’expo à no-made, peut-être qu’il en faudrait un ?
À la vue des projets proposés, je me suis interrogé sur leur sens au sein de ce quartier.
J’ai fait part de mon ressenti lors de notre visite du quartier le 18, un grand nombre d’œuvres associant immigration et exclusion.
Certes il est de notre responsabilité de dénoncer la situation des immigrés en France et le traitement qui leur est "réservé" par la politique actuelle mais si la majorité des œuvres n’avait reflété que cet aspect le propos de "l’expo" aurait été tronqué, l’objet de l’intervention portant sur la mémoire et la vie du quartier.
Alors que faire ? laisser faire sans intervenir ou poser simplement la question, c’est cette solution que j’ai choisie.
Denis Gibelin 20 avril 2008 15:54
Je suis convaincu, en partie.
J’aime comme Denis tien t la "barre" de No-Made.
Il a un ressenti, sa sensibilité lui dit "euh non", il réfléchit et nous propose de réfléchir ensemble.
Ce n’est pas façile pour Denis de dire non ou euh non, il est sensible et artiste.
Donc, il nous propose un débat, car "No-Made is No-de!(Franz Sthaler)"
Notre évènement(car c’est le notre!)doit être réfléchit.
Je pense que si on agit de concert, démocratiquement en intelligence à l’aide de débats comme celui-ci, en toute sagesse, nous n’auront pas besoin d’un comissaire d’expo.
sauf si c’est moi et que je dirige tout, en bon dictateur(je vous emmenerez loin, vous verrez, faites moi confiance)...
Pour le débat: Denis m’a convaincu, je ne pense pas notre pièce (une maison avec une poignée de porte mais pas de porte, pas d’entrée, pas de logement, recouverte de textes qui dénoncent de Kô) pertinente.
Elle serai en meilleure plac à la croisette, lors du festival de Cannes, face aux gros qui détiennent l’argent roi qui pourri tout.Mimont n’as pas besoin de cette maison.
Il me reste à refléchir avec Kô pour faire autre chose...Mais qu’en pense Kô?
Louis Dollé 20 avril 18:58
Marjorie Gaggino à l’Atelier McNab du 22 avril au 3 mai 2008
Vernissage mardi 22 avril 2008 à partir de 18h30
plus d’infos sur territoile
La fausse newsletter de Ben, la vraie newsletter de Louis Dollé
Falsetti salaud
Cannes aura ta peaux
demain il y a réunion No-Made à Cannes
je n’irai pas
j’ai pas envie de vous voir
de toutes façons vous ne me lisez pas
alors je parle pour les extras terrestres
qui eux sauront que je fais une super expo mercredi à la fac st Jean d’Angely
ainsi ils envahiront la planète
viendront voir mon expo
la prendront avec eux
et je serai le premier artiste à exposer dans l’espace…
et vous pourrez rester sur votre pauvre planète
avec vos petites expos
vos petites élections
vos petites guerres
et puis avec
vos petite trahisons
vos petites relations
vos illusions
vos pollutions
et moi, moi
moi
je flotterai loin
dans le grand espace vide noir parfait incommensurable…
Le 23 avril,
à la fac st Jean d’Angely,
faculté de Psychologie,
il y a mon exposition Les Monstres
je n’y serai pas le 23
j’ai honte car je suis gros
et laid
je suis vilain vilain vilain
je n’y serai pas le 23
j’ai peur de christophe Malingrey
il va me critiquer
trouver ce que je fais trop laid
je n’y serai pas le 23
il y aura une grève de tramway
il protestera de la destruction des diables bleus
souvenez vous des diables bleus
je n’y serai pas le 23 avril
car "en avril ne te découvre pas d’un fil"
alors ce n’est pas le moment d’attraper froid
c’est important la santé !
et il ne faudrait pas que je refile ma crève aux extras-terrestres…
Oui mais
ma présence est nécessaire
c’est mon vernissage tout de même !
et que vas dire la société du spectacle ?
oui mais
il faut que je me montre
quelle revanche !
un artiste des Diables Bleus !
oui mais
ma présence est indispensable
pour mon égo !
et peut-être pour draguer et ramener une belle jeune femme dans mon atelier
pour plus si affinités…
pour la découvrir d’un fil
devenir un terrestre extra
l’envahir
dans son espace d’une profondeur incommensurable…
Michel Gohou Siriki sur wikipédia
Quand on choisit un métier, il faut l’aimer. On ne le choisit pas parce que les autres l’ont choisi ou que certains y ont fait fortune.
à ne pas rater : Les Guignols d’Abidjan
il tient ses promesses !
Pour ceux qui n’ont pas eu l’occasion de voir sur arte l’enquête documentaire édifiante, terrifiante, qui révèle de façon courageuse et magistrale les agissements alarmants de MONSANTO, le leader mondial des OGM, ses pratiques révoltantes et les conséquences sur la santé, l’agriculture, la faim dans le monde etc… il est possible de voir la vidéo sur : rue89
Héléna K
À propos de La Machinerie à compression de corps humains (dit aussi en abrégé La Machine à compresser les corps).
Comme j’en parlais à Kô la semaine dernière je me suis rendu compte que spontanément elle entendait cela au travers d’un philtre social, genre la société qui écraserait les individus. Il n’agit pas de ça du tout, la machine à compresser les corps est une tentative de compression de corps humains à fin d’en exprimer le jus. Il ne faut pas chercher plus loin, et en particulier pas dans les champs politique, social ou psychologique. Il s’agit d’une pure démarche artistique.
La Machinerie à compression de corps humains n’est pas un roman, ce n’est pas un film, pas une vidéo, pas un opéra. Qu’est-ce alors ? Moi je dis que c’est du web-art.
Quand j’ai proposé L’Art c’est l’autre, si tu reviens j’efface tout à Karine Ninzoli pour le Printemps des poètes au centre culturel Les Arcades, je lui ai dit que c’était du web-art. Ce n’est certes qu’une vidéo, mais elle n’est pas destinée à vivre sa vie autonome de vidéo, elle fait partie d’un tout, ce n’en est qu’une brique. Pour mieux (ou moins ?) comprendre on peut lire ce que je dis de la sculpture d’âme brute.
Pour essayer de faire comprendre ce qu’est La Machine à compresser les corps, regardons les romans d’Umberto Eco, en particulier Le Pendule de Foucault et L’Île du jour d’avant. C’est plein de chapitres qui s’entrechoquent, on a du mal à comprendre l’unité de tout cela, on a tendance à sauter des chapitres, passer des descriptions, lire en diagonale. Ce n’est que quand on a acquis une vue d’ensemble qu’on entre enfin dans le roman, ainsi on prend tout son plaisir aux lectures suivantes, et plus de plaisir encore au fur et à mesure qu’on commence à connaître l’histoire par cœur. Comme pour la contemplation d’une peinture ou un chef-d’œuvre du cinéma.
Il faut aussi s’intéresser à comment travaille Umberto Eco. Il semble qu’il commence par rassembler des documents, s’imprègne du temps et des personnages puis nous construit son enchantement.
On peut donc dire que La Machinerie à compression de corps humains est un roman historique mais qu’au lieu de se passer au cours de siècles advenus, il se passe au présent. C’est l’histoire de la naissance d’une nouvelle période de l’art. Et on conçoit que la compilation de documents consiste ici bien souvent à les créer de toute pièce. Ce qui confère au tout une vérité historique jusqu’ici interdite à la science des historiens.
[… espace réservé à la critique de L’Art d’avril …]
… et en attendant de pouvoir dire tout le mal que nous pensons de notre Sophie à nous, ne manquons pas le bien que dit Lunettes Rouges de l’autre Sophie…
Vous avez remarqué qu’il y a du Goya chez notre dolll peintre à nous ?
Rien de neuf chez Sophie Taam, qui au lieu de s’en prendre à Jupiter, continue à guerroyer contre ses valets. Sophie tu es désespérante. Pas étonnant que les stals t’ouvrent leurs colonnes.
En avril, ne te découvre pas d’un fil.
Hacker Space Fest appel à propositions
Le premier Hacker Space Fest (HSF) se déroulera au /tmp/lab près de Paris en juin 2008. L’objectif du festival est de rassembler des intervenants d’origines culturelles et technologiques diverses, en provenance des différents Hacker Spaces et Zones Autonomes de France et d’Europe (et d’ailleurs, s’ils peuvent nous rejoindre) pour partager leurs expériences et témoigner de leur actualité. Le terme générique de "hacking" signifie dans ce contexte "l’usage créatif de la technologie" et non pas "la pénétration illégale de systèmes informatiques" (la propagande politico-médiatico-terroriste nous importe peu).
Ce festival est autonome, bénévole et collaboratif. Nous vous encourageons à y contribuer de quelque façon que ce soit en rejoignant notre équipe pour cet événement, ou soumettant une conférence, en proposant un atelier ou en organisant un concert, une performance, une exposition ou un événement associé à côté de chez vous.
pourinfos.org
territoile-vidéo est un espace nomade ouvert sur territoile pour accueillir une réflexion sur les nouvelles images, et des réalisations. Cet espace est ouvert à toutes personnes intéressées.
Ce que l’on sait pour l’instant des nouvelles images :
elles doivent être disponibles pour tous et doivent pouvoir être produites par tout un chacun, en rupture complète donc avec les pratiques industrielles du cinéma et de la télévision telles qu’ils sont.
Les pratiques des images nouvelles sont celles de la culture libre, née sur internet. Leur vecteur principal est internet. Le but de territoile-vidéo n’est donc pas la création d’un système de production vertical, mais bien au contraire de découvrir les possibilités de production à minima.
Nous allons aujourd'hui à l'aide de Gimp-GAP réaliser une animation vidéo à partir de quelques photos.
Pour s'afficher sur un téléviseur européen, une vidéo doit avoir des dimensions d'image 720x576px, alors que les appareils photos délivrent des images aux dimensions 1600x1200px, 2048x1536px et même beaucoup plus. Nous allons utiliser cela pour faire une animation, un zoom suivi d'une translation.
La première vue montre l'image complète. Partons d'une image 1600x1200. Il faut donc la réduire. Si on réduit en fonction de la largeur, on obtient une image 720x540 pixels en conservant les proportions. On aurait pu choisir de réduire en 768x576 et ensuite couper les 48px de trop de la largeur.
Nous choisissons la première solution, la plus simple, donc une réduction à 45%, et placerons l'image à 18px du haut pour la centrer (576-540)/2.
La première chose à faire avant de créer un projet Gimp GAP, c'est s'assurer d'un espace disque suffisant. Et cela va vite. Il faut avoir à l'esprit que GAP travaille sur des images au format XCF, le format GIMP, bitmap préservant les calques. Comme on fait de l'animation, on va utiliser des calques, par sécurité prévoir 10Mo par images, 250Mo par seconde, 1,5Go par minute, 75Go pour un film de 50mn. On peut bien entendu travailler avec la moitié, voir le quart, on aurait grand tort d'applatir des images, ou pis, effacer les images une fois les séquences encodées. Nous voici prévenus, GAP ne vérifie pas s'il a de la place avant de lancer un processus. Si GAP ne trouve pas de place lors d'un processus, il va vous laisser dans un état complexe.
Ok, c'est parti. On crée un répertoire ad hoc dans le disque de travail. Là on crée avec Gimp notre image de base, 720x576px, fond noir (puisque notre première image ne couvrira pas tout le champ, manquent 18 lignes en haut et en bas) et on l'enregistre, monfilm_000001.xcf. On importe notre image de base 1600x1200 jpeg, et on l'enregistre dans le répertoire de travail img1.xcf. Nous avons donc deux images ouvertes dans Gimp.
On veut que le zoom se fasse en 1 seconde, on a donc besoin de 25 images. On va donc dupliquer notre image 24 fois. On se place sur l'image monfilm_000001.xcf et on crée nos images.
Puis, toujours à parir de Vidéo de monfilm_000001.xcf, on ouvre l'outil Animation selon un Chemin. Comme nous n'avons qu'une autre image ouverte dans Gimp, img1.xcf, c'est celle-là qu'il va utiliser pour l'animation. L'outil est complexe, plein de boutons, pas de panique, il est très facile à utiliser.
à venir d'ici ce soir…
Le numéro 12 de la revue ART VIF est en ligne à l'adresse :
http://artviftv.free.fr
Au sommaire, le portrait de l'écrivain Sophie Braganti, un reportage
sur les expositions Ne Pas Jouer avec les Choses Mortes à la Villa Arson, Logique des Confins de Julien Sirjacq et Axel Pahlavi et Le Phénix Silencieux de Frédéric Nakache à la galerie Norbert Pastor.
Cordialement, Michèle Bondi
sources de news
pourinfo.org :
- Formation : HEAD GENEVA MASTER PROGRAMMES, Genève, Suisse.
- Appel à candidature: Disonancias, San Sebastián, Espagne.
- Résidence : Atelier de post-production au CPIF, Pontault-Combault, France.
- Appel à candidature : One Minute Film & Video Festival Aarau, Suisse.
- Appel à candidatures : Urban Identity, Los Angeles, Usa.
- Appel à candidatures : 2009 WCA International Video Shorts Festival, Los Angeles, Usa.
- Appel à candidatures : International Guerrilla Video Festival, Milan, Italie.
lunettes rouges :
- Veillée funèbre
- Chemins croisés
- Caprices contemporains
- Le fauvisme comme anarchisme
- Sommaire d?avril 2008
- Trois femmes
- Les injonctions
- Caprices
- Rien à voir
- Au théâtre (Bedlam)
- Mississippi et Niagara
- 25/24
- Certaines choses, nous ne les saurons jamais avec certitude
- Kern & Sons
- Empreinte et contrainte
- Une volière
- La fabrique de la mémoire
- Rapide et Dangeureux !
- Un David audacieux ?
- Clotho la Parque
Qu'est-ce que l'art (aujourd'hui) ?
- Emmanuelle Bousquet - Troubles aux éditions Chez Higgins
- Georges Rousse à la MEP
- Patti Smith à la Fondation Cartier
- Sophie Calle à la BnF
- Pierre Paulin expose à Paris en Belgique
- Richard Prince bientôt à Londres
- Cellar Door au Palais de Tokyo
- Louise Bourgeois au Centre Pompidou
- Dieter Roth au musée des Arts décoratifs
- Les Inquiets au Centre Pompidou
- Tourist à la Fondation d?entreprise Ricard
- Gyan Panchal à la galerie Frank Elbaz
- Mona Hatoum à la galerie Chantal Crousel
- Candice Breitz à la Collection Yvon Lambert à Avignon
- Richard Avedon bientôt à Paris
- Roger Tallon à la galerie Jousse Entreprise
- Rineke Dijkstra à la galerie Marian Goodman
- Daniel Buren à la galerie Kamel Mennour
- Don Brown à la galerie Almine Rech
- Peter Knapp à ma MEP
- Ted Noten chez Colette 2
- CQFV (ce qu?il faut voir) en 2008 : Gelitin au musée d?Art de la Ville de Paris
- CQFV (ce qu?il faut voir) en 2008 : Zoe Leonard, Tatiana Trouvé, Claire Fontaine, Laurence Denimal à la villa Arson
- CQFV (ce qu?il faut voir) en 2008 : Piet Mondrian à Cologne
- CQFV (ce qu?il faut voir) en 2008 : Lawrence Wiener à New York
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